AGENCE DE DÉVELOPPEMENT WEB

Lançons votre application web en un temps record.

Depuis 2019, notre culture Lean nous permet de mettre en production 98% des applications web de nos clients en moins de 3 mois, le tout avec un code de grande qualité.

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Améliorons votre expérience client ou collaborateur

Notre objectif n'est pas simplement de développer une liste de fonctionnalités. Nous visons l'adoption des utilisateurs et l'atteinte de vos objectifs business (augmentation de la productivité ou de la satisfaction clients, augmentation des ventes, ...).

Là où certaines agences suivent strictement le processus de développement et considèrent les besoins des utilisateurs ou le socle technique comme des contraintes, nous chez Yield Studio, on fait l'inverse.

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Bénéficiez de notre recul pour vous challenger

Construire une application web performante est un levier stratégique essentiel pour accélérer votre transformation digitale. Son objectif ? Vous permettre de gagner en productivité, d'améliorer l'expérience utilisateur, ou encore de moderniser vos processus métiers pour booster votre croissance.

Avec plus de 6 ans d'expérience et 110 projets web développés, nous avons acquis une expertise solide pour anticiper les défis techniques, concevoir des architectures évolutives et garantir la scalabilité de vos projets.

Plus de 110 projets

web développés ou refondus par nos équipes pour des clients de toutes tailles.

Déjà 6 ans

que Yield Studio est un partenaire reconnu dans le développement d'applications web sur mesure.

Plus d'1 million

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Dizaines de millions

de requêtes API sont faites chaque jour sur les applications de nos clients que nous maintenons

Pourquoi Yield Studio ?

Code de qualité

Nous écrivons un code de qualité dès le départ pour aller plus vite ensuite

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Nous mettons très rapidement en production les fonctionnalités grâce à notre Lean Lab’ ®

Compétence n°1

Création d’application web

Lancer une application web performante va bien au-delà du simple développement d’interface. Chez Yield Studio, nous vous accompagnons dès la conception pour créer des applications web sur mesure, qu’il s’agisse d’applications web métier pour automatiser vos processus internes et améliorer votre productivité, d’applications SaaS évolutives pensées pour répondre aux besoins spécifiques de vos utilisateurs, ou encore de sites web complexes offrant une expérience utilisateur optimisée grâce à une architecture robuste et une conception sur mesure.

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Compétence n°2

Refonte d’applications web

Une application vieillissante ou un site web obsolète peut freiner votre croissance. Nous vous aidons à moderniser vos applications en repensant leur architecture technique, en améliorant leurs performances, leur design et leur scalabilité. Notre approche se concentre sur la mise à jour de vos outils pour offrir une expérience utilisateur optimale tout en garantissant une maintenance simplifiée et une capacité d’évolution sur le long terme.

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Compétence n°3

Tierce Maintenance Applicative (TMA)

Un code mal structuré entraîne des bugs, des lenteurs et des dettes techniques qui peuvent nuire à l’efficacité de votre application. Nos experts réalisent des audits complets pour évaluer l’état de votre application, identifier les goulots d’étranglement, et proposer des améliorations concrètes.

Notre objectif : Vous garantir un code fiable, maintenable et prêt à évoluer sans friction. Grâce à une maintenance rigoureuse et proactive, nous veillons à ce que votre application reste performante et sécurisée au fil du temps.

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Cas Clients

Découvrez nos réalisations clients

Média Participations

DSI externalisée pour accompagner le groupe dans l'accélération de sa delivery
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Mémo de Vie

Refonte d'une plateforme web pour aider les victimes de violence
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BTP Consultants

DSI externalisée en charge de la création d’un socle applicatif et d'une application métier pour un grand groupe immobilier
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Fonctionnalités

Focus sur quelques fonctionnalités phares développées pour nos clients

Nous créons des fonctionnalités sur-mesure qui répondent aux besoins spécifiques de chaque projet web, qu’il s’agisse de plateformes SaaS, de logiciels métiers ou de sites complexes.

Portails client personnalisés : espaces sécurisés offrant des dashboards interactifs, accès aux données en temps réel, et outils de collaboration dédiés.
Systèmes de reporting avancés : génération de rapports dynamiques, visualisations de données complexes et exports personnalisés.
Automatisation de processus métiers : développement de workflows sur-mesure pour simplifier et optimiser vos processus internes.
Intégrations d’API & webhooks : connexion fluide avec vos ERP, CRM, solutions de paiement ou services tiers pour une interopérabilité totale.
Sécurité & Performance : systèmes de gestion des permissions, cryptage des données, monitoring des performances et maintenance proactive.
Franck JOUSSE
Directeur des Systèmes d'Information
Ce qui nous a intéressé chez Yield Studo c'est la vision qu'ils ont des transformations de l'entreprise et le mix entre la rigueur et la souplesse. Historiquement chez BTP Consultants la gestion de projet en mode agile a été compliquée, ils ont eu cette faculté et nous ont prouvé qu'eux y parvenaient avec leur approche. La collaboration au quotidien se passe super bien, les développeurs voient nos utilisateurs finaux. On a beaucoup d'intéractions au quotidien, on est dans une relation super saine et de confiance ! Les collaborateurs sont bienveillants et purement smarts dans leurs solutions, discussions, ... Et c'est rare sur le marché. Je recommande Yield Studio pour cette capacité à imaginer les produits, à être très concentré sur l'utilisateur final, à chercher le gain business ! Ils nous font vraiment progresser au quotidien.
Fonctionnement

Une approche en 5 phases

ETAPE 1

Compréhension utilisateur

Identification des problématiques de vos utilisateurs, de vos enjeux clés à travers l'écoute active et l'analyse de marché pour cadrer le projet.

1 à 3 semaines
ETAPE 2

Conception & Prototypage

Création de maquettes et prototypes interactifs, testés et améliorés grâce aux retours des utilisateurs pour garantir une solution répondant à leurs attentes.

2 à 4 semaines
ETAPE 3

Développement agile

Codage de votre application web en sprints d’une semaine, permettant des ajustements flexibles basés sur des tests en conditions réelles. A la fin de chaque sprint une revue est organisée ensemble.

6 à 12 semaines
ETAPE 4

Tests & améliorations

Assurer la qualité et la performance de l'application par des tests rigoureux en conditions réelles, en prenant en compte des retours pour des ajustements.

1 à 3 semaines
ETAPE 5

Itérations

Mettre votre produit en ligne et effectuer des itérations basées sur les retours, les datas et les évolutions du marché. Retour à l’étape 1 pour focus une autre problématique !

Nos experts en développement web

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Découvrez le mot de notre co-fondateur

Yield Studio aide les entreprises à devenir plus productives et identifier des leviers de croissance. Agacés de travailler sur des projets sans impact réel, c’est en 2019 que James et Cyrille créent Yield Studio.  Notre objectif est d’utiliser la tech pour créer des innovations qui apportent de la valeur à la fois à l’utilisateur final et à la fois au business

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Produits digitaux construits pour des besoins B2B, B2C et internes

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Qu’est-ce que le refactoring ?
Tu en as assez de travailler avec du code désorganisé qui ralentit ton développement ? Le refactoring est sans doute la clé pour révéler tout le potentiel de ton base code.
James
4/4/2025

Introduction

Tu en as assez de travailler avec du code désorganisé qui ralentit ton développement ? Le refactoring est sans doute la clé pour révéler tout le potentiel de ton base code.

Dans cet article, on va plonger dans le monde du refactoring (ou refactorisation) de code :

  • pourquoi c’est important,
  • quels sont ses avantages,
  • à quels défis s’attendre,
  • et quelles sont les techniques essentielles pour bien refactorer.

À la fin, tu auras une vision claire de ce qu’est le refactoring et de comment l’appliquer pour améliorer la qualité, la maintenabilité et les performances de ton code.

Résumé rapide

  • Le refactoring consiste à restructurer du code existant sans changer son comportement, pour le rendre plus propre, plus performant, plus lisible.
  • Ses bénéfices : meilleure lisibilité, complexité réduite, meilleure collaboration en équipe, produit de meilleure qualité.
  • Des outils automatisés peuvent aider à gagner du temps, surtout lorsqu’ils sont intégrés à des pratiques comme l’Agile, les tests fréquents ou l’intégration continue.

Qu’est-ce que le refactoring ?

Le refactoring, ou refactorisation, c’est le fait d’optimiser et réorganiser du code existant pour le rendre plus efficace sans modifier ce qu’il fait.

C’est une pratique essentielle pour les développeurs qui veulent :

  • améliorer la structure,
  • clarifier l’intention du code,
  • et prévenir la dette technique, tout en gardant le logiciel 100% fonctionnel.
Exemple concret : renommer une méthode pour que son rôle soit plus explicite, sans rien changer à ce qu’elle exécute.

👉 Le refactoring se fait par petites étapes, idéalement avant d’ajouter une nouvelle fonctionnalité.
Chaque modification doit être testée avec des méthodes modernes comme le Test-Driven Development (TDD) ou l’intégration continue (CI), pour s’assurer que le comportement du code reste inchangé.

Pourquoi le refactoring est-il important ?

Le refactoring joue un rôle crucial pour transformer un code désordonné en code propre et lisible. Il permet de réduire la dette technique sans toucher au fonctionnement du logiciel.

L’objectif principal du refactoring, c’est d’améliorer la qualité, la performance et la maintenabilité du code. Un code clair est plus facile à lire, comprendre, faire évoluer et maintenir — ce qui facilite le travail des équipes, accélère les livraisons et augmente les chances d’obtenir un produit final robuste.

Dans la pratique, cela signifie :

  • Identifier du code dupliqué
  • Le centraliser dans de nouvelles méthodes
  • Supprimer les répétitions inutiles

Bref, on évite que le code se dégrade au fil du temps.

En résumé, le refactoring agit comme une mesure préventive contre la dette technique, la perte de productivité et la complexité croissante du projet.

Quand faut-il refactorer du code ?

Il y a trois bons moments pour faire du refactoring :

  1. Avant d’ajouter une nouvelle fonctionnalité
    → Pour poser des bases saines avant d’ajouter du neuf.
  2. Juste après une mise en production
    → Pour nettoyer ce qui a été fait rapidement, sans casser ce qui fonctionne.
  3. En corrigeant un bug
    → Parce que c’est souvent à ce moment-là qu’on met le nez dans du code fragile.

👉 Dans tous les cas, l’idée est de ne pas changer le comportement du produit, mais de s’assurer que les modifications rendent le code plus propre et plus stable à long terme.

Quels sont les bénéfices du refactoring ?

Le refactoring ne sert pas juste à “faire joli” : ses effets sont profonds et durables. Voici les avantages les plus notables :

1. Meilleure lisibilité du code

Un code plus clair, c’est un code qu’on comprend plus vite — que ce soit toi dans 6 mois ou un collègue qui débarque sur le projet.

2. Réduction de la complexité

En divisant les longues méthodes, en supprimant les duplications, on rend le code plus simple et plus logique.

3. Architecture plus propre et modulaire

Le refactoring permet de structurer le code en objets, modules ou composants bien séparés, facilitant la réutilisation et les évolutions futures.

4. Meilleure maintenabilité

Un code refactoré est plus facile à tester, modifier, déboguer, et donc à faire évoluer sereinement.

5. Collaboration facilitée

Toute l’équipe peut travailler sur une base saine, sans avoir besoin d’interpréter des “hacks” ou des “bricolages”.

6. Livraison plus rapide de nouvelles fonctionnalités

En réduisant la dette technique, tu gagnes du temps sur chaque sprint, car tu avances sans blocages inutiles.

En clair : le refactoring, c’est un investissement. Il permet de livrer plus vite, plus proprement, et de garder le contrôle sur un projet qui grossit.

Quels sont les défis du refactoring ?

Même si le refactoring apporte de nombreux bénéfices, il n’est pas sans difficultés. Voici les principaux obstacles à anticiper :

1. Le manque de temps

C’est le frein numéro un. Quand les délais sont serrés, refactorer peut paraître secondaire. Résultat : on repousse, et la dette technique s’accumule.
Mais ne pas le faire, c’est souvent payer plus cher plus tard.

2. Le risque d’introduire des bugs

Modifier du code, c’est toujours prendre le risque de casser quelque chose. Le refactoring mal maîtrisé peut introduire :

  • Des régressions
  • Des bugs invisibles
  • Des conflits de merge sur des branches parallèles

3. Identifier les “code smells”

Savoir où et comment refactorer n’est pas toujours évident. Il faut savoir détecter les schémas de code douteux (méthodes trop longues, duplication, classes trop grosses…).

4. Refactorer sans tests = danger

Sans tests automatisés, il est difficile de garantir que ton refactoring n’a rien cassé. Le processus peut devenir long et risqué, surtout s’il manque de couverture de tests ou de revues de code.

Quelles sont les techniques essentielles de refactoring ?

Il existe de nombreuses approches pour refactorer du code efficacement. Voici les principales :

Identifier les “code smells”

Les “code smells” (ou “mauvaises odeurs de code”) sont des signes que quelque chose cloche dans la structure du code.
Ce ne sont pas des bugs en soi, mais des indices qu’une amélioration est nécessaire.

Quelques exemples :

  • Méthodes trop longues
  • Code dupliqué
  • Classes trop lourdes
  • Variables temporaires abusives
  • “Feature envy” (une classe dépend trop d’une autre)
Une fois repérés, ces problèmes permettent de cibler où intervenir en priorité pour assainir le code.

Red-Green-Refactor (la technique TDD)

C’est une approche issue du développement agile, en 3 étapes :

  1. Red : écrire un test qui échoue (fonctionnalité non encore implémentée)
  2. Green : coder juste assez pour faire passer le test
  3. Refactor : améliorer la structure du code sans casser le test
Cette méthode garantit que chaque refactoring conserve le comportement attendu, tout en rendant le code plus propre.

Refactoring par abstraction

Cette méthode repose sur la hiérarchie de classes, l’héritage et l’extraction de comportements communs.
Deux techniques typiques :

  • Pull-Up : déplacer du code commun vers une superclasse pour éviter la duplication
  • Push-Down : déplacer du code spécifique dans des sous-classes
Idéal pour les applications complexes, avec beaucoup de classes et de logique métier partagée.

Composing Method (pour structurer les fonctions)

Deux techniques clés :

  • Extract Method : diviser une méthode trop longue en plusieurs fonctions claires et réutilisables
  • Inline Method : supprimer une méthode inutile en insérant son contenu directement là où elle est appelée
L’objectif est d’avoir des méthodes courtes, claires et lisibles, orientées sur une seule responsabilité.

Simplifier les méthodes et expressions

Cette technique consiste à réduire la complexité du code en :

  • regroupant des blocs conditionnels similaires,
  • simplifiant des expressions booléennes,
  • ou clarifiant des instructions imbriquées.

L’idée est de rendre le code :

  • plus lisible,
  • plus fluide à maintenir,
  • et moins sujet aux erreurs.

C’est aussi un moyen d’optimiser les interactions entre classes, en clarifiant les rôles de chacun.

Déplacer des fonctionnalités entre objets

Quand une classe devient trop chargée ou que ses responsabilités sont floues, on peut :

  • extraire une nouvelle classe dédiée à une fonction précise,
  • ou déplacer des méthodes/attributs vers une autre classe plus concernée.

Par exemple, une classe qui gère à la fois l’affichage et la logique métier peut être scindée en deux.

Cela allège le code, clarifie la logique métier, et facilite les tests.

Une variante courante est le lazy loading, qui consiste à ne charger un objet que lorsqu’il est nécessaire, pour économiser de la mémoire.

Refactoring préparatoire

C’est le fait de refactorer avant d’ajouter une nouvelle fonctionnalité.

Le but ?
Ne pas ajouter une fonctionnalité sur du code bancal.

On prépare donc le terrain :

  • en nettoyant la structure existante,
  • en isolant les zones impactées,
  • et en s’assurant qu’on pourra travailler dans de bonnes conditions techniques.

Cela permet :

  • d’éviter les bugs induits par un ajout sur du code fragile,
  • de réduire la dette technique future,
  • et de gagner en fluidité de développement.

Outils de refactoring automatisés

De nombreux IDE modernes offrent des outils pour faciliter le refactoring :

  • Eclipse
  • IntelliJ IDEA
  • VS Code (avec certaines extensions)

Ces outils permettent :

  • de renommer des variables ou des fonctions sans casser le code,
  • d’extraire automatiquement des méthodes,
  • ou de déplacer des éléments entre classes en toute sécurité.

L’automatisation permet :

  • de gagner du temps,
  • de réduire les erreurs humaines,
  • et de standardiser les pratiques de refactoring au sein d’une équipe.

Bonnes pratiques pour un refactoring réussi

Voici les clés pour que ton refactoring se passe bien :

  • Travailler en agile : intégrer le refactoring dans le cycle de développement.
  • Planifier et fixer des objectifs clairs : ne pas refactorer “pour refactorer”.
  • Tester régulièrement : les tests automatisés sont indispensables pour valider chaque étape.
  • Impliquer la QA : elle peut détecter des effets de bord ou des régressions.
  • Rester focalisé sur la progression : petit à petit, pas tout le projet d’un coup.
  • Automatiser dès que possible : pour limiter les tâches manuelles et répétitives.
Le refactoring, c’est une discipline : bien fait, il rend le code plus robuste, plus agile, plus durable.

Résumé

Le refactoring est une pratique incontournable pour maintenir un code :

  • propre,
  • compréhensible,
  • performant,
  • et facile à faire évoluer.

Il ne change pas ce que fait ton logiciel, mais il améliore radicalement la manière dont il le fait.

Bien utilisé, il évite les bugs, les ralentissements, et les dettes techniques. Il soutient la croissance de ton produit sur le long terme.

Git, GitHub et GitLab : quelles différences ?
GitHub et GitLab sont deux plateformes incontournables lorsqu’on parle de collaboration autour du code. Toutes deux reposent sur Git, le système de versioning le plus utilisé au monde. Mais quelle solution est la plus adaptée à ton organisation ? On fait le point.
James
4/4/2025

GitHub et GitLab sont deux plateformes incontournables lorsqu’on parle de collaboration autour du code. Toutes deux reposent sur Git, le système de versioning le plus utilisé au monde. Mais quelle solution est la plus adaptée à ton organisation ? On fait le point.

Git, GitHub, GitLab : définitions

Ces trois noms se ressemblent, mais ils ne désignent pas la même chose.

Git

Git est un système de contrôle de version open source. Il permet aux développeurs de sauvegarder des “snapshots” (états) de leur code à différents moments du projet. Tu peux ainsi revenir en arrière à tout moment, sans rien perdre. Il gère aussi très bien le travail en branche, ce qui facilite la collaboration en parallèle sur plusieurs fonctionnalités, sans risque de conflit.

Git est aujourd’hui utilisé par quasiment toutes les entreprises tech, des startups aux grandes entreprises.

GitHub et GitLab

GitHub et GitLab sont deux dépôts Git en ligne. Ils permettent de collaborer à plusieurs sur un projet Git, via des interfaces web complètes. Tu peux y stocker ton code, suivre des issues, gérer des branches, déployer automatiquement ton projet… Bref, ce sont de véritables hubs collaboratifs.

  • GitHub est détenu par Microsoft.
  • GitLab est édité par la société du même nom.

Points communs entre GitHub et GitLab

Les deux plateformes partagent de nombreuses fonctionnalités :

  • Hébergement cloud du code source
  • Suivi des bugs et des évolutions via un système d’issues
  • Compatibilité Linux
  • Plans gratuits et payants
  • Intégrations tierces
  • Support des projets open source
  • Outils de gestion de projet intégrés
  • Utilisation de multiples langages de programmation

GitHub vs GitLab : les différences clés

Même si leurs bases sont similaires, leurs philosophies diffèrent.

En résumé :

  • GitHub met l’accent sur la collaboration ouverte et une communauté massive. Il est plus “DIY” : à toi de brancher les bons outils CI/CD ou DevOps.
  • GitLab, à l’inverse, propose une solution tout-en-un, avec CI/CD natif, gestion des permissions fine, et une approche DevOps intégrée dès le départ.

Avantages et limites de chaque solution

GitHub

✅ Avantages

  • Interface utilisateur fluide et intuitive
  • Mise en place rapide
  • Grande communauté active
  • Partage et collaboration facilités
  • Idéal pour l’open source

❌ Inconvénients

  • Pas open source
  • CI/CD non intégré
  • Fonctionnalités avancées réservées aux plans payants
  • API moins robuste
  • Les dépôts privés gratuits sont limités à 3 collaborateurs

GitLab

✅ Avantages

  • Version Community open source
  • Documentation très complète
  • CI/CD intégré
  • Fonctionnalités enrichies en continu
  • Sécurisé et robuste pour les équipes structurées

❌ Inconvénients

  • Communauté plus restreinte
  • Mise à jour parfois complexe
  • Moins mature dans certains cas d’usage
  • Quelques bugs remontés par les utilisateurs

Quelle solution choisir pour ton équipe ?

  • Tu travailles en open source, tu veux collaborer avec le plus grand nombre, et tu as déjà ton propre pipeline CI/CD ? GitHub est probablement le bon choix.
  • Tu cherches une plateforme complète, sécurisée, avec des outils DevOps intégrés ? Tu veux tout centraliser ? GitLab est sans doute plus adapté.

Chez Yield Studio, on accompagne nos clients sur des stacks modernes avec Git, GitHub ou GitLab selon leurs préférences et besoins techniques. Dans tous les cas, bien maîtriser ces outils, c’est garantir un développement logiciel plus fluide, mieux organisé et plus fiable.

Les 100 langages de programmation à connaître en 2025
L’objectif : découvrir les langages les plus utilisés, les plus utiles, les plus prometteurs — ou parfois simplement les plus surprenants.
James
4/4/2025

Un monde riche, parfois complexe… mais passionnant

Quand on s’est lancé dans la compilation des 100 langages de programmation les plus importants, on avait comme un pressentiment : ce ne serait pas une mince affaire. Car même si une grande partie des développeurs dans le monde utilisent une vingtaine de langages principaux, il en existe des centaines d’autres — et nombre d’entre eux sont toujours utilisés activement.

Alors, comment s’y retrouver ? Comment catégoriser les langages ? Existe-t-il une hiérarchie ? Et surtout, quels critères adopter pour sélectionner les plus pertinents ?

Notre méthodologie

Pour établir cette liste, nous avons dû faire quelques choix :

  • Pas de classement hiérarchique : l’ordre de présentation n’implique pas une supériorité d’un langage sur un autre. C n’est pas « mieux » que Python ou Java, il est juste cité en premier.
  • Critère principal : le TIOBE Index : nous nous sommes appuyés sur cette référence mondiale pour fixer une limite aux 100 langages retenus. Oui, il y en a plus que ça, mais il fallait bien tracer une frontière.

L’objectif : découvrir les langages les plus utilisés, les plus utiles, les plus prometteurs — ou parfois simplement les plus surprenants.

Les 20 langages essentiels à connaître

1. C

Beaucoup le considèrent comme le langage le plus influent de l’histoire. Il a posé les bases de C++, C#, Objective-C, Java, Python, JavaScript… C est à l’origine d’une énorme partie des concepts fondamentaux de la programmation moderne.

Encore aujourd’hui, C est utilisé pour développer :

  • des systèmes d’exploitation (comme Unix),
  • des compilateurs,
  • des pilotes matériels,
  • et de nombreux utilitaires système.

2. Java

Ce qui fait sa force : le principe “Write once, run anywhere”. Le code Java compilé peut s’exécuter sur toute plateforme disposant d’une machine virtuelle Java (JVM).
C’est un langage polyvalent, utilisé pour :

  • des apps Android,
  • des applications web,
  • des outils big data,
  • des jeux,
  • et même des logiciels scientifiques.

3. Python

Ultra populaire, Python est souvent le premier langage conseillé aux débutants. Il brille par :

  • sa lisibilité,
  • sa courbe d’apprentissage douce,
  • sa flexibilité.

Python est utilisé dans presque tous les domaines : data, IA, automation, web, jeux, etc.

4. C++

C++ est né de la volonté d’ajouter des paradigmes haut niveau à C. Résultat :

  • Orienté objet, mais aussi générique et fonctionnel.
  • Performant comme C, mais plus structuré.

C++ est souvent utilisé pour :

  • les moteurs de jeux,
  • les systèmes embarqués,
  • les drivers,
  • l’audio/vidéo,
  • les réseaux.

5. C#

Langage développé par Microsoft, C# est l’un des piliers de la plateforme .NET.
Il est utilisé pour :

  • des applications Windows,
  • des jeux (via Unity),
  • des apps mobiles et web.

C# combine la puissance de C avec la simplicité de Java.

6. JavaScript

Impossible d’imaginer un site moderne sans JavaScript.
Il permet :

  • de dynamiser les pages web,
  • de créer des interactions sans recharger la page,
  • de manipuler les données côté client.

Avec Node.js, JavaScript est aussi utilisé côté serveur. Il est omniprésent dans le développement web.

7. PHP

Mal aimé… mais toujours là !
PHP reste le langage serveur le plus utilisé pour créer des pages web dynamiques.
Il permet aussi :

  • le traitement de formulaires,
  • la gestion de cookies,
  • la création de scripts en ligne de commande.

Gentille courbe d’apprentissage + communauté massive = langage encore très pertinent.

8. R

R est le langage favori des data scientists et des statisticiens.
Il propose :

  • de nombreuses librairies pour l’analyse statistique,
  • de puissants outils de visualisation,
  • des techniques comme le clustering, la régression linéaire, etc.

R est massivement utilisé dans les milieux académiques, médicaux et scientifiques.

9. SQL

Langage de requêtage des bases de données relationnelles.
Il permet :

  • de créer/modifier des bases,
  • d’insérer, interroger, mettre à jour des données,
  • de gérer les permissions et les structures.

SQL est un outil fondamental dans presque tous les projets tech où la donnée est structurée.

10. Go (Golang)

Créé par Google, Go combine :

  • la syntaxe simple de C,
  • un ramasse-miettes intégré,
  • la gestion native de la concurrence.

Il est utilisé pour :

  • les API,
  • les outils devops (Docker, Kubernetes),
  • les apps cloud-native,
  • la crypto.

11. Swift

Le langage officiel d’Apple. Si tu veux coder pour iOS, macOS, watchOS ou tvOS : c’est Swift qu’il te faut.

Inspiré de C et Objective-C, mais modernisé, Swift est :

  • sécurisé,
  • performant,
  • bien intégré à l’écosystème Apple (Cocoa, Cocoa Touch…).

12. Perl

Surnommé le couteau suisse du scripting, Perl existe depuis les années 80.
Il est utilisé pour :

  • l’admin système Linux,
  • les scripts réseau,
  • le développement web,
  • l’analyse de texte.

Perl est extrêmement souple, multi-plateforme, et toujours actif.

13. Assembleur

Langage bas niveau, très proche du langage machine.
Utilisé pour :

  • optimiser les performances au maximum,
  • écrire des pilotes ou microcontrôleurs,
  • des applications critiques en temps réel.

Chaque architecture a sa propre syntaxe. Complexe mais redoutablement puissant.

14. Visual Basic

Langage événementiel de Microsoft, avec une syntaxe accessible.
Grâce à l’IDE Visual Studio et à son intégration dans .NET, il permet de développer rapidement :

  • des apps Windows,
  • des outils internes métiers.

Souvent utilisé par des développeurs "non techniques" dans les entreprises.

15. Ruby

Langage équilibré entre productivité et élégance.
Il brille particulièrement avec son framework Ruby on Rails, très populaire pour les apps web.
Ruby est apprécié pour :

  • son style très lisible,
  • sa flexibilité,
  • son approche objet.

16. MATLAB

Langage spécialisé pour les ingénieurs et scientifiques.
Il permet :

  • de manipuler des matrices,
  • de créer des modèles mathématiques,
  • de visualiser et analyser des données.

C’est une plateforme propriétaire avec un environnement riche et graphique.

17. Objective-C

Le prédécesseur de Swift chez Apple. Basé sur C, avec des ajouts objet à la Smalltalk.
Il reste utilisé dans :

  • les apps legacy iOS/macOS,
  • les projets intégrant des librairies natives Apple anciennes.

18. Rust

Langage système centré sur la sécurité mémoire et les performances.
Grâce à son compilateur ultra strict, il évite les fuites mémoire, les erreurs de pointeur, etc.
Parfait pour :

  • les moteurs de jeux,
  • les OS,
  • les navigateurs (Firefox),
  • les systèmes embarqués.

19. Delphi / Object Pascal

Langage RAD (développement rapide d’applications), particulièrement répandu pour les apps Windows.
Il allie :

  • Interface graphique en drag-and-drop,
  • performances natives,
  • compilateur rapide.

Il reste très utilisé dans certaines industries (industrie, logistique, ERP sur Windows…).

20. Visual Basic Classic

Langage abandonné par Microsoft en 2008… mais encore très utilisé dans des projets legacy.
Il permettait de créer des apps 32-bit sous Windows avec les composants VB natifs.
On l’inclut par respect, car beaucoup d’anciens systèmes en dépendent encore.

30 langages classiques, émergents ou de niche

21. SAS

Un langage spécialisé pour l’analyse de données statistiques à partir de bases et de feuilles de calcul. Très utilisé dans les milieux académiques, gouvernementaux et médicaux. Il compile les données, les analyse, puis génère des rapports ou visualisations.

22. Scratch

Pensé pour initier les enfants de 8 à 16 ans à la programmation. Basé sur Smalltalk, il fonctionne par blocs visuels que l’on assemble. Très utile pour comprendre les concepts de base (boucles, conditions, événements…).

23. D

Un langage qui cherche à corriger les faiblesses de C/C++. Orienté objet, moderne, mais non rétrocompatible avec C++, ce qui permet d’éliminer pas mal d’héritages indésirables.

24. Dart

Créé par Google, Dart est le langage utilisé pour développer avec Flutter, le framework de développement mobile cross-platform. Il compile en JavaScript pour le web, ou en natif pour Android/iOS.

25. PL/SQL

Langage procédural développé par Oracle, qui étend SQL avec des fonctionnalités comme les boucles, conditions, fonctions, types…. Il est conçu pour interagir avec les bases de données Oracle.

26. Logo

Langage éducatif emblématique avec la petite “tortue” qui dessine. Un des premiers langages utilisés pour apprendre les bases du code dans les années 80 et 90.

27. COBOL

Langage vieux de plus de 60 ans, toujours utilisé dans la banque, la finance, et l’administration. Bien que considéré comme obsolète, il est encore actif sur de nombreux systèmes mainframe.

28. Kotlin

Langage moderne, concis, sécurisé, et totalement interopérable avec Java. Il est aujourd’hui le langage recommandé par Google pour le développement Android.

29. Julia

Un langage conçu pour le calcul scientifique et numérique. Très rapide, il combine la facilité d’écriture de Python avec la performance du C. Parfait pour l’analyse de données complexes.

30. ABAP

Langage propriétaire développé par SAP, utilisé pour écrire des programmes sur les systèmes SAP (ERP, CRM…). Il est essentiel dans l’écosystème SAP.

31. Scala

Considéré par certains comme un Java modernisé, avec une syntaxe plus concise, et des concepts fonctionnels. Scala compile vers la JVM et reste totalement interopérable avec Java.

32. Transact-SQL (T-SQL)

Extension de SQL développée par Microsoft, utilisée avec SQL Server. Elle ajoute des fonctionnalités procédurales (boucles, conditions, variables…) à SQL.

33. Scheme

Un dialecte minimaliste de Lisp, souvent utilisé pour l’enseignement, ou pour des systèmes embarqués. Sa simplicité en fait un bon langage pour apprendre les concepts de programmation fonctionnelle.

34. Prolog

Langage de programmation logique, basé sur des faits et des règles. Il est surtout utilisé dans des projets en intelligence artificielle et en traitement du langage naturel (NLP).

35. Ada

Langage sécurisé, structuré, développé à l’origine pour le Département de la Défense américain. Ada est toujours utilisé dans les systèmes critiques (aéronautique, spatial, défense…).

36. Lisp

L’un des plus anciens langages haut niveau encore utilisé aujourd’hui. Lisp est la base de nombreuses idées modernes comme la récursivité, les fonctions d’ordre supérieur, ou le typage dynamique. Très utilisé dans les projets d’intelligence artificielle.

37. Apex

Langage orienté objet propriétaire de Salesforce. Permet d’écrire des règles métier, automatisations, et API dans l’écosystème Salesforce.

38. Lua

Langage léger, rapide, multi-plateforme, très utilisé pour étendre des logiciels (scripts dans des jeux vidéo, par exemple). Il est simple, modulaire et parfait pour les petits systèmes embarqués.

39. Fortran

Langage vieux de 1957 (!), toujours utilisé en calcul scientifique intensif : mécanique des fluides, géophysique, simulations numériques… Il reste performant et très optimisé.

40. Haskell

Langage fonctionnel pur, académique, avec une forte orientation vers l’immutabilité et la pureté des fonctions. Utilisé à la fois dans la recherche et certains projets industriels très exigeants.

41. Hack

Développé par Meta (ex-Facebook), Hack est une extension de PHP qui ajoute le typage statique optionnel. Il permet une transition en douceur entre code dynamique et typé.

42. VBScript

Version simplifiée de Visual Basic, utilisée principalement pour automatiser des tâches sous Windows (scripts d’administration, macros…). Supplanté par PowerShell dans de nombreux cas.

43. TypeScript

Surcouche de JavaScript avec typage statique optionnel. Très utilisé dans les projets front-end modernes (React, Angular, Vue…). Il facilite le refactoring et la scalabilité.

44. AWK

Langage de traitement de texte en ligne de commande, très utile pour extraire ou transformer des données dans des fichiers plats. Un classique dans le monde Unix/Linux.

45. ActionScript

Langage orienté objet proche de JavaScript, utilisé dans les apps Flash. Il a aujourd’hui disparu avec la fin d’Adobe Flash, mais reste utilisé dans quelques apps héritées.

46. Tcl

Langage simple et très flexible, où tout est commande. Utilisé dans le prototypage rapide, les scripts système, ou les outils d’automatisation.

47. Smalltalk

Langage qui a influencé la POO moderne (et le design MVC). Très innovant, mais aujourd’hui marginalisé. Encore utilisé par quelques communautés dans des environnements très visuels.

48. Visual FoxPro

Langage orienté base de données, conçu pour des applications métiers desktop. Bien que Microsoft ait arrêté son support, il est encore utilisé dans des systèmes internes d’entreprise.

49. Solidity

Langage principal pour créer des smart contracts sur Ethereum. Inspiré de JavaScript, il est utilisé dans le développement d’apps décentralisées (dApps), NFT, DeFi…

50. PowerShell

Langage de script développé par Microsoft pour l’administration système et l’automatisation. Très puissant pour manipuler fichiers, registres, processus, et configurer des serveurs à grande échelle.

50 autres langages à découvrir

51. ABC

Langage généraliste utilisé pour l’enseignement et le prototypage rapide. Il a grandement influencé la création de Python.

52. Algol

Développé dans les années 50, Algol est à l’origine de la programmation structurée et a influencé C, Pascal et bien d’autres.

53. APL

Langage très original, basé sur des symboles mathématiques spéciaux. Utilisé pour le calcul scientifique et commercial.

54. Bash

Shell par défaut sous Linux, Bash est à la fois un interpréteur de commandes et un langage de script pour l’automatisation système.

55. Carbon

Langage en cours de développement par Google pour succéder à C++, avec un focus sur la sécurité mémoire et la compatibilité.

56. CFML (ColdFusion)

Langage de balisage pour le web, orienté base de données. Utilisé dans des applications d’entreprise pour générer des pages dynamiques.

57. CHILL

Langage des années 80 conçu pour les systèmes de télécommunications. Fiable, structuré, mais désormais peu utilisé.

58. CLIPS

Langage logique basé sur des règles, développé par la NASA pour créer des systèmes experts (IA, diagnostic, prise de décision…).

59. Clojure

Langage fonctionnel moderne basé sur Lisp, tourné vers la programmation concurrente et très apprécié dans le monde Java.

60. CLU

Langage de recherche du MIT, qui a introduit des concepts clés comme l’abstraction de données et l’héritage structuré.

61. Crystal

Langage compilé inspiré de Ruby, avec les performances du C. Il vise à combiner expressivité et rapidité.

62. Curl

Langage hybride mêlant balisage, scripts et POO, pour créer des applications web riches et interactives.

63. DiBOL

Langage orienté business pour les systèmes de gestion : comptabilité, facturation, inventaire. Utilisé sur les mini-ordinateurs.

64. Eiffel

Langage orienté objet basé sur le Design by Contract, très structurant pour développer des systèmes fiables et réutilisables.

65. Elixir

Langage fonctionnel moderne basé sur la VM d’Erlang (BEAM), conçu pour des systèmes distribués, tolérants aux pannes et scalables.

66. Elm

Langage fonctionnel compilant en JavaScript, conçu pour le front-end web. Il offre une expérience sans runtime errors.

67. Erlang

Langage utilisé dans les télécoms, célèbre pour sa capacité à gérer des milliers de connexions simultanées de manière fiable.

68. F#

Langage fonctionnel de Microsoft, multi-paradigme, utilisé en data science, finance, cloud computing.

69. Forth

Langage très bas niveau, utilisé dans l’embarqué et les systèmes interactifs, avec exécution immédiate des commandes.

70. GAMS

Langage d’optimisation mathématique utilisé en logistique, finance, énergie. Parfait pour résoudre des modèles linéaires complexes.

71. Groovy

Langage dynamique pour la JVM, très utilisé pour le scripting, les tests, et l’automatisation CI/CD (ex : Jenkins pipelines).

72. Icon

Langage très haut niveau orienté vers le traitement de texte et la manipulation de structures de données.

73. Inform

Langage orienté objet et narratif, utilisé pour créer des fictions interactives et jeux textuels.

74. Io

Langage inspiré de Smalltalk et Lua, explorant les paradigmes dynamiques et unifiés dans une structure ultra minimaliste.

75. J

Successeur d’APL, J est un langage fonctionnel et vectoriel utilisé pour le traitement de données en finance et recherche.

76. JScript

Version Microsoft de JavaScript, utilisée principalement dans Internet Explorer pour le scripting côté client.

77. LabVIEW

Langage graphique orienté dataflow, utilisé pour le contrôle d’appareils de mesure sans écrire de code textuel.

78. Ladder Logic

Langage graphique utilisé dans l’automatisation industrielle (PLC), qui reproduit les schémas de circuits logiques.

79. ML (Meta Language)

Langage fonctionnel typé, utilisé en recherche sur les langages de programmation. Précurseur d’OCaml et F#.

80. Modula-2

Successeur de Pascal, conçu pour la programmation système modulaire. Utilisé dans les OS et systèmes embarqués.

81. Mojo

Langage très récent qui combine la syntaxe de Python avec la performance du C++. Conçu pour le machine learning et la data science.

82. MQL5

Langage utilisé pour écrire des robots de trading et des indicateurs techniques sur MetaTrader 5.

83. NATURAL

Langage propriétaire orienté business, utilisé avec la base de données Adabas pour des systèmes d’entreprise.

84. Nim

Langage moderne et performant, alliant la concision de Python à la vitesse de C. Utilisé en systèmes, jeux, web.

85. OCaml

Langage fonctionnel puissant avec inférence de types. Utilisé dans la finance, les compilateurs, les outils d’analyse statique.

86. Occam

Langage conçu pour la programmation parallèle sur des architectures Transputer. Ultra minimaliste et déterministe.

87. OpenCL

Framework + langage pour la programmation parallèle sur GPU, CPU, FPGA… Très utilisé en calcul intensif.

88. PL/I

Langage impératif ancien, utilisé historiquement dans l’industrie et les sciences. Encore en place dans des systèmes legacy.

89. PureScript

Langage purement fonctionnel compilant vers JavaScript, fortement inspiré de Haskell. Parfait pour les apps front-end fiables.

90. Q

Langage propriétaire utilisé avec la base de données kdb+ (fintech), pour le traitement de données temporelles massives.

91. Ring

Langage très polyvalent qui supporte de nombreux paradigmes. Utilisé pour des projets en web, mobile, jeux…

92. RPG (Report Program Generator)

Langage orienté business, utilisé sur les systèmes IBM iSeries. Encore actif dans la comptabilité ou la facturation industrielle.

93. S

Langage statistique, prédécesseur direct de R. Fonctionnel, extensible, lisible. Toujours utilisé pour l’analyse de données.

94. SPARK

Version sécurisée d’Ada, utilisée dans les systèmes critiques (aviation, spatial…). Permet des vérifications formelles de la logique.

95. Stata

Plateforme logicielle avec langage intégré pour la statistique avancée et la recherche scientifique. Permet d’automatiser les traitements.

96. SystemVerilog

Langage de description et vérification matérielle. Utilisé pour simuler, tester et valider les circuits électroniques complexes.

97. VHDL

Autre langage de description hardware, utilisé pour modéliser, concevoir, et simuler des composants numériques (FPGAs, CPU…).

98. Wolfram

Langage symbolique développé par Wolfram Research. Puissant en calcul mathématique, data science, visualisation.

99. X++

Langage utilisé pour le développement dans Microsoft Dynamics AX / 365. Spécialisé dans les applications de gestion d’entreprise.

100. Zig

Langage bas niveau moderne, avec contrôle total de la mémoire et une syntaxe claire. Utilisé pour les OS, les moteurs de jeux, et la performance extrême.

Conclusion : une diversité aussi vaste que passionnante

Il n’existe pas un seul langage parfait — chacun a son domaine d’application, ses forces, ses limites. Ce qui rend la programmation fascinante, c’est cette capacité à choisir l’outil adapté au bon contexte.

Que tu sois développeur web, ingénieur systèmes, data scientist ou créateur d’algorithmes de trading, tu trouveras dans cette liste au moins une douzaine de langages clés pour ton métier.

👉 Le plus important : choisis un langage selon ce que tu veux créer. Maîtrise ses bases, explore ses possibilités… et amuse-toi à coder.

Échangeons sur votre projet !

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La réponse à vos questions

Pourquoi faire appel à une agence de développement web ?
Créer un bon logiciel, ce n’est pas juste une affaire de code. C’est une affaire de compréhension métier, d’arbitrages stratégiques et d’exécution sans faux pas.
Faire appel à une agence de développement web, c’est s’entourer d’une équipe capable de transformer un besoin business en produit numérique robuste, scalable et réellement utilisé. Chez Yield Studio, on ne se contente pas de livrer une app fonctionnelle. On co-construit un outil qui crée de la valeur dès le jour 1.
Concrètement, une agence spécialisée vous aide à :
- Cadrer le projet (objectifs, usages, contraintes) avant d’écrire une ligne de code.
- Concevoir des interfaces testées, validées, et adaptées aux vrais utilisateurs.
- Choisir les bonnes technos pour éviter la dette technique et favoriser l’évolutivité.
- Développer rapidement sans sacrifier la qualité, grâce à une organisation Lean & Agile.
Vous avez un projet SaaS à lancer ? Un outil interne à moderniser ? Une plateforme métier à créer from scratch ? Une agence de dev, c’est plus qu’un prestataire. C’est un partenaire produit.
Et quand 98 % des logiciels qu’on lance arrivent en production en moins de 3 mois, ce n’est pas un hasard. C’est une méthode.
Pourquoi votre application web doit-elle soutenir vos objectifs business ?
Une appli web qui ne sert pas votre business, c’est juste un budget cramé.
Chez Yield, on ne développe pas pour cocher des cases. On conçoit des outils qui résolvent un vrai problème métier. Gagner du temps. Générer du chiffre. Améliorer l’expérience utilisateur. Créer un avantage concurrentiel. Si l’outil ne sert pas ça, il ne sert à rien.
Trop d’applications sont pensées comme des projets IT. Résultat : peu d’usage, peu d’impact, beaucoup de frustration.
Notre approche ? Aligner le produit sur vos objectifs business dès le départ :
- Quel est le problème à résoudre ?
- Quel indicateur doit bouger ?
- Comment mesurer le succès du produit ?
Sans cet alignement, vous risquez de construire un outil lourd, mal utilisé, vite contourné. Avec lui, vous priorisez mieux, vous itérez plus vite, vous construisez une base solide.
Une bonne appli, ce n’est pas juste un code propre. C’est un outil qui pousse votre business dans la bonne direction.
Combien de temps pour créer une application web ?
Tout dépend de ce qu’on construit. Un outil interne avec peu d’écrans ? Quelques semaines. Une plateforme SaaS avec paiement, dashboard, et gestion des droits ? Plutôt 3 à 6 mois.
Chez Yield, on distingue trois phases clés :
- Cadrage & prototypage (2 à 4 semaines) : comprendre vos besoins, prioriser les fonctionnalités, prototyper, tester.
- Développement agile (6 à 12 semaines) : livraison itérative du produit avec feedback utilisateur en continu.
- Stabilisation & itérations (2 à 4 semaines) : débogage, optimisations, évolutions mineures.
Résultat : un MVP fonctionnel en production en moins de 3 mois dans 98 % des projets. Et surtout : pas de “tunnel de dev”, chaque sprint apporte de la valeur visible. Le bon réflexe ? Penser par itérations. Un projet web, ça ne s’arrête pas à la V1.
Combien coûte une application web ?
La vraie question, ce n’est pas combien ça coûte. C’est : combien ça rapporte ?
Une application bien pensée, c’est un gain de productivité, une meilleure expérience client, un relais de croissance. Le budget n’est pas une dépense, c’est un levier.
Chez Yield, on vous accompagne à partir de 40k€. Pourquoi ce seuil ? Parce qu’en dessous, on ne peut pas garantir la qualité, l’impact et la vitesse de livraison qui font notre force.
Le coût dépend de plusieurs facteurs :
-Complexité fonctionnelle : un MVP simple ou un outil métier sur-mesure ?
-Nombre d’utilisateurs : 50 personnes en interne ou une plateforme ouverte au public ?
- Intégrations : l’application doit-elle se connecter à votre ERP, votre CRM, des APIs externes ?
Notre approche : cadrer rapidement votre besoin avec un Product Design Sprint. En une semaine, vous repartez avec une vision claire, un prototype testable… et un devis argumenté.
Pas de promesse floue, pas de dérapage budgétaire. Juste un produit qui tient ses promesses – et son budget.
Quelles solutions de développement pour une application web ?
Tout dépend de ce que vous voulez construire. Et surtout : pourquoi.Vous créez un outil interne ? On privilégie la simplicité, la robustesse, la rapidité de dev.
Un SaaS à fort volume ? Place à l’architecture scalable, aux API bien pensées, à la perf serveur. Un portail B2B ? Sécurité, accès hiérarchisé, gestion fine des droits.
Les technos, on les adapte à l’usage.
On ne pousse pas une stack “parce qu’elle est à la mode”. On part de vos objectifs. On choisit ce qui tient dans le temps. Et on évite le syndrome de l’usine à gaz.Chez Yield, chaque ligne de code est alignée avec une contrainte réelle. Pas de techno gadget. Juste ce qu’il faut pour livrer vite, bien, et durable.
Comment rédiger un cahier des charges efficace pour son développement web ?
Un cahier des charges classique, c’est souvent 40 pages de specs figées… pour un projet qui évolue dès la première semaine. Résultat : perte de temps, incompréhensions, et refontes inutiles.
Chez Yield, on préfère cadrer autrement.
Un bon cahier des charges, c’est un point de départ stratégique, pas un document figé. Il doit répondre à trois questions clés :
- Quel problème métier doit-on résoudre ?
- Quelles sont les contraintes (techniques, juridiques, organisationnelles) ?
- Quel est le budget-cible pour créer de la valeur ?
Notre méthode ? Le Product Design Sprint. En 5 jours, on transforme votre idée en un prototype testé par de vrais utilisateurs, avec un backlog fonctionnel priorisé. Pas de superflu, juste l’essentiel. Vous repartez avec une vision claire, testée, validée, prête à être développée. Et ça, ça vaut tous les cahiers des charges du monde.
Quelle est votre méthodologie de développement ?
Pas de tunnel de dev de 6 mois. Pas de specs figées gravées dans le marbre. Notre approche est itérative, structurée… et orientée impact.

1. Comprendre les vrais besoins (1 à 3 semaines)
On part du terrain. Utilisateurs, enjeux métier, objectifs business : rien ne se code sans être compris.

2. Prototyper vite, tester tôt (2 à 5 semaines)
Un prototype cliquable, pas une maquette figée. Pour valider les parcours clés avec les bons utilisateurs.

3. Développer en sprint agile (7 à 15 semaines)
On priorise, on livre vite, on itère. Chaque sprint livre une version testable.

4. Améliorer et fiabiliser (1 à 3 semaines)
Tests utilisateurs, tests techniques, suivi analytique. On peaufine jusqu’à la mise en production.

👉 Résultat : un produit qui colle au besoin réel, mis en ligne rapidement, et prêt à évoluer.
Comment garantissez-vous la satisfaction de vos utilisateurs ?
On ne se contente pas de livrer des fonctionnalités. On construit des produits utiles, utilisés et adoptés.
Tout commence par une compréhension fine des usages. On mène des entretiens terrain, on observe les irritants, on challenge les besoins métiers.
Ensuite, on prototype vite pour tester les parcours avant même d’écrire une ligne de code.
Pendant le développement, on intègre les retours en continu. Chaque sprint est l’occasion d’ajuster, simplifier, améliorer.
Après la mise en ligne, on mesure l’usage réel : taux d’activation, frictions, comportements utilisateurs. Et on itère.
Qu’est-ce qui différencie votre code ?
Un bon produit, c’est aussi un bon code. Chez Yield, la qualité n’est pas une option, c’est un levier de vitesse.
On suit des standards stricts dès la première ligne : architecture modulaire, naming clair, tests automatisés, revues croisées systématiques.
Chaque projet est piloté par les DORA Metrics : fréquence de déploiement, délai de mise en prod, taux d’échec…
Résultat ? Un code propre, maintenable, scalable.
Pas de dette technique cachée. Pas de refonte dans 6 mois. Un bon code, c’est moins de bugs, plus de fluidité, et des évolutions qui ne cassent rien.
Comment assurez-vous un Time To Market rapide ?
Un bon logiciel livré trop tard… ne sert à rien.Chez Yield, on réduit le délai entre idée et mise en prod grâce à notre Lean Lab'® : design sprint express, cycles courts, itérations rapides. On priorise les fonctionnalités à forte valeur dès le départ, pour livrer un MVP en quelques semaines, pas en plusieurs mois. Le tout porté par une méthodologie agile, des feedbacks utilisateurs intégrés en continu et une automatisation des tests/déploiements. Moins d’allers-retours, plus d’impact. Vous avancez vite, sans sacrifier la qualité.
Quelles sont vos spécialités techniques ?
Pas de stack imposée. On choisit les bonnes technos pour les bons usages, selon votre produit, vos équipes et vos enjeux de scalabilité.
Nos technos phares :
- Next.js pour le SEO et les apps performantes côté front.
- Node.js pour les traitements temps réel et APIs légères.
- Laravel & Symfony pour des backends solides, structurés et maintenables.
- React & Vue.js pour des interfaces fluides, modulables, évolutives.Rust, Go ou Python selon les besoins spécifiques (performance, IA, scripting…).
Mais au-delà des outils, c’est la cohérence d’architecture et la qualité du code qui font la différence. On pense produit avant de penser techno.

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