Agence Data Engineering

Construisez une   infrastructure data robuste et fiable

Chez Yield Studio, nous aidons les entreprises à structurer, centraliser et exploiter leurs données pour en faire un véritable actif stratégique. Pipelines solides, Data Lakes performants, qualité de données, gouvernance, intégration SI : notre approche repose sur une ingénierie senior, orientée usages et ROI.

Pourquoi nous choisir ?

Parce que notre data engineering tient en production.

Les organisations qui visent une data infrastructure robuste et durable choisissent Yield Studio pour notre capacité à concevoir des architectures solides, scalables et alignées avec leurs enjeux stratégiques. Nos ingénieurs seniors bâtissent des plateformes data fiables, sécurisées et parfaitement orchestrées, capables de soutenir la croissance, les usages critiques et les futurs projets IA. Nous ne livrons pas des pipelines isolés, mais une fondation technique qui accompagne l’ambition de l’entreprise sur plusieurs années.

Discutons de votre besoin en Data dès maintenant
Confiance

Nos engagements

Chez Yield Studio, nous construisons des fondations data capables de soutenir des usages métiers critiques. Notre priorité est simple : garantir que vos données soient fiables, structurées, accessibles et prêtes à être activées, quels que soient vos volumes ou votre architecture existante. Nous appliquons une ingénierie rigoureuse : ingestion multi-sources, pipelines ETL/ELT robustes, normalisation avancée, gouvernance, monitoring continu et sécurité by design. Chaque brique est pensée pour fonctionner en production, résister aux changements, et accompagner l’évolution de vos besoins.

Nous ne livrons pas des “datasets nettoyés”, mais une infrastructure data opérationnelle, documentée, maintenable et alignée avec les standards des meilleures équipes Data & Engineering.

+1M de traitements

data par mois opérés sur des pipelines et orchestrations conçus par nos équipes.

110+ projets data

livrés incluant Data Lakes, ETL/ELT, intégrations SI et architectures scalables.

Dizaines de millions

de données traitées chaque jour dans nos flux et plateformes data.

Taux de fiabilité

> 99,9 % sur les pipelines que nous supervisons (observabilité & alerting intégrés).

Pourquoi Yield Studio ?

Code de qualité

Nous écrivons un code de qualité dès le départ pour aller plus vite ensuite

Focus utilisateur

Nous identifions les fonctionnalités différenciantes pour les utilisateurs finaux

Time To Market

Nous mettons très rapidement en production les fonctionnalités grâce à notre Lean Lab’ ®

Compétence n°1

Construire les fondations data

Lorsque votre organisation démarre ou restructure sa stratégie data, nous concevons l’intégralité de l’infrastructure : ingestion multi-sources, pipelines ETL/ELT, Data Lake ou Data Warehouse, modèles de données, qualité et gouvernance.

Découvrir
Compétence n°2

Optimiser et fiabiliser l’existant

Votre plateforme data fonctionne, mais manque de performance, de qualité ou de robustesse.Nous auditons vos flux, détectons les goulots d’étranglement, corrigeons les erreurs de transformation, consolidons les pipelines, améliorons la qualité des données et renforçons l’orchestration et la sécurité.

Découvrir
Compétence n°3

Faire vivre la plateforme sur le long terme

Une infrastructure data doit évoluer en continu : nouvelles sources, nouveaux schémas, mises à jour des pipelines, corrections, optimisations, supervision, alerting, documentation vivante.Nous assurons un suivi régulier, monitorons les flux, gérons les incidents, garantissons les performances et accompagnons vos équipes dans les évolutions.

Découvrir
Exemples

Enjeux stratégiques abordés

Nous accompagnons nos clients sur des projets data où la fiabilité, la scalabilité et la qualité des pipelines sont essentielles à la performance.

Centraliser des données éparpillées
Création d’un Data Lake unifié intégrant ERP, CRM, outils métiers, IoT et SaaS pour obtenir une vision cohérente et exploitable de l’activité.
Fiabiliser les flux de données critiques
Refonte complète de pipelines ETL/ELT pour garantir une alimentation stable, surveillée et exempte d’erreurs — même en forte volumétrie.
Améliorer la qualité et la gouvernance
Normalisation, contrôle qualité automatisé, gestion du lineage et documentation structurée afin d’assurer une donnée fiable pour le reporting, les produits et l’IA.
Erwin LEGRAND
CEO
Yield Studio accompagne meilleureauto depuis plus d'un an sur différentes problématiques digitales telles que la stratégie de développement de notre produit, le développement front et le développement back et les sujets Data & IA. Yield Studio nous a livré un produit totalement conforme à nos attentes voir même au-delà de nos exigences.
Fonctionnement

Une approche en 4 phases

ETAPE 1

Audit & cadrage

Nous analysons vos sources, pipelines existants, schémas, volumes, contraintes techniques et besoins métiers. L’objectif : comprendre où se situent les risques, les silos, les dettes techniques et les leviers de performance, puis définir une architecture cible réaliste et scalable.

ETAPE 2

Structuration & qualité de la donnée

Nous centralisons, nettoyons, normalisons et organisons vos données pour les rendre fiables et exploitables.Cela inclut : ingestion multi-sources, modèles de données, gestion du lineage, règles de qualité, documentation, gouvernance et sécurité.

ETAPE 3

Construction des pipelines

Nous mettons en place les pipelines ETL/ELT, l’orchestration, le Data Lake / Warehouse, les règles de transformation et l’observabilité complète.Stack type : Airflow / Dagster, dbt, Kafka, Snowflake, BigQuery, S3 / GCS, Terraform, CI/CD.L’objectif : une plateforme data robuste, performante et maintenable qui tourne en production sans rupture.

ETAPE 4

Intégration métier

Nous exposons la donnée via API, dashboards, modèles analytiques ou outils internes pour qu’elle soit réellement utilisée par vos équipes. Nous accompagnons ensuite vos équipes Data/Produit dans l’appropriation, la montée en compétence et les évolutions de l’écosystème.

Excellence

Engagés sur vos produits digitaux les plus critiques

Pourquoi tant d’applications sont livrées… mais jamais vraiment utilisées ?
On a créé Yield Studio en 2019 pour y répondre : un bon produit digital, c’est d’abord un usage, un impact, une adoption.
Oui, on aime le code de qualité — nos développeurs seniors y veillent chaque jour — mais toujours au service d’un objectif clair et mesurable.

+150

Produits digitaux construits pour des besoins B2B, B2C et internes

9,8/10

de NPS client depuis 2019. Nous construisons un partenariat sur la durée.

Expertises

Développement web & mobile

Product Management

Data & IA

Découvrez Cyrille ADAM
Co-fondateur & CPO

Blog

Découvrez nos articles sur la thématique de la Data

Comment utiliser l’IA dans le développement logiciel sur-mesure : cas d’usage concrets
Dans cet article, on partage 5 cas d’usage IA réellement utiles dans des projets web sur-mesure. Testés, adoptés, adaptables.
James
5/8/2025

“L’IA va remplacer les développeurs.” Vous l’avez entendu aussi ? Mais dans le développement logiciel sur-mesure, la réalité est autre. Les projets sont complexes, spécifiques, souvent construits from scratch. Pas question de générer une app complète en trois prompts.

En revanche, ce qu’on voit très concrètement chez Yield, c’est autre chose :

  • des cas d’usage IA bien ciblés, qui font gagner un temps précieux ;
  • des intégrations simples qui fiabilisent les étapes critiques ;
  • des automatisations qui soulagent les équipes, sans alourdir les process.

Pas besoin de former une AI Squad ni de tout repenser. Mais avec les bons outils, et les bonnes idées, l’IA devient un levier très concret pour mieux documenter, mieux tester, mieux comprendre les données, mieux collaborer produit / dev / métier.

Dans cet article, on partage 5 cas d’usage IA réellement utiles dans des projets web sur-mesure. Testés, adoptés, adaptables.

Pourquoi l’IA a vraiment un intérêt dans le dev sur-mesure

Le développement logiciel sur-mesure, ce n’est pas juste “coder une app” — c’est comprendre un besoin spécifique, poser une architecture propre, livrer avec qualité… souvent dans des environnements métier complexes.

👉 Et c’est justement là que l’IA peut faire la différence : pas pour remplacer les développeurs, mais pour accélérer, fiabiliser, et documenter là où ça compte.

Ce qu’on voit sur le terrain, côté Yield :

  • Gagner du temps sur les tâches à faible valeur ajoutée : générer des jeux de données de test, formater une documentation, proposer des templates de tests unitaires…
  • Rendre visible ce qui ne l’est pas : synthétiser des logs, analyser du legacy, détecter des patterns dans un historique projet.
  • Faciliter le lien produit-dev : transformer une spec produit en ébauche de tests, d’API ou de règles métier.
  • Automatiser certaines vérifications : reviewer une PR, analyser un prompt, suggérer une correction.

⚠️ Mais tout ça ne marche que si :

  • les prompts sont bien cadrés (sinon, l’IA hallucine) ;
  • les inputs sont propres (sinon, les réponses sont inutiles) ;
  • et les usages sont ciblés (sinon, c’est juste une démo gadget).

💡 Ce qu’on répète souvent : une IA bien utilisée, c’est une IA qui fait gagner du temps sans créer de dette.

Cas #1 - Générer du code répétitif ou boilerplate

Certaines tâches reviennent encore et encore : créer des modèles CRUD, poser la base d’un composant frontend, générer une couche d’API ou d’accès aux données… Rien de complexe — mais beaucoup de copier-coller.

👉 Avec des prompts bien calibrés, une IA comme GPT-4 peut :

  • générer un service TypeScript ou Python à partir d’un modèle métier ;
  • proposer une structure d’API REST cohérente avec un use case ;
  • créer les squelettes de tests unitaires basés sur un fichier de code.
Retour d’XP :
“Sur un projet d’outils RH, on utilisait un prompt maison pour générer les services backend à partir du modèle métier. Ça nous a vraiment accélérés sur la mise en place. Et comme c’était relu derrière, on gardait la maîtrise technique.”

— Simon, Lead Dev @Yield Studio

⚠️ À garder en tête :

  • L’IA ne remplace pas les choix d’architecture.
  • Il faut toujours relire, adapter, tester.
  • C’est un outil pour accélérer, pas pour déléguer des décisions tech.

Bien utilisé, c’est un vrai booster sur les phases d’amorçage — surtout sur des architectures déjà balisées (Clean Architecture, DDD light…).

Cas #2 - Accélérer l’écriture de tests (unitaires, end-to-end, contractuels)

Écrire des tests est essentiel — mais reste parfois perçu comme une contrainte. Et sur des projets où les deadlines sont serrées, c’est souvent le premier poste sacrifié. Pourtant, bien accompagnée, l’IA peut réduire drastiquement le temps passé à écrire les tests… sans rogner sur leur qualité.

Concrètement, elle peut servir à : 

  • Générer un test unitaire complet à partir d’un service ou d’un composant React.
  • Proposer des cas limites à tester automatiquement, y compris les erreurs.
  • Suggérer une suite de tests e2e en partant d’un scénario métier rédigé.
Retour d’XP : 
“Sur une plateforme de contrats, on a demandé à GPT de générer des tests à partir de nos scénarios Gherkin. C’était pas 100 % plug and play, mais ça posait déjà une bonne base. Le plus dur (la structure) était fait.”

— Claire, QA Engineer @Yield Studio

👉 L’IA est particulièrement utile pour les tests oubliés (erreurs, edge cases), pour produire vite une couverture de base sur un projet existant, pour onboarder une équipe dev sur un projet déjà lancé.

⚠️ À condition d’avoir :

  • une logique métier claire (sinon les tests sont à côté) ;
  • une stack testable (Cypress, Vitest, Jest…) bien en place.

Cas #3 - Booster la productivité avec un “pair dev IA”

Sur certains projets, surtout en phase de montée en charge, l’IA peut jouer un rôle inattendu : celui de coéquipier technique. Pas pour remplacer — mais pour soutenir le raisonnement, débloquer un problème, ou générer un brouillon de code plus vite.

Ce qu’on voit de plus en plus chez nos devs :

  • Besoin d’un snippet rapide pour parser une date ISO complexe ? Le LLM propose plusieurs approches en quelques secondes.
  • Une regex tordue à écrire ? On l’obtient en 2 prompts, testée et expliquée.
  • Une lib mal documentée ? L’IA peut générer un exemple minimal pour gagner du temps.

Le vrai gain ? On passe moins de temps à chercher, à scroller sur Stack Overflow ou à déchiffrer des documentations opaques. Et plus de temps à réfléchir à la structure du code et aux vrais enjeux du projet.

Retour d’XP :
“Nos devs juniors utilisaient Cursor pour les petits blocages du quotidien. C’est pas magique, mais quand tu galères sur une regex ou un parsing un peu relou, ça te fait gagner 30 minutes. Et côté seniors, on sentait que ça fluidifiait les revues.”

— Hugo, Engineering Manager @Yield Studio

⚠️ Limite à poser impérativement : ne pas “copier-coller” sans relire. L’IA peut halluciner, ou générer du code inutilement complexe. Chez Yield, on garde la règle : ce que l’IA propose, c’est un point de départ — pas un livrable.

Cas #4 - Créer une documentation technique plus fluide (et vivante)

La documentation est souvent le parent pauvre d’un projet logiciel. Manque de temps, flemme, ou difficulté à bien formuler ce qu’on fait… Résultat : des pages obsolètes, des README vides, des devs perdus en onboarding.

C’est là qu’un LLM bien utilisé peut faire gagner un temps précieux.

Cas concrets vus chez Yield :

  • Générer un premier brouillon de README à partir des noms de fichiers, commentaires et structure du projet ;
  • Résumer une PR complexe en langage naturel pour mieux partager son contenu ;
  • Expliquer un morceau de code métier à un·e dev non expert·e du domaine.

👉 L’IA n’écrit pas la doc à votre place. Mais elle vous aide à passer le cap du “syndrôme de la page blanche”. Et à garder une base claire, lisible, accessible à tous.

Retour d’XP : 
“Sur un SaaS santé, on avait branché un bot sur nos repos pour proposer un résumé de PR à chaque merge. C’était imparfait, mais hyper utile en relecture ou pour onboarder. On l’a vite gardé dans le process.”

— Lucie, Product Builder @Yield Studio

⚠️ Attention à la dérive “doc générée à l’aveugle”. Ce n’est pas parce que l’IA écrit bien qu’elle comprend. On garde la main pour valider — et on évite les formulations floues ou imprécises.

Cas #5 - Générer des jeux de données de test réalistes

Tester une app avec des données factices, c’est souvent le cauchemar : prénoms bidons, dates incohérentes, données trop propres. Et pourtant, un bon jeu de test fait toute la différence pour détecter les bugs, simuler des cas limites… et valider des features avant la prod.

Là aussi, l’IA peut aider — si elle est bien cadrée.

Cas d’usage concrets :

  • Générer des profils utilisateurs complets et réalistes (avec cohérence entre prénom, mail, date de naissance, etc.) ;
  • Créer des scénarios métier riches : ex. utilisateurs inactifs depuis X mois, comptes incomplets, transactions en erreur…
  • Simuler des comportements “extrêmes” : erreurs saisies, chaînes longues, formats inattendus.

👉 Utiliser un modèle GenAI ou une librairie boostée au prompt engineering permet de produire des jeux de données plus proches du réel, avec moins de scripts maison à maintenir.

Retour d’XP :
“L’IA nous a permis de générer des jeux de données métier avec des cas tordus (incohérences, doublons, profils incomplets). Pour la QA, c’était clairement un plus : on détectait plus de bugs, plus tôt.”

— Antoine, Tech Lead @Yield Studio

⚠️ On ne laisse pas un LLM créer n’importe quoi. On fixe des règles : format, cohérence, diversité. Et surtout, pas de données perso réelles en entrée. Jamais.

Conclusion — L’IA ne remplace pas les devs. Elle leur fait gagner du temps (quand elle est bien utilisée).

Utiliser l’IA dans un projet sur-mesure, ce n’est pas “suivre la tendance”. C’est identifier ce qui mérite d’être accéléré, enrichi, automatisé — sans sacrifier la qualité, la compréhension métier ou la maintenabilité.

👉 Générer du code, résumer un ticket, compléter un test, préparer un jeu de données : tous ces “petits” gains peuvent, à l’échelle d’un projet, transformer la vélocité.

Mais ça ne marche que si :

  • on cible les bons cas d’usage, là où l’IA apporte une vraie valeur ;
  • on intègre l’outil dans un cadre maîtrisé (inputs, outputs, responsabilités) ;
  • et on garde une équipe responsable, qui comprend ce qu’elle livre.

Chez Yield, on ne déploie pas l’IA pour faire joli. On l’utilise pour aider les équipes à aller plus vite sans créer de dette— sur des produits métier où la robustesse compte.

👉 Vous explorez l’IA dans un contexte dev ? On peut vous aider à cadrer les bons cas, outiller vos équipes, et avancer concrètement.

IA, ML, GenAI : comment s’y retrouver (et faire les bons choix)
IA, machine learning, GenAI : trois termes partout, souvent mélangés, rarement compris. Et derrière, des décisions mal cadrées, des attentes floues, des projets qui patinent.
James
4/8/2025

“On pourrait mettre de l’IA.” Une phrase qu’on entend souvent — et qui peut tout vouloir dire… ou rien.

IA, machine learning, GenAI : trois termes partout, souvent mélangés, rarement compris. Et derrière, des décisions mal cadrées, des attentes floues, des projets qui patinent.

Chez Yield, on conçoit des produits web sur mesure. Et on intègre parfois de l’IA — mais jamais “pour faire de l’IA”. Seulement quand ça sert un usage, avec la bonne approche : algo maison, moteur ML, ou API GenAI.

Dans cet article, on vous aide à poser les bases :

  • IA vs ML vs GenAI : les vraies définitions, sans jargon ;
  • Ce que ça change sur un produit, une stack, une roadmap ;
  • Et comment prendre les bonnes décisions côté produit et tech.

👉 Pour faire de bons choix, mieux vaut comprendre les fondamentaux — que suivre la hype.

IA vs ML vs GenAI : les vraies définitions

IA (Intelligence Artificielle)

C’est le concept global : faire exécuter à une machine des tâches qu’on associe à de l'intelligence humaine.

👉 Exemples : reconnaître des visages, classer des documents, planifier un itinéraire…

Mais c’est un terme fourre-tout. Tout ce qui est “un peu intelligent” y passe : moteur de règles, chatbot basique, modèle prédictif…

ML (Machine Learning)

C’est un sous-domaine de l’IA. Ici, la machine apprend à partir de données : elle ne suit pas des règles codées à la main, elle déduit des modèles à partir d’exemples.

👉 Exemples :

  • prédire si un client va churner ;
  • reconnaître une adresse postale sur un scan ;
  • estimer la probabilité d’un retard logistique.

Il faut des données propres, structurées, suffisantes. Le ML est puissant, mais exigeant en préparation.

GenAI (IA générative)

C’est une autre branche : générer du texte, des images, du code, du son… à partir d’une consigne.

Elle repose souvent sur des LLMs (large language models), comme GPT, Claude ou Mistral.

👉Exemples :

  • résumer un ticket client ;
  • générer un mail de relance ;
  • reformuler une fiche produit.

À retenir :

  • IA = le domaine large, parfois flou ;
  • ML = apprendre à partir de données ;
  • GenAI = produire du contenu à partir d’un prompt.

Des cas d’usage concrets pour comprendre

Plutôt qu’un débat théorique, mieux vaut partir des problèmes concrets qu’on cherche à résoudre — et voir quelle approche IA/ML/GenAI est adaptée.

Classer automatiquement des documents

👉 Machine Learning supervisé
Exemple : classer des factures, des contrats, des CV.

On entraîne un modèle sur des données labellisées (ex. : “facture EDF”, “contrat freelance”) → il apprend à généraliser.

Automatiser une réponse client simple

👉 IA “classique” ou règles + NLP
Exemple : chatbot support qui répond à “Comment changer mon mot de passe ?”

On peut combiner détection d’intention, règles et base de connaissance. Pas besoin de GenAI.

Résumer un ticket ou reformuler un texte

👉 IA générative (LLM)
Exemple : un PM veut un résumé de 15 retours clients.

Un modèle comme GPT peut générer une synthèse exploitable, ou reformuler dans le ton de marque.

Détecter une anomalie métier (fraude, erreur, comportement inhabituel)

👉 Machine Learning non supervisé
Exemple : détection de factures atypiques, d’abus d’usage, ou d’activité incohérente.

Le modèle apprend la “norme” et alerte quand on s’en écarte.

Besoin : interroger ses données métier “en langage naturel”

👉 IA générative + intégration métier
Exemple : “Combien d’inscrits en mai par canal d’acquisition ?”

Un LLM traduit la question en requête sur la base de données — à condition d’avoir un schéma clair + couche de validation.

💡La clé, ce n’est pas “quelle techno est la plus puissante ?” mais “quelle techno résout votre problème avec le bon ratio effort/valeur ?”

Ce que ça change côté produit

Quand on intègre de l’IA, du ML ou de la GenAI dans une app, on ne parle plus d’une feature classique. Côté produit, il faut changer de posture : cadrer l’imprévisible, piloter par la valeur, et assumer une logique d’exploration.

Le besoin métier ne suffit pas. Il faut poser un comportement cible.

Une IA ne répond pas à “je veux automatiser ça” mais à “dans 80 % des cas, je veux éviter cette tâche”.

👉 Il faut traduire le besoin en cas d’usage clair, observable, avec un critère de succès réaliste. Pas une promesse floue d’intelligence.

La qualité se mesure différemment.

Pas de “ça marche / ça marche pas”. Il faut accepter du bruit, cadrer la tolérance à l’erreur, tester avec des données réelles.

➡️ On parle d’évaluation continue, pas de validation en spec.

Le design produit doit encadrer les limites.

Une GenAI qui hallucine ? Un modèle qui dérive ? Le rôle du PM, c’est aussi de définir les garde-fous : seuils, fallback, formulation des prompts, contexte affiché, etc.

👉 Une UI d’IA sans cadrage, c’est une UX qui déçoit — voire un produit inutilisable.

La méthode change : moins de ticketing, plus de prototypage.

Ce n’est pas une story = une PR. Il faut maquetter, tester vite, jeter si besoin.

💡 Chez Yield, on pose souvent un sprint 0 orienté “preuve de valeur” — pas de specs, juste : cas d’usage, données, test simple, go/no go.

Ce que ça suppose côté équipe

Adopter une démarche IA ou ML, ce n’est pas “ajouter une techno”. C’est changer la manière de penser, concevoir, et livrer un produit. Et ça suppose des responsabilités bien réparties dans l’équipe.

Côté produit : poser les bonnes questions.

On ne spécifie pas une IA comme un formulaire. Il faut cadrer autrement :

  • Quelle tâche veut-on accélérer, automatiser, ou enrichir ?
  • Quel niveau de confiance est acceptable ?
  • Que fait-on quand le modèle se trompe ?

👉 Le PM devient l’orchestrateur de scénarios probabilistes, pas de parcours figés.

Côté tech : garantir la robustesse du système complet.

Utiliser un LLM ou un modèle ML, ce n’est pas juste un appel d’API.

  • Est-ce qu’on comprend ce que le modèle fait vraiment ?
  • Est-ce qu’on trace, loggue, mesure les sorties ? 
  • Est-ce qu’on gère bien les erreurs, les temps de latence, les versions ?

👉 Un système IA bien conçu, c’est observable, testable, rollbackable.

Côté design : rendre l’IA explicable et actionnable.

  • Que fait la machine, et pourquoi ?
  • Peut-on corriger, ajuster, affiner ?
  • L’utilisateur a-t-il confiance, ou subit-il une “boîte noire” ?

👉 On design une expérience, pas juste une réponse IA.

Côté orga : sortir du cycle build–ship–forget.

Un produit IA, ça s’entraîne, ça s’ajuste, ça évolue.

  • Qui est responsable des prompts ?
  • Quand réentraîne-t-on le modèle ?
  • Qui surveille la qualité en continu ?

👉 Chez Yield, on pose une gouvernance claire : ownership produit, cycle d’itération court, monitoring live.

💡 Ce qu’on voit : une bonne équipe IA, ce n’est pas une cellule d’experts. C’est une équipe pluridisciplinaire qui accepte l’incertitude — et sait structurer autour.

Bien choisir sa stack (et ses partenaires)

Pas besoin d’un LLM maison ou d’un data lake à six zéros pour intégrer de l’IA dans un produit. Mais il faut faire les bons choix — sinon, vous multipliez les coûts, les risques, et la dette technique.

Premier choix structurant : build ou buy.

Vous pouvez vous appuyer sur des modèles existants (OpenAI, Hugging Face, Claude, etc.) ou construire en interne.

  • Si le besoin est standard (résumé, classification, suggestion…), des APIs externes suffisent.
  • Si le besoin est spécifique ou sensible (modèle métier, données internes), il faut envisager un fine-tuning ou un modèle hébergé en local.

Ensuite : le chaînage des outils.

RAG, vecteurs, orchestrateurs (LangChain, LlamaIndex…), monitoring, guardrails… Une bonne stack IA, ce n’est pas “juste un appel à l’API”. C’est un système à concevoir comme un morceau d’architecture produit.

Et côté partenaires ?

Attention aux prestataires IA “full blackbox” ou aux intégrations magiques promises en 3 jours. Une bonne intégration IA, ça se pense côté métier, côté dev, et côté usage — pas juste côté algo.

💡 Ce qu’on fait chez Yield :

  • Prioriser les cas d’usage, puis tester rapidement avec des composants existants ;
  • Valider l’impact réel avant de choisir une stack longue durée ;
  • Éviter la stack IA “bricolée” qui deviendra ingérable en prod.

Bonus : 5 questions à se poser avant d’ajouter de l’IA à son produit

Quel est le problème métier précis à résoudre ?
Pas “faire de l’IA” — mais gagner du temps, réduire des erreurs, améliorer l’expérience.

Les données nécessaires existent-elles ?
Modèle ML = données propres + étiquetées. GenAI = contexte clair + prompt bien formulé.

Quel niveau de tolérance à l’erreur est acceptable ?
Une prédiction à 90 % ? Une génération de texte imprécise ? Il faut cadrer ça dès le départ.

Le résultat est-il explicable, actionnable ?
Un utilisateur ne doit jamais se demander “pourquoi ça a répondu ça”.

Le ROI est-il mesurable ?
Gain de temps ? Moins de support ? Conversion augmentée ? Un bon projet IA s’évalue, pas juste “s’impressionne”.

💡 Vous n’avez pas besoin d’un modèle maison. Vous avez besoin d’un problème clair + solution testable.

Conclusion — Pas de magie, mais une vraie opportunité

IA, ML, GenAI… Derrière les buzzwords, une réalité simple : ces technologies peuvent vraiment transformer un produit — si on les intègre avec méthode.

Ce n’est pas un effet de mode. C’est un levier à intégrer dans une stratégie produit claire :

  • des cas d’usage bien cadrés ;
  • une stack qui tient en prod ;
  • une équipe prête à en assumer les implications.

Chez Yield, on ne vend pas de promesse “AI-first”. On conçoit des produits utiles, testables, maintenables — avec ou sans IA.

Vous avez un cas d’usage IA à structurer, ou une opportunité GenAI à valider ? On peut vous aider à faire les bons choix. Sans bullshit. Et sans dette.

Top 5 des agences IA en France
Dans cet article, on vous partage 5 agences IA qui font vraiment le job. Celles qui livrent des solutions d'Intelligence Artificielle activables, mesurables, maintenables.
James
26/6/2025

Un modèle “génératif” impressionnant. Un POC bien marketé. Une équipe IA en place.
Et pourtant ? Aucune intégration dans le produit. Aucun usage terrain. Aucune valeur créée.

Ce scénario, on le retrouve dans 90 % des projets IA mal embarqués. Pas parce que la techno est mauvaise. Mais parce que le cadrage est flou, le cas d’usage mal posé, ou l’industrialisation jamais anticipée.

👉 L’IA est partout. Mais les résultats concrets, eux, se font attendre.

Chez Yield, on a été appelés sur plus d’une vingtaine de projets IA “à sauver” ces deux dernières années. À chaque fois, le constat est le même :

  • Un modèle prometteur, mais inexploité.
  • Une stack surdimensionnée, sans MLOps.
  • Une absence totale de lien avec le métier.

En 2025, une agence IA ne sert à rien si elle ne sait pas faire atterrir un cas d’usage dans vos outils — et dans le quotidien de vos équipes. Pas juste un chatbot à la volée ou un scoring en sandbox. Un outil qui fonctionne, qui s’intègre, et qui sert vraiment.

Dans cet article, on vous partage 5 agences qui font vraiment le job. Celles qui livrent des solutions IA activables, mesurables, maintenables.

Et oui, on commence par Yield. Pas par posture. Parce que notre spécialité, ce n’est pas de “faire de l’IA”. C’est de construire un produit IA… qui sert un vrai usage métier.

1. Yield Studio — L’IA utile, intégrée, et pensée produit

Chez Yield, on ne construit pas des modèles pour impressionner. On conçoit des outils qui s’intègrent, qui servent un vrai usage — et qui changent la donne côté métier.

Notre posture est simple : IA + Produit + Delivery. Pas de silo entre l’exploration et la mise en production. Pas de POC fantôme. Pas de modèle hors sol.

On intervient là où l’IA peut faire gagner du temps, fiabiliser des décisions ou automatiser des tâches — sans surpromesse.

Ce qu’on livre, c’est une trajectoire claire, une stack réaliste, un MVP utile dès la première version. Et surtout : un produit qu’on peut tester, itérer, mesurer.

Retour d’XP - +20 % d’efficacité sans entraîner le moindre modèle
“Sur un projet logistique, le client voulait automatiser l’affectation de missions avec un modèle IA.
En creusant, on a vu que le vrai enjeu, c’était le tri : prioriser vite, sans erreur.
On a remplacé l’idée du modèle par une logique métier claire, plus simple à implémenter.
Résultat : +20 % d’efficacité réelle, un process plus fluide… et zéro complexité inutile.”

Julien, Ingénieur IA chez Yield Studio

Pourquoi ça fonctionne

Si ça marche, ce n’est pas un coup de chance — c’est une méthode qu’on applique à chaque mission :

  • Une vraie hybridation produit / IA / delivery : on pense usage métier avant modèle.
  • Un cadrage clair : on ne démarre pas sans hypothèse d’impact et données disponibles.
  • Une stack maîtrisée : pas d’over-engineering. On va à l’essentiel, avec du MLOps s’il le faut — ou sans IA si ce n’est pas utile.
  • Un passage en prod dès la V1 : tests, mesures, retours utilisateurs. Pas de solution “à part”.

Qui fait appel à nous ?

Des DSI, des directions produit ou métier qui ont :

  • Un volume de données à exploiter mais peu de bande passante technique.
  • Un cas d’usage IA (scoring, co-pilotage, OCR, NLP…) mais pas de trajectoire claire.
  • Besoin d’un partenaire autonome, capable de livrer vite — et de rester aligné avec le terrain.

👉 Yield, c’est l’agence IA qui préfère un modèle simple… à une complexité inutile.
Parce qu’un bon produit IA, ce n’est pas celui qui impressionne. C’est celui qui s’intègre.

2. Artefact — Industrialiser l’IA dans les grandes organisations

Impossible de parler IA en France sans citer Artefact. Ils interviennent là où la donnée est massive, dispersée, critique. Leur force : transformer un SI complexe en plateforme IA industrialisable. Pas de magie, pas de hype. Juste une méthodologie béton : cadrage clair, MLOps solide, montée à l’échelle maîtrisée.

Ils bossent avec les grands groupes (luxe, retail, banque) sur des chantiers structurants : scoring, supply, recommandation, prévision.

Leurs équipes sont pointues, rigoureuses, parfois très “consulting” — mais diablement efficaces pour faire atterrir une IA dans un écosystème lourd.

👉 Le bon choix si votre enjeu, c’est d’industrialiser de l’IA dans un SI tentaculaire. Et que le PowerPoint, vous en avez déjà assez.

3. Keyrus — Structurer, piloter et connecter l’IA à la donnée existante

Keyrus, c’est l’architecte. Leur spécialité : construire un socle data propre, lisible, exploitable — pour ensuite y injecter des briques IA pertinentes. 

Ils brillent là où le terrain est flou : SI cloisonné, gouvernance confuse, peu de vision produit. Ils mettent de l’ordre. Et derrière, ils livrent. Sur des sujets très concrets : prévision de ventes, scoring, automatisation de traitements métier.

Leurs projets sont bien gérés, bien documentés, bien livrés. Moins sexy qu’un labo LLM, mais bien plus utile dans la vraie vie.

👉 À choisir si vous partez de loin sur la data — mais que vous voulez une IA qui tient dans votre réalité métier.

4. Elevate — Injecter de l’IA dans vos produits, sans perdre la main

Elevate ne vient pas refaire votre roadmap IA. Ils viennent l’accélérer. 

Collectif de profils senior (PM, data scientists, ML engineers), ils interviennent là où l’enjeu, c’est d’aller vite — sans sacrifier la qualité. Leur force : leur posture produit. Chaque modèle est pensé pour un usage. Pas pour un benchmark.

Ils interviennent souvent en co-construction avec des équipes internes, sur des sujets comme :

  • copilotes intelligents ;
  • agents conversationnels métier ;
  • outils d’aide à la décision sur mesure.

👉 Le bon choix si vous avez déjà des équipes solides — mais que vous voulez injecter de l’expertise IA concrète, orientée valeur.

5. Quantmetry — Faire de l’IA avancée… qui tourne pour de vrai

Quantmetry, c’est le commando technique. Modélisation avancée, NLP, prévision, traitement de signal : ils savent faire. Mais surtout, ils savent livrer. Même quand le terrain est instable, les données hétérogènes, ou le métier peu acculturé.
Ils ont bossé avec des industriels, des énergéticiens, des groupes bancaires — toujours sur des cas critiques.

Pas les meilleurs pour vous vendre une IA “générative” toutes options. Mais redoutables pour construire une solution robuste dans un contexte complexe.

👉 À appeler si vous avez un vrai use case IA… et besoin d’un niveau d’exécution sans approximation.

Ce qu’on attend vraiment d’une agence d’intelligence artificielle

Tout le monde se dit “agence IA”. Très peu savent livrer une solution activable.

Parce que développer un modèle, c’est une chose. Mais en faire un outil utilisé, maintenu, qui crée de la valeur métier… c’est un autre métier.

Ce qu’on voit encore trop souvent sur le terrain ? Des modèles qui tournent en local, jamais déployés. Des cas d’usage flous, jamais validés avec le métier. Des architectures sans MLOps, impossibles à maintenir. Des dashboards qui “monitorent”… mais que personne ne lit.

👉 Une bonne agence IA, ce n’est pas celle qui vous parle de transformer votre entreprise avec l’IA. C’est celle qui choisit le bon use case, le bon niveau de techno, et qui vous aide à sortir une V1 utile.

Une IA pensée usage, pas vitrine

Un bon projet IA commence par un problème bien posé — pas par une envie de “faire de l’IA”.

Trop de projets démarrent par la techno (“LLM”, “vision”, “clustering”)… sans jamais se demander : Qu’est-ce qu’on cherche vraiment à améliorer ? Pour qui ? À quel moment du process métier ?

Une bonne agence commence par cadrer le bon use case : celui qui coche 3 cases simples :

  • Un besoin concret, exprimé par le terrain.
  • Des données disponibles, fiables, suffisantes.
  • Un gain mesurable en productivité, fiabilité ou expérience.

💡85 % des projets IA échouent faute de cadrage initial solide.

👉 Chez Yield, on refuse 1 projet sur 3. Non pas parce qu’il n’est pas “intéressant”.
Mais parce qu’il ne sert pas vraiment le métier, ou qu’il est impossible à activer avec les données réelles.

Une capacité à itérer, pas juste à modéliser

Beaucoup d’agences livrent un modèle “prêt à l’emploi”. Mais dès les premiers tests, ça bloque : le seuil est mal réglé, le dataset évolue, les retours du terrain sont contradictoires.

👉 Une IA qui marche, c’est une IA qu’on recalibre.

Il faut :

  • Observer les usages dès la V1.
  • Recueillir du feedback qualitatif (retours utilisateur, frictions, incompréhensions).
  • Ajuster le modèle ou même… simplifier (parfois le plus gros levier est métier).
“Le vrai enjeu, ce n’est pas de faire 98 % de F1-score en bac à sable.
C’est d’avoir 80 % de réponses jugées utiles sur le terrain, dans un contexte flou.”
Juliette, Product Owner IA chez Yield

💡Les projets IA qui itèrent avec les utilisateurs augmentent de 65 % leur taux d’adoption à 3 mois.

Un delivery solide dès la V1

Un bon modèle sans CI/CD, sans log, sans monitoring, ne sert à rien. Il sera obsolète à la première anomalie. Ou pire : personne ne saura pourquoi il ne prédit plus rien.

Une agence sérieuse outille le projet dès le départ :

  • Pipeline CI/CD pour les modèles, pas juste le code ;
  • Monitoring de dérive, alertes, dashboards de perf ;
  • Logs lisibles côté métier pour construire la confiance.

Les projets IA dotés d’un vrai pipeline de mise en production divisent par 2 le coût de maintenance à 12 mois.

👉 Ce n’est pas un luxe. C’est la seule façon de passer en production… et d’y rester.

Une vraie acculturation des équipes métier

Un modèle IA, aussi bon soit-il, n’a aucun impact s’il n’est pas utilisé.
Et il ne sera pas utilisé si :

  • les équipes ne comprennent pas son fonctionnement ;
  • elles ne savent pas quand lui faire confiance ;
  • elles ne sont pas impliquées dans sa conception.

👉 Le delivery, c’est 50 % technique, 50 % humain.

Chez Yield, on intègre le terrain dans chaque itération :

  • Sessions d’observation in situ ;
  • Onboarding métier sur les outputs IA ;
  • Docs ultra pédagogiques pour lever les freins (ex. : “Quand ne pas utiliser le modèle”).

💡45 % des projets IA échouent par manque d’adhésion métier, pas de performance technique.

Conclusion — Une agence IA ne vous vend pas un modèle. Elle vous aide à créer un levier.

Aujourd’hui, n’importe qui peut faire tourner un modèle open-source. Mais très peu savent transformer un besoin métier en produit IA activable, mesurable, utile.

Les meilleures agences IA n’ont pas toutes le même profil — et c’est tant mieux.

  • Artefact excelle dans l’industrialisation, avec une méthodo rigoureuse et scalable.
  • Keyrus structure l’existant et connecte l’IA à la réalité des données terrain.
  • Elevate injecte vite de la valeur là où il faut des profils seniors et orientés usage.
  • Quantmetry brille sur les cas complexes, avec une vraie profondeur technique.

Mais chez Yield, on assume une autre approche. On ne vend pas une “stratégie IA”. On co-construit une solution qui tourne dans votre quotidien. Pas dans 9 mois. Pas après 12 phases de cadrage. En quelques semaines, avec du feedback réel.

Notre force, c’est ce mix :

  • Une vraie posture produit pour cibler ce qui compte ;
  • Une expertise technique solide pour aller jusqu’au déploiement ;
  • Une culture du terrain pour créer de l’usage — pas juste des specs.

👉 Si vous cherchez un partenaire IA qui comprend vos contraintes, vos flux, vos utilisateurs : on vous aide à construire ce qui fonctionne. Pour de vrai.

FAQ

La réponse à vos questions

Qu’est-ce qu’une agence de Data Engineering et que fait-elle ?
Une agence de Data Engineering conçoit et maintient l’infrastructure nécessaire pour collecter, transformer, stocker et fiabiliser vos données. Cela inclut les pipelines ETL/ELT, le Data Lake, la qualité des données, la gouvernance, la sécurité, l’orchestration et l’intégration au SI (ERP, CRM, SaaS internes). L’objectif : fournir une donnée propre, accessible et exploitable pour vos usages métiers et analytiques.
Pourquoi investir dans le Data Engineering avant l’IA ou la Data Science ?
Parce que 80 % des projets data échouent à cause de données mal structurées, incomplètes ou non fiables. Sans une base data solide, aucun algorithme, dashboard ou projet IA ne peut tenir. Le Data Engineering garantit une donnée correcte, exploitable et stable, condition indispensable pour industrialiser vos projets.
Combien coûte un projet de Data Engineering ?
Un projet de cadrage ou audit commence autour de 5–15k€. Une mise en place de pipelines + Data Lake / Warehouse évolue entre 30k€ et 120k€, selon la complexité, les volumes, le SI et les intégrations. Une maintenance continue se situe entre 2k€ et 10k€ / mois selon la criticité. Tous les budgets sont calibrés selon le ROI attendu, la volumétrie et les usages métiers.
Combien de temps faut-il pour avoir un premier résultat concret ?
Entre 1 et 3 semaines pour un premier pipeline fiable ou une première source intégrée. Entre 6 et 12 semaines pour une plateforme data opérationnelle. Nous livrons par incréments, de façon continue, pour que la valeur soit visible très tôt.
Quels outils et technologies utilisez-vous ?
Nous travaillons avec les outils reconnus pour leur fiabilité et leur maintenabilité :Airflow, Dagster, dbt, Kafka, Snowflake, BigQuery, Redshift, Postgres, S3/GCS, Terraform, Docker, Kubernetes, Metabase, Looker, Power BI…Le choix est fait selon vos contraintes, pas selon la mode.
Pouvez-vous travailler avec ma stack existante ?
Oui. Nous nous intégrons à votre SI sans imposer un outil spécifique. Notre approche : adapter l’infrastructure data à vos contraintes internes (ERP, CRM, outils maison, SaaS, cloud, on-premise), tout en améliorant la performance et la sécurité.
Comment garantir la qualité et la fiabilité des données ?
Nous mettons en place des tests automatisés, des règles de qualité, de la normalisation, du contrôle des schémas, du lineage, de la documentation et du monitoring en continu. Objectif : une donnée fiable, cohérente et traçable, même en forte volumétrie.
Quels sont les signes qu’il est temps d’investir dans le Data Engineering ?
- Données en silos ou sources dispersées
- Pipelines fragiles, manuels ou sujets à des erreurs
- Reporting lent ou incohérent
- Duplications et incohérences dans les données
- Difficulté à intégrer de nouvelles sources
- Manque de visibilité sur la qualité et l’origine des données
- Préparation à un projet IA ou data science

Échangeons sur votre projet !

Application web
Application mobile
Logiciel métier
Nous contacter

Simulateur

Bienvenue dans le
simulateur d’estimation

Sélectionnez
vos besoins

Sélectionnez un ou plusieurs choix

Définissez les
fonctionnalités

Sélectionnez un ou plusieurs choix

Dernière
étape !

Renseignez votre adresse mail pour recevoir l’estimation !
Obtenez l’estimation
Précédent
Suivant

Bravo ! Vous avez terminé
l’estimation de votre future app !

Vous recevrez dans votre boite mail l’estimation personnalisé. Une estimation vous offre la possibilité de vous projeter dans un budget, vous permettant ainsi de planifier en toute confiance. Néanmoins, chez Yield, nous adoptons une approche agile, prêts à remettre en question et ajuster nos évaluations en fonction de l'évolution de vos besoins et des spécificités de votre projet.
Retour au site
Oops! Something went wrong while submitting the form.