Tests utilisateurs
Testez et peaufinez l'expérience utilisateur
Des consultants expérimentés pour structurer vos produits digitaux, faire monter vos équipes en compétence et accélérer vos projets, à toutes les étapes du cycle de vie produit.
Chez Yield Studio, nous croyons que le succès d’un produit ne repose pas sur la chance, mais sur une méthode. Notre équipe de Product Managers intervient au cœur de vos projets pour structurer, piloter et faire grandir vos produits digitaux. Discovery, Strategy, Delivery, Growth… nous intégrons vos enjeux business à chaque étape, sans jamais perdre de vue l’utilisateur final.
Notre approche est à la fois empathique et orientée résultats : comprendre profondément les usages, s’aligner avec vos objectifs, et co-construire des solutions concrètes, utiles, utilisées.
Chez Yield Studio, nous croyons qu’un bon produit dépend avant tout des personnes qui le portent. C’est pourquoi nous plaçons des consultants expérimentés, sélectionnés avec exigence, au cœur de vos projets. Leur rôle : structurer, accélérer et faire grandir vos produits, en immersion dans vos équipes, avec une vraie culture du résultat. Nos chiffres parlent d’eux-mêmes.
Nos clients saluent la posture, l’autonomie et la capacité d’impact rapide de nos consultants, même en contexte complexe.
Chaque consultant est sélectionné à l’issue d’un processus exigeant mêlant cas pratiques, entretiens et évaluation de soft skills produit.
CAC40, ETI, institutions publiques… nos consultants sont habitués aux environnements sensibles, aux roadmaps complexes et à l’alignement multi-acteurs.
Nos PM, Designers et Quality sont formés à mesurer la valeur, prioriser utile, et embarquer les équipes dans une dynamique produit efficace.
Nous écrivons un code de qualité dès le départ pour aller plus vite ensuite
Nous identifions les fonctionnalités différenciantes pour les utilisateurs finaux
Nous mettons très rapidement en production les fonctionnalités grâce à notre Lean Lab’ ®
Nous partons des problèmes réels. Grâce à des méthodes issues du design thinking et de l’UX research, nous accompagnons vos équipes dans l’exploration des besoins utilisateurs. Nos ateliers, interviews et tests nous permettent de poser des bases solides avant de commencer à construire.
Nous structurons votre vision produit : étude de marché, analyse concurrentielle, positionnement, définition des KPIs et des objectifs de succès. L’objectif est clair : faire les bons choix avant d’investir dans le build, et aligner toutes les équipes autour d’une feuille de route ambitieuse et réaliste.
Place à l’exécution. Nos Product Managers sont experts en méthodologies agiles et en pilotage d’équipes produit. Ils structurent votre delivery avec une roadmap claire, un backlog priorisé, des rituels bien tenus et un suivi régulier de la valeur délivrée. Objectif : livrer vite, bien, et dans une logique d’amélioration continue.
Chez Yield Studio, chaque mission suit un processus éprouvé, en 5 grandes étapes :
Des Product Managers, Designers ou Quality intégrés à vos équipes pour faire avancer vos produits, au quotidien, avec méthode et impact.
- Product Discovery continue
- Roadmap et backlog priorisé
- Delivery structuré et suivi des KPIs
- Interaction directe avec vos utilisateurs & stakeholders
Des sessions sur-mesure pour faire monter vos équipes en compétence, professionnaliser les pratiques produit et ancrer une culture d’impact.
- Ateliers Discovery & Impact Mapping
- Coaching de Product Managers & Designers
- Mise en place de démarches agiles adaptées à votre contexte
- Accompagnement au changement dans les équipes
Des experts pour structurer votre organisation produit, faire évoluer vos process, aligner les parties prenantes et sécuriser vos décisions.
- Définition de vision & stratégie produit
- Audit organisationnel et recommandations opérationnelles
- Mise en place d’un pilotage produit clair et mesurable
- CPO de transition / structuration de pôle produit
Yield Studio aide les entreprises à devenir plus productives et identifier des leviers de croissance. Agacés de travailler sur des projets sans impact réel, c’est en 2019 que James et Cyrille créent Yield Studio. Notre objectif est d’utiliser la tech pour créer des innovations qui apportent de la valeur à la fois à l’utilisateur final et à la fois au business
Produits digitaux construits pour des besoins B2B, B2C et internes
de NPS client depuis 2019. Nous construisons un partenariat sur la durée.
Développement web & mobile
Product Management
Data & IA
Tout le monde parle de “culture produit”. Mais combien livrent vraiment un produit qui tient ?
En 2025, impossible de piloter un SaaS, une app métier ou une plateforme sans un vrai Product Management. Pas du “cadrage PowerPoint”. Du concret : une vision claire, des arbitrages solides, un MVP livré — et adopté.
Le problème ? Tout le monde se dit “cabinet produit”. Mais sur le terrain, on voit encore :
Chez Yield, on a repris plus de 30 projets mal embarqués ces deux dernières années. Tous avaient été “cadrés”. Aucun n’avait de vision produit exploitable.
👉 Dans cet article, on vous partage 5 cabinets qui font (vraiment) avancer les produits. Pas ceux qui vendent des frameworks. Ceux qui livrent.
Et oui, on met Yield en premier. Parce qu’on ne fait pas que du conseil. On livre des produits qui tournent — et qui tiennent.
Vous êtes au bon endroit si…
Vous cherchez une équipe capable de :
👉 Cet article s’adresse aux CPO, Head of Product, DSI, et plus largement à toutes les équipes produit confrontées à un enjeu de scalabilité, d’adoption, ou de time-to-market court.
Pas une mission d’audit. Pas un rapport de 80 slides. Une vraie alliance produit, orientée impact.
Chez Yield, on ne se contente pas de “poser une stratégie produit”. On construit des produits qui sortent, qui tiennent, et qui servent un usage réel. Notre approche hybride — cabinet de conseil + studio de delivery — permet d’aligner vision, exécution et impact dès les premières semaines.
Notre promesse : poser une trajectoire claire, découper un MVP testable rapidement, le livrer… et apprendre avec le terrain. Pas 6 semaines de slides. 6 semaines pour sortir un parcours prioritaire utilisé.
Retour d’XP :
“Sur une plateforme de gestion RH, le client avait 3 mois devant lui et un backlog de 80 items. Après une discovery express (4 interviews + audit d’usage), on a ciblé un seul flux critique : validation des absences. Résultat : une V1 en 5 semaines, 30 % de frictions en moins, et un usage multiplié par 3 dès le deuxième mois.”
Julien - Product Manager chez Yield Studio
Qui nous choisit ?
Des scale-ups, des directions métier, des DSI… qui ont un produit à sortir et pas 12 mois pour le faire.
👉 Yield, ce n’est pas juste du conseil. C’est une capacité à construire — vite, bien, et utilement.
Impossible de parler de conseil produit sans citer Thiga. Pionnier en France, ils ont posé les bases de la culture Product Management dès 2014. Leur force ? Une approche ultra cadrée, des frameworks maison (Thiga Canvas, Discovery Sprint…), et un vrai savoir-faire d’acculturation produit dans les grandes organisations.
Ils excellent sur les sujets d’organisation : coaching d’équipes, définition de rôles, construction de visions produit. Leurs consultants sont pointus, exigeants, mais parfois éloignés de l’opérationnel pur.
👉 Le choix solide pour une entreprise qui veut passer d’une logique projet à une logique produit — avec méthode, et à grande échelle.
Mozza, c’est l’anti-cabinet. Un collectif de seniors du produit, rôdés aux galères terrain, qui interviennent vite, bien, et sans jargon inutile. Leur approche est simple : des missions courtes, ciblées, à fort impact. Interim PM, Discovery, coaching individuel… toujours avec des profils très expérimentés.
C’est du produit “à la mozza” : concret, ajusté, terrain first. Moins structurant qu’un cabinet classique, mais diablement efficace quand on veut avancer vite.
👉 Idéal pour débloquer un sujet produit en tension. Ou injecter de l’expertise dans une équipe qui manque de cap.
Wefiit est moins visible dans la sphère startup, mais redoutablement efficace côté DSI, secteur public, ou banque-assurance. Leur zone d’excellence : piloter des trajectoires produit là où la culture projet est encore très présente.
Leur posture est claire : cadrer fort, embarquer les parties prenantes, créer les conditions d’un produit durable. Moins orientés MVP, plus orientés gouvernance, ils apportent un vrai plus dans les environnements à forts enjeux politiques ou réglementaires.
👉 Le bon choix si vous devez faire atterrir une démarche produit dans un système complexe — et que vous cherchez des gens qui parlent “métier”, pas juste “feature”.
Hubvisory brouille les lignes entre cabinet et studio. Conseil produit, discovery, UX, MVP… leur promesse : accompagner la transition produit de A à Z. Le tout avec des designers et PMs maison, capables de passer du cadrage à la livraison.
Leur vraie force ? Une posture pragmatique, des consultants proches du terrain, et une culture de la documentation (articles, outils) qui renforce leur crédibilité.
👉 Un bon fit pour les scale-ups ou groupes en bascule agile, qui ont besoin d’une équipe capable de structurer… et de faire.
Tout le monde se dit “cabinet de conseil en product management”. Très peu font vraiment du produit. Parce que piloter un vrai produit digital, ce n’est pas animer des ateliers ou faire des jolies specs. C’est cadrer vite, livrer juste, et itérer avec méthode.
Chez Yield, on a bossé avec plus de 40 équipes en tension — et à chaque fois, ce qui fait la différence, c’est ça :
Pas de vision produit, pas de produit. Un bon cabinet vous aide à identifier le vrai irritant utilisateur, à poser un cap business clair, et à prioriser ce qui va vraiment bouger les lignes. Pas à remplir une matrice avec des “features à valeur”.
👉 Les équipes qui cadrent correctement leur cap produit réduisent de 30 % les retours en arrière post-livraison. Ce n’est pas un luxe, c’est un levier.
Ce qu’on attend d’un cabinet produit, ce n’est pas un benchmark en PDF. C’est une capacité à descendre sur le terrain, à arbitrer un sprint, à challenger un parcours. Les meilleurs profils produits sont passés par la delivery.
Discovery, slicing vertical, MVP mesurable, KPIs d’usage : une bonne équipe produit sait poser une méthode claire. Et l’adapter à votre contexte. Elle ne déroule pas un modèle figé. Elle construit ce qui fonctionne, dans vos contraintes.
Le bon partenaire produit ne vous parle pas de “framework”. Il vous aide à sortir une version testable en 6 semaines. Pas parfaite. Mais utile, utilisable, utilisée.
👉 À l’échelle du marché, 64 % des projets digitaux n’ont toujours pas de V1 testable après 3 mois. Ceux qui y parviennent ont un point commun : une équipe produit proche du terrain.
Un bon cabinet de product management n’apporte pas juste un vernis de méthode. Il change la dynamique. Sur les projets pilotés en duo conseil + delivery, on observe en moyenne +45 % d’adoption à trois mois. Quand la méthode produit s’ancre dans le quotidien, les résultats suivent.
Un bon cabinet de product management ne se contente pas de “poser une méthode”. Il s’immerge dans votre contexte. Il comprend vos contraintes. Il éclaire les bons arbitrages au bon moment — ceux qui changent vraiment la trajectoire produit.
Les meilleurs du marché ont chacun leur force :
Mais ce qui distingue Yield, c’est autre chose. C’est une implication de bout en bout, un engagement terrain, une équipe resserrée qui agit comme un studio embarqué dans votre produit. Product discovery, MVP, arbitrages complexes, pilotage agile, itérations post-lancement — on ne conseille pas “d’en haut”, on avance avec vous. Semaine après semaine.
Et on mesure ce qu’on délivre : adoption, usage, valeur perçue. C’est cette culture du concret qui fait la différence entre un cabinet qui documente… et un studio qui construit.
👉 Si votre produit est stratégique, si le time-to-market compte, si l’usage final est non négociable : vous n’avez pas besoin d’un cabinet qui “parle produit”. Vous avez besoin d’un partenaire qui fait vraiment du produit. Chez Yield, c’est ce qu’on sait faire.
Une user story, c’est censé être simple : un besoin clair, un langage courant, une base de discussion pour construire.
Mais en développement sur-mesure, mal cadrer une story, c’est risquer des sprints dans le vide. Et ça arrive souvent : périmètre flou, aucun lien avec la réalité du terrain, ou backlog rempli pour “faire agile” sans valeur livrable.
Chez Yield, on voit passer des dizaines de projets chaque année. Ceux qui avancent vite — et bien — ont un point commun : des user stories utiles, bien découpées, bien contextualisées.
Dans cet article, on vous partage :
👉 Cet article s’adresse aux Product Owners, PMs, tech leads ou responsables métier qui pilotent un logiciel sur-mesure — outil interne, plateforme métier, SaaS spécifique — et qui veulent des stories utiles, activables, testables.
Dans beaucoup de projets sur-mesure, la user story est traitée comme un “ticket de dev” un peu mieux rédigé. Une phrase type, trois critères d’acceptation, et c’est parti.
Problème : ça ne suffit pas. Une bonne user story n’est pas une spec light. C’est un outil de cadrage produit. Son objectif : permettre à une équipe de comprendre, construire, tester — sans revenir trois fois sur le besoin.
Et pour ça, il faut trois ingrédients clés :
Exemple :
❌ “En tant qu’utilisateur, je veux un bouton pour filtrer par région.”
✅ “En tant qu’agent logistique, je veux filtrer les tournées par région pour identifier les chargements en retard, car c’est ce qui déclenche l’alerte client.”
👉 Ce n’est pas juste une reformulation. C’est un changement de posture : on code pour résoudre, pas pour livrer.
Le classique des user stories, c’est la formulation en trois temps :
En tant que [qui], je veux [quoi], afin de [pourquoi].
C’est simple, clair, actionnable. Et ça fonctionne — à condition de ne pas le traiter comme une formule magique.
Car dans les faits, ce format n’a de valeur que s’il est bien renseigné. Et dans 80 % des cas, c’est le “pourquoi” qui est sacrifié. Or c’est lui qui donne du sens à la fonctionnalité, qui permet aux devs de faire les bons choix — et parfois même de proposer mieux.
❌ Exemple mal cadré :
“En tant qu’utilisateur, je veux recevoir une notification quand ma commande est validée.”
→ Pourquoi ? Pour information ? Pour lancer une action ? Pour enchaîner un autre flux ?
Ce qu’on recommande chez Yield :
“Ce qu’on pousse chez Yield : toujours raccrocher une user story à un usage métier concret. Pas un “besoin tech”. Pas une “idée de feature”. Juste une ligne claire sur ce que ça change dans la réalité du terrain. Par exemple : “Cette fonctionnalité fiabilise les relances SAV sans alourdir le boulot des agents.”
Pourquoi ? Parce que c’est ça qui permet à l’équipe de faire les bons choix. Si on ne sait pas à quoi ça sert, on ne saura jamais comment bien le construire.”
— Thibaut, Product Owner @Yield Studio
👉 Une bonne user story, c’est une promesse claire entre métier, produit et tech.
Rédiger des user stories semble simple. Trop simple. Et c’est bien là le piège : sous couvert de rapidité, on écrit des tickets flous, inutilisables ou contre-productifs. Voici les 5 erreurs qu’on retrouve encore trop souvent dans les projets de développement sur-mesure.
❌ “Créer un composant dropdown”
👉 Ce n’est pas une user story, c’est une tâche de dev. Sans utilisateur, sans valeur.
Ce qu’on recommande : partez toujours d’un besoin métier ou utilisateur. Le “dropdown” sera une solution, pas un objectif.
❌ “En tant qu’utilisateur…”
Qui, exactement ? Un agent ? Un manager ? Un client connecté ?
Un bon “qui”, c’est un rôle + un contexte.
❌ “...afin d’être informé”
Ce n’est pas un objectif. C’est une description d’état.
Le “pourquoi” doit toujours pointer un gain métier, une action facilitée, un problème évité.
❌ “Je veux gérer mes utilisateurs”
Ça ne veut rien dire. Gérer comment ? Créer, modifier, supprimer ?
Une bonne story est petite, testable, découpable.
Pas de critère d’acceptation
❌ Une story sans “Done” clair, c’est une source de friction assurée.
Quand peut-on dire que c’est terminé ? Qu’est-ce qui doit être visible, testable, validé ?
✅ Ce qu’on fait chez Yield : chaque story est accompagnée de cas de test simples (BDD, Gherkin ou juste bullet points). Pour aligner tout le monde dès le départ.
👉 À retenir : une user story, ce n’est pas une tâche. C’est une hypothèse fonctionnelle concrète, que l’équipe va construire, tester, et valider.
Dans la plupart des projets, le vrai problème n’est pas qu’on manque de stories. C’est qu’on en pousse en dev alors qu’elles ne sont pas prêtes. Floues, non alignées, techniquement risquées… Et c’est là que la vélocité explose.
Chez Yield, on utilise une règle simple : une story ne part pas en dev si elle n’a pas passé notre DoR.
I — Indépendante : la story n’est pas bloquée par une autre. Elle peut être embarquée seule.
N — Négociable : rien n’est figé. Tant qu’elle n’est pas dans un sprint, on peut la challenger.
V — Valeur utilisateur : elle résout un vrai problème ou apporte un gain concret à un profil identifié.
E — Estimable : l’équipe peut la chiffrer, car elle en comprend bien le périmètre.
S — Small : elle tient dans un sprint (ou moins). Sinon, il faut découper.
T — Testable : les critères d'acceptation sont clairs, mesurables, vérifiables.
Ce cadre INVEST, ce n’est pas de la théorie. C’est un filtre simple pour éviter d’envoyer en dev des tickets bancals.
Une User Story n’entre jamais en sprint si elle ne coche pas au moins ces points :
👉 Si ce n’est pas prêt, on ne force pas. On affine. Parce qu’un ticket mal préparé, c’est un sprint qui patine.
Une story livrée, ce n’est pas “le bouton s’affiche”. C’est une fonctionnalité terminée, testée, intégrée, qui ne reviendra pas en arrière au sprint suivant.
Chez Yield, on considère qu’une User Story est Done uniquement si elle respecte tous ces critères. Pas un de moins.
“Done” ne veut pas dire “ça a marché chez moi”. Ça veut dire “ça tourne, c’est fiable, et c’est utilisable.”
“Une story sans vraie DoD, c’est une porte ouverte aux retours post-prod.
Ce qu’on voit sur le terrain : les stories sont “livrées”, mais pas testées, pas intégrées, pas stables. Résultat : on les rouvre deux sprints plus tard.
La DoD, c’est pas du process pour faire joli. C’est ce qui garantit qu’un livrable est fiable — pas juste “fait chez moi”.
— Clément, Lead Dev @Yield Studio
👉 Une équipe qui respecte sa DoD, c’est une équipe qui garde sa vélocité et sa crédibilité.
Chez Yield, on ne rédige pas des user stories “pour faire joli dans Jira”. On les pense comme des unités de valeur : un besoin clair, une solution testable, un impact mesurable.
Notre framework repose sur 3 piliers :
Toujours structuré, toujours explicite.
🔹 En tant que [type d’utilisateur]
🔹 Je veux [fonctionnalité ou action à réaliser]
🔹 Afin de [objectif ou bénéfice réel]
Exemple :
En tant que gestionnaire de planning
Je veux pouvoir déplacer un créneau par glisser-déposer
Afin de gagner du temps sur les ajustements de dernière minute
Une bonne story ne se limite pas à une phrase. Elle est enrichie — mais pas alourdie — par les éléments qui sécurisent le delivery :
Tout ce qui permet d’éviter les “ah mais je croyais que…”
Une user story utile, c’est une story développable en moins de 2 jours. Si c’est plus gros : on découpe. Si c’est trop petit : on regroupe intelligemment.
💡 On vise toujours le slicing vertical : une story doit toucher un vrai bout de fonctionnalité, pas juste “le front” ou “l’API”. Le test utilisateur doit être possible à la fin du sprint.
Une User Story, ce n’est pas juste un ticket bien écrit. C’est une brique de valeur claire, compréhensible, testable — qui permet à une équipe produit-tech de livrer utile sans passer 3 jours en clarification.
Dans un projet sur-mesure, une bonne user story fait toute la différence entre un sprint qui avance… et une vélocité fantôme.
👉 Ce qu’on retient chez Yield :
Vous pilotez un produit sur-mesure ? Ne laissez pas les stories vous ralentir.
Utilisez-les pour aligner, construire, tester, livrer. Pour de vrai.
Externaliser ou internaliser son PM ? Pas une question RH. Une question de timing.
Le produit est lancé. L’équipe tourne. Et vient la question qui fâche : On recrute un Product Manager en interne… ou on missionne un PM externe ?
C’est rarement une décision rationnelle. Parfois, on cherche “quelqu’un à qui confier la roadmap”. Parfois, on temporise parce que “c’est un poste stratégique, on veut prendre le temps de bien recruter.”
Mais entre-temps, le produit stagne. Les devs attendent des specs. Les utilisateurs râlent. Et personne n’arbitre.
Chez Yield, on a accompagné plus de 100 produits sur-mesure. Et dans 80 % des cas, le mauvais timing produit → mauvais choix de staffing.
👉 Ce guide ne tranche pas “interne ou externe” une bonne fois pour toutes. Il vous aide à poser la bonne question au bon moment.
Un Product Manager en CDI, ce n’est pas la même chose qu’un PM en mission. Et ce n’est pas juste une question de contrat.
1️⃣ Internaliser, c’est recruter. Monter en compétence. Miser sur la durée. Le pari : construire une culture produit solide en interne. Mais ça prend du temps — souvent 3 à 6 mois pour un vrai ramp-up.
2️⃣ Externaliser, c’est aller chercher un profil expérimenté, dispo rapidement, pour tenir un rôle clé sur un temps court. L’objectif : débloquer une phase produit critique — sans alourdir l’organisation.
Et concrètement, on parle de qui ?
Chez Yield, plus de 60 % des projets structurants qu’on reprend ont été amorcés par un PM freelance ou une équipe externe. Parce que dans les premiers mois, ce qu’il faut, c’est de la clarté, de la vélocité, et un cap.
👉 Ce n’est pas une opposition modèle “in” vs modèle “out”. C’est un arbitrage à faire en fonction du moment produit.
Il ne suffit pas de dire “on veut un PM”. Il faut poser le contexte produit. Car entre un freelance ultra-senior pour sortir un MVP en 2 mois et un PM interne pour structurer un run long terme, les besoins ne sont pas les mêmes.
Voici les 6 critères qu’on utilise pour cadrer intelligemment le besoin — et éviter un recrutement ou une mission à côté de la plaque :
Idée floue ? Mieux vaut un PM externe expérimenté, capable de cadrer vite.
Produit en run ? Un PM interne peut s’inscrire dans la durée et consolider.
Besoin de livrer dans 6 semaines ? Recruter prend 3 à 6 mois (sourcing, entretiens, onboarding).
→ Dans 80 % des cas urgents, le modèle freelance est plus efficace au démarrage.
CDI = salaire + charges + onboarding.
Externe = TJM plus élevé, mais pas de ramp-up ni de charges fixes.
→ À court terme, l’externe coûte moins en délai ; à long terme, l’interne coûte moins en euros.
Secteur ultra-spécifique (santé, finance, industrie) ?
→ Mieux vaut un PM interne qu’on monte en expertise.
Produit grand public, process digitaux, CRM ?
→ Un externe sénior fait souvent le job rapidement.
Le produit est porté par un seul PM ?
→ Internaliser rapidement.
Déjà une squad en place ?
→ Un externe peut jouer le rôle de sparring partner ou de structurant temporaire.
Niveau de séniorité nécessaire
Besoin d’un PM d’expérience pour remettre un produit d’aplomb ?
→ L’externe est souvent plus qualifié immédiatement.
Besoin d’un bras armé pour dérouler une roadmap posée ?
→ Un PM mid-level en interne peut suffire.
💡 À retenir : le bon choix ne dépend pas d’un modèle “idéal”. Il dépend du moment produit, du niveau de clarté, et du temps qu’on a devant soi.
Ce n’est pas le modèle (interne ou externe) qui plante les projets. C’est un mauvais cadrage au départ. Voici les 4 erreurs qu’on voit encore — même sur des projets bien staffés :
Résultat : des décisions à côté de la plaque, des users mal compris, une roadmap hors-sol.
Vu sur le terrain : un PM freelance très bon… mais à distance, sans accès aux utilisateurs finaux. Résultat : 2 mois de backlog à revoir entièrement.
On pose un CDI alors que le produit est encore en exploration. Le PM passe 6 mois à “remplir les cases” sans impact réel.
👉 Recruter un profil junior sans structure ni vision produit, c’est risquer l’isolement — et l’échec.
Retour d’XP – Le CDI posé trop tôt… dans le brouillard
“Sur un SaaS B2B en pleine exploration, le client avait recruté un PM interne à la hâte. Pas de vision claire, pas de delivery en cours.
Résultat : 4 mois de docs, d’ateliers, de specs — sans livrable.
Quand on est arrivé, on a basculé sur un PM externe 3j/semaine. En 2 sprints, la première feature utile était en prod.”
— Clara, Product Strategist chez Yield
Le “prestataire gère tout”. Sans PO côté client, sans relai produit interne.
Résultat : pas de transmission, pas d’ownership, et un produit qui meurt dès que la mission s’arrête.
On veut recruter “un PM à nous” — mais on se contente de ce qu’on trouve. Trop junior, pas adapté au moment.
👉 Si le produit est complexe, le PM doit être solide dès le jour 1. Sinon, c’est de la dette produit.
💡 Conseil Yield : le problème n’est jamais “le freelance” ou “le CDI”. C’est de caler un profil sur une situation… sans cadrer la situation.
Pas besoin de théoriser à l’infini. Le bon modèle dépend du moment. Voici trois cas types qu’on croise souvent — et la réponse adaptée.
→ Prenez un PM freelance expérimenté
Vous avez 2 mois pour tester un use case, livrer une V1, valider un marché ? Ce n’est pas le moment de recruter. Il vous faut un PM senior, autonome, capable de structurer et délivrer vite.
“On partait d’une idée claire, mais le périmètre produit était flou.
Yield nous a recommandé un PM externe, présent 3 jours par semaine.
En 6 semaines, on avait un positionnement validé, un backlog propre, et une équipe dev déjà en sprint.
Pas besoin de recruter dans le vide. Juste ce qu’il fallait pour lancer vite — et bien.”
— CEO d’une plateforme B2B en phase d’amorçage
→ Misez sur un PM interne senior
Ici, il faut embarquer les équipes, arbitrer avec les Ops, construire dans la durée. Un freelance peut amorcer… mais sans ownership long terme, ça coince.
👉 Un PM interne senior, avec de vraies soft skills, c’est un investissement clé.
→ Mixez : un PM externe pour cadrer, puis un relais interne
Backlog flou, vision produit absente, besoin d’aligner la roadmap ? Calez un PM senior externe pour poser les bases. Puis recrutez un profil interne pour prendre le relai.
💡 Ce setup hybride permet de structurer sans perdre de temps — et d’internaliser au bon moment.
👉 Ces cas ne sont pas des dogmes. Ce sont des patterns. Ce qui compte, c’est d’aligner le profil sur le contexte. Pas l’inve
Dans 80 % des projets qu’on accompagne, la meilleure solution n’est ni 100 % interne, ni 100 % externe. C’est un modèle hybride, évolutif — pensé pour le moment du produit.
👉 On ne choisit pas entre CDI et freelance. On compose une équipe qui tient la route, étape par étape.
Le schéma classique qui marche bien :
Retour d’XP — Un passage de relai bien cadré
“Pour une plateforme logistique B2B, on a embarqué un PM freelance senior 3 jours par semaine.
Objectif : clarifier le périmètre, cadrer les users stories, lancer l’équipe tech.
En 8 semaines, la roadmap était alignée, le delivery enclenché, et un PO interne onboardé en douceur.
Deux mois plus tard, la passation était faite, le PM externe partait. Le produit avançait, sans trou d’air.”
— Thomas, Lead Product Manager chez Yield
✅ La checklist d’un modèle hybride bien posé :
❌ Ce qu’on évite :
Externaliser ou internaliser son PM, ce n’est pas un choix idéologique. C’est un arbitrage contextuel. Produit jeune ou en run, budget dispo ou contraint, besoin d’itérer vite ou de structurer dans le temps : c’est ça, la vraie grille.
Ce qu’on voit trop souvent, c’est l’inverse :
Et au final ? Des décisions floues, une roadmap qui ne tient pas, et une équipe qui rame à exécuter sans cap clair.
Chez Yield, on l’a vu sur des dizaines de projets : le bon modèle, c’est souvent un mix. Un PM senior externe pour cadrer et livrer. Puis un relais interne pour durer. Pas besoin de choisir à vie. Juste de bien choisir… maintenant.
Prenez un pas de recul. Posez vos contraintes. Et alignez votre modèle produit sur la réalité du terrain.