PHP
Langage incontournable soutenu par ces deux frameworks Laravel & Symfony
Depuis 2019, notre culture Lean nous permet de mettre en production 98% des applications web de nos clients en moins de 3 mois, le tout avec un code de grande qualité.
Notre objectif n'est pas simplement de développer une liste de fonctionnalités. Nous visons l'adoption des utilisateurs et l'atteinte de vos objectifs business (augmentation de la productivité ou de la satisfaction clients, augmentation des ventes, ...).
Là où certaines agences suivent strictement le processus de développement et considèrent les besoins des utilisateurs ou le socle technique comme des contraintes, nous chez Yield Studio, on fait l'inverse.
Construire une application web performante est un levier stratégique essentiel pour accélérer votre transformation digitale. Son objectif ? Vous permettre de gagner en productivité, d'améliorer l'expérience utilisateur, ou encore de moderniser vos processus métiers pour booster votre croissance.
Avec plus de 6 ans d'expérience et 110 projets web développés, nous avons acquis une expertise solide pour anticiper les défis techniques, concevoir des architectures évolutives et garantir la scalabilité de vos projets.
web développés ou refondus par nos équipes pour des clients de toutes tailles.
que Yield Studio est un partenaire reconnu dans le développement d'applications web sur mesure.
d'utilisateurs touchés chaque mois par les applications web que nous avons développées pour nos clients.
de requêtes API sont faites chaque jour sur les applications de nos clients que nous maintenons
Nous écrivons un code de qualité dès le départ pour aller plus vite ensuite
Nous identifions les fonctionnalités différenciantes pour les utilisateurs finaux
Nous mettons très rapidement en production les fonctionnalités grâce à notre Lean Lab’ ®
Lancer une application web performante va bien au-delà du simple développement d’interface. Chez Yield Studio, nous vous accompagnons dès la conception pour créer des applications web sur mesure, qu’il s’agisse d’applications web métier pour automatiser vos processus internes et améliorer votre productivité, d’applications SaaS évolutives pensées pour répondre aux besoins spécifiques de vos utilisateurs, ou encore de sites web complexes offrant une expérience utilisateur optimisée grâce à une architecture robuste et une conception sur mesure.
Une application vieillissante ou un site web obsolète peut freiner votre croissance. Nous vous aidons à moderniser vos applications en repensant leur architecture technique, en améliorant leurs performances, leur design et leur scalabilité. Notre approche se concentre sur la mise à jour de vos outils pour offrir une expérience utilisateur optimale tout en garantissant une maintenance simplifiée et une capacité d’évolution sur le long terme.
Un code mal structuré entraîne des bugs, des lenteurs et des dettes techniques qui peuvent nuire à l’efficacité de votre application. Nos experts réalisent des audits complets pour évaluer l’état de votre application, identifier les goulots d’étranglement, et proposer des améliorations concrètes.
Notre objectif : Vous garantir un code fiable, maintenable et prêt à évoluer sans friction. Grâce à une maintenance rigoureuse et proactive, nous veillons à ce que votre application reste performante et sécurisée au fil du temps.
Nous créons des fonctionnalités sur-mesure qui répondent aux besoins spécifiques de chaque projet web, qu’il s’agisse de plateformes SaaS, de logiciels métiers ou de sites complexes.
Identification des problématiques de vos utilisateurs, de vos enjeux clés à travers l'écoute active et l'analyse de marché pour cadrer le projet.
Création de maquettes et prototypes interactifs, testés et améliorés grâce aux retours des utilisateurs pour garantir une solution répondant à leurs attentes.
Codage de votre application web en sprints d’une semaine, permettant des ajustements flexibles basés sur des tests en conditions réelles. A la fin de chaque sprint une revue est organisée ensemble.
Assurer la qualité et la performance de l'application par des tests rigoureux en conditions réelles, en prenant en compte des retours pour des ajustements.
Mettre votre produit en ligne et effectuer des itérations basées sur les retours, les datas et les évolutions du marché. Retour à l’étape 1 pour focus une autre problématique !
Pourquoi tant d’applications sont livrées… mais jamais vraiment utilisées ?
On a créé Yield Studio en 2019 pour y répondre : un bon produit digital, c’est d’abord un usage, un impact, une adoption.
Oui, on aime le code de qualité — nos développeurs seniors y veillent chaque jour — mais toujours au service d’un objectif clair et mesurable.
Produits digitaux construits pour des besoins B2B, B2C et internes
de NPS client depuis 2019. Nous construisons un partenariat sur la durée.
Développement web & mobile
Product Management
Data & IA
En 2025, le SaaS n’est plus “l’avenir” : c’est la norme. Selon CapChase, 85 % des solutions logicielles pro sont déjà proposées sous forme d’application SaaS.
Résultat : tout le monde veut son SaaS. Mais entre l’idée et le produit qui tourne vraiment, il y a un monde.
C’est là que la plupart des projets se perdent :
Chez Yield, on conçoit et on livre des SaaS depuis plus de 10 ans — du MVP lean livré en 8 semaines à la plateforme SaaS à forte charge en production.
On sait ce qui fait avancer un projet… et ce qui le plante.
👉 Ce guide est là pour ça : vous donner un plan clair, étape par étape, pour transformer une idée en un produit SaaS robuste, évolutif, et adopté par ses utilisateurs.
Créer une app SaaS : ce qu’il faut comprendre avant de se lancer
Aujourd'hui, près de 9 logiciels pro sur 10 sont livrés sous forme d’app web hébergée, accessible depuis n’importe où.
Pourquoi ? Parce que c’est rapide à déployer, simple à mettre à jour, et que ça évite les installateurs Windows qui plantent le lundi matin.
⚠️ Mais…
Créer un SaaS, ce n’est pas mettre un site derrière un mot de passe.
C’est concevoir un service vivant, qui doit rester fluide, fiable et sécurisé, même quand 10 000 personnes l’utilisent en même temps.
La nuance change tout :
Retour d’XP :
“On a vu un SaaS RH exploser en vol après 50 clients. Architecture bricolée, performances en chute, données qui se mélangeaient… Trois mois de refacto avant de pouvoir relancer la vente.”
— Antoine, Tech Lead chez Yield
Créer un SaaS, c’est comme lancer une boîte avec un moteur en production 24/7.
👉 Bref, c’est un produit… mais aussi une entreprise technique.
La majorité des projets SaaS qui échouent ne se cassent pas la figure sur la technique… mais sur le point de départ. Ils ont une idée précise de la solution, mais une idée floue du problème.
On entend souvent :
“Il nous faut un CRM.”
“On veut un outil comme X.”
Et pourtant, la vraie question est : pour qui, pourquoi, dans quelles conditions ?
Avant de poser la moindre ligne de specs, on commence par observer l’usage actuel :
💡 Ce qu’ils disent vouloir n’est pas toujours ce dont ils ont réellement besoin.
🔍 Exemple :
Un service client dit vouloir “un chatbot”. Après observation, on découvre que 80 % des demandes portent sur un seul formulaire introuvable sur le site. L’outil à construire n’est pas un bot complexe… mais un accès simplifié à ce formulaire.
Un SaaS ne vit pas dans un monde isolé : il s’insère dans des process, des règles, des flux d’infos.
On documente :
Le JTBD est un cadre simple pour formuler un usage en termes de mission à accomplir, pas de fonctionnalités :
“Quand [situation], je veux [motivation] afin de [résultat attendu].”
Concrètement :
Cette formulation oblige à préciser le contexte, l’action et l’objectif — et donc à éviter les features gadget.
S’inspirer d’outils existants aide à se projeter… mais copier tel quel mène à l’échec :
🔍 Retour d’XP :
“Un client voulait: “un CRM comme Salesforce, mais plus simple.” Trois ateliers plus tard, on réalise que 90 % du besoin, c’est juste suivre les leads internes. Rien à voir avec un gros CRM multi-équipes. On a donc fait un outil ultra-ciblé… adopté à 100 %, au lieu d’un mastodonte qui serait resté au placard.”
— Sophie, Product Manager chez Yield
💡 Notre règle chez Yield : tant qu’on ne peut pas résumer l’usage clé en une phrase JTBD claire, on ne “dessine” rien.
Dans un projet SaaS, la tentation est grande de “passer vite au code” — surtout si on a déjà une équipe technique mobilisée.
Erreur classique : on confond vitesse de développement… et vitesse d’apprentissage produit.
Le Minimum Viable Product n’est pas une version au rabais. C’est une version chirurgicale qui concentre l’effort sur :
🔍 Exemple :
Un SaaS RH pourrait vouloir “toute la gestion des congés + paie + onboarding” dès la V1. En réalité, 90 % de la douleur côté utilisateur vient de la prise de congés.
On livre uniquement ce module, mais parfaitement intégré au calendrier interne, avec notifications et validation fluide. L’adoption est massive → on enchaîne ensuite sur les autres modules.
Un backlog rempli n’est pas un gage de succès.
On utilise des méthodes simples pour trier :
💡Notre règle chez Yield : Chaque fonctionnalité ajoutée doit avoir un impact mesurable sur un KPI produit. Sinon, elle attend.
La roadmap n’est pas une “to-do list chronologique”.
C’est une narration produit qui donne du sens aux itérations :
Outils utiles :
Le développement SaaS n’est pas un marathon linéaire. C’est une succession de boucles : tester → apprendre → ajuster.
Mais “itératif” ne veut pas dire “improvisé”. Sans structure, les cycles se transforment en chaos.
Pas besoin de se perdre dans les débats de méthode. L’essentiel est de choisir un cadre qui sert votre produit et votre équipe :
💡 Chez Yield, sur un projet SaaS from scratch, on combine souvent Shape Up pour le cadrage (définir ce qui est “in” et “out”) et Scrum pour l’exécution (sprints courts, démos régulières).
👉 Pour creuser le sujet, on a détaillé quand choisir Shape Up ou Scrum selon votre projet. Et si vous voulez structurer votre pilotage agile au quotidien, voici comment piloter un projet de développement avec la méthode agile.
Un premier sprint ne doit pas être “une prise en main de l’outil”. Objectif : livrer un premier incrément utilisable (même interne) pour valider l’architecture et le rythme.
Checklist :
Avec une équipe resserrée (PM, designer, 2–3 devs, QA), on peut viser :
🔍 Exemple terrain :
Sur un SaaS de gestion d’événements, la V1 livrée en 7 semaines permettait déjà de créer un événement, d’inviter des participants, et de suivre les réponses — rien de plus. Et c’était suffisant pour signer les premiers clients.
Traduction réelle : “on bricole vite, on refacto dans 6 mois”.
Problème : dans 80 % des cas, “plus tard” = jamais, et la dette technique explose.
Pièges classiques :
Retour d’XP :
“Sur un SaaS B2B, l’équipe lançait directement en prod… faute d’environnement de préproduction. Chaque mise en ligne demandait des précautions infinies, des tests manuels à rallonge. Résultat : deux jours perdus à chaque release, pendant neuf mois. Au total, plusieurs dizaines de jours-homme envolés.”
— Julien, Lead Dev chez Yield
Un SaaS, ça ne se construit pas seul dans un coin. Même avec un budget serré, il faut couvrir quatre grands piliers : vision produit, expérience utilisateur, exécution technique et qualité. Si l’un d’eux manque, l’édifice penche.
Ensuite vient la question “avec qui ?”
💡Pro tip : avant de choisir vos profils ou partenaires, définissez votre V1 cible et votre rythme d’itération. Ça évite de recruter un expert infra ultra-senior… pour un MVP qui tiendrait sur un back-end serverless.
Le socle technique d’un SaaS, c’est comme les fondations d’un immeuble : ça ne se voit pas, mais ça tient (ou pas) tout le reste.
Et contrairement à ce qu’on croit, les choix critiques se font dès le départ, souvent avant même que la première ligne de code ne soit écrite.
Si vous n’êtes pas développeur, la tentation est forte de “laisser l’équipe décider”. Mauvaise idée : il faut au moins cadrer les critères non négociables qui guideront ce choix :
💡 Si vous visez un MVP rapide, ne cherchez pas la techno “parfaite” : cherchez celle que votre équipe maîtrise déjà bien.
Avant de valider une stack, assurez-vous qu’elle réponde à ces trois impératifs :
En reprise de projet, on retrouve régulièrement les mêmes failles évitables :
Retour d’XP :
“Un SaaS RH repris en main avait un back-end développé en techno “maison” par un seul freelance. Trois ans plus tard, plus personne ne savait le maintenir. Verdict : refonte complète obligatoire.”
— Julien, Lead Dev chez Yield
💡 Un bon socle technique, c’est celui qu’on peut faire évoluer vite, sans régression, et que n’importe quel dev compétent peut reprendre en main.
L’UX, ce n’est pas “mettre un joli habillage à la fin”. C’est ce qui guide la structure du produit, oriente le dev, et conditionne l’adoption. Plus tôt on l’intègre, moins on gaspille de temps et de budget.
Trop de projets repoussent le design après le dev, “quand tout sera prêt”. Mauvais réflexe :
💡 Chez Yield, on design les parcours clés dès le cadrage : ce n’est pas figé, mais ça donne un cap clair à l’équipe technique.
Pas besoin d’un système complet avec 200 composants dès le départ. L’objectif, c’est :
Un design system light = moins de dettes visuelles, moins de régressions à chaque ajout.
Tester tôt ne veut pas dire “ouvrir les vannes à tous les avis”. Les bons retours viennent de :
Retour d’XP :
“Un prototype Figma testé par 5 utilisateurs a révélé un blocage dans le formulaire d’inscription. Corrigé avant dev, ça a évité 3 semaines de rework.”
— Léa, UX Designer chez Yield
Attendre la fin du développement pour tester, c’est comme découvrir les freins de sa voiture… après la descente.
Dans un SaaS, chaque bug non détecté tôt coûte 10× plus cher à corriger en prod qu’en dev. L’objectif : tester au bon moment, avec la bonne intensité, sans se noyer dans un process QA disproportionné.
Les tests automatisés sont parfaits pour :
💡 Le bon ratio chez Yield : 60 % d’automatisé (rapide, fiable), 40 % manuel (fin, contextuel).
Un test avec toto@toto.com et “Lorem ipsum” ne révèle pas les vrais problèmes.
👉 En clair, la QA ne doit pas être un goulot d’étranglement, mais un filet de sécurité qui fonctionne en continu — dès le premier sprint, et pas seulement à la veille du lancement.
Mettre un SaaS en ligne, ce n’est pas “appuyer sur un bouton et passer au projet suivant”.
En réalité, le vrai travail commence après le lancement : les premiers utilisateurs vont mettre le produit à l’épreuve, et c’est là que se joue la différence entre un produit qui s’installe… et un produit qui s’éteint.
Le jour où le produit est public, la priorité n’est pas de tout changer, mais d’accompagner les utilisateurs dans la découverte. On garde en tête trois horizons :
⚠️ Un SaaS qui n’est pas utilisé activement au bout de 30 jours a 80 % de chances de churner dans les 6 mois.
Une mise en production réussie repose sur quelques fondamentaux simples :
Avant de se lancer dans de nouvelles features, il faut consolider la base. Les priorités sont claires :
Chez Yield, on dit souvent : “La V2, c’est la V1 qui marche… mais en mieux.”
👉 Une mise en prod bien préparée, c’est un produit qui reste debout dès les premiers coups de vent. Et un SaaS solide, c’est celui qui apprend vite de ses premiers utilisateurs.
Un SaaS ne se “termine” jamais. Ce n’est pas un livrable figé, c’est un actif qui évolue au rythme de ses utilisateurs, de son marché et de vos ambitions.
Ce qui fait la différence, ce n’est pas la stack la plus tendance ni la feature la plus “waouh”. C’est une posture produit : savoir observer, décider, prioriser… et itérer.
Dès le jour 1, gardez en tête trois repères simples :
Chez Yield, on accompagne les projets SaaS comme on pilote un produit : en posant les bases solides, en livrant vite, et en restant capables d’ajuster dès que la réalité du terrain parle.
Vous voulez cadrer votre projet, éviter les faux départs et maximiser vos chances d’adoption ? Parlons produit, pas juste code.
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Source chiffre :
Premier jour, ordi prêt, doc Notion partagée, “n’hésite pas si tu as des questions”… Et puis ? Silence. Trois jours plus tard, la nouvelle recrue a toujours la PR de setup en brouillon. Personne n’a le contexte. Et l’équipe court sur d’autres sujets.
C’est comme ça que beaucoup d’onboardings se passent — même dans des équipes bienveillantes. Pas par négligence. Mais parce qu’on confond “accueillir” et “intégrer”.
👉 Un bon onboarding, ce n’est pas juste une checklist. C’est un vrai passage de relais : transmettre les réflexes, les décisions implicites, la manière de bosser ensemble. Tout ce qui ne s’écrit pas dans un wiki.
C’est là que le buddy onboarding change la donne. En plaçant une personne référente, dédiée à l’accompagnement, on fluidifie l’arrivée. On crée un lien humain. On réduit la phase “je galère dans mon coin”.
Chez Yield, on l’utilise sur nos projets tech à impact. Dans ces contextes où la montée en compétence rapide est déterminante, le buddy onboarding fait gagner des semaines.
Dans cet article :
Prêt à faire de vos onboardings une vraie rampe d’accélération ?
Un buddy, ce n’est pas un formateur. Ce n’est pas un manager. Et ce n’est pas “la personne sympa qui va répondre aux questions”.
C’est un repère clair pendant les premières semaines. Une personne de l’équipe, identifiée à l’avance, qui va :
Le but : éviter le flou. Ne pas laisser la recrue chercher seule qui peut l’aider, ce qu’elle peut oser demander, ou comment avancer sur sa première PR.
Ce qu’un buddy n’est pas :
👉 C’est un relai horizontal. Un binôme ponctuel, sur les 3 à 6 premières semaines, pour faire le lien humain et opérationnel.
Chez Yield, on choisit le buddy dans la future équipe de la recrue — pas hors contexte. Et on le prépare : objectifs clairs, timing réaliste, points d’étape.
Un système de buddy n’est pas réservé aux grandes entreprises. Il devient utile dès qu’une équipe tech dépasse 3 à 4 personnes, ou qu’on commence à accueillir plus d’un profil par an.
Pourquoi ? Parce qu’à ce stade, l’intégration ne peut plus reposer sur “tout le monde est dispo” ou “on répond au fil de l’eau”. Et parce que l’onboarding est rarement documenté à 100 %. Résultat : sans repère dédié, la recrue se débrouille — ou se bloque.
👉 Les cas où le système de buddy fait vraiment la différence :
Ce que ça évite ? Une recrue qui n’ose pas déranger, des pratiques d’équipe floues ou mal transmises, ou encore une montée en charge ralentie faute de repères.
💡 Chez Yield, on déclenche systématiquement un buddy onboarding dès qu’un nouveau profil tech rejoint un projet avec plusieurs devs en place. Ça crée du lien, du rythme, et une vraie courbe de progression — dès la première semaine.
Un buddy, ce n’est ni un manager bis, ni un guide spirituel. C’est un repère concret dans l’équipe. Quelqu’un à qui la recrue peut poser toutes les questions — sans pression, sans jugement.
👉 Ce qu’on attend d’un buddy :
Mais aussi savoir poser des limites : un buddy n’est pas un tuteur à plein temps. Il ne fait pas de reporting RH. Il n’a pas à valider les choix de la recrue. Il accompagne, il ne pilote pas.
💡 Ce qu’on rappelle souvent chez Yield : être buddy, c’est être le premier contact, pas le seul référent. Le but est d’ouvrir les portes, pas de tout centraliser.
Et pour ça, le plus efficace reste la transparence :
🎯 Le buddy crée un sas de confiance. C’est ce qui fait passer une recrue de “je ne sais pas par où commencer” à “je sais à qui parler, et où chercher”.
Un système de buddy ne fonctionne pas par magie. Il faut un cadre, des habitudes, et un peu d’intention. Voici ce qu’on recommande de mettre en place pour que ça marche — vraiment.
Chez Yield, on pose ces pratiques simples (et efficaces) :
💡 Pro tip : on utilise un simple template de buddy dans Notion, avec les actions à suivre, les infos utiles à transmettre, les liens vers les outils internes. Résultat : un accompagnement homogène, même avec des équipes qui tournent.
👉 Ce qu’on vise, c’est un onboarding fluide, humain, et sans perte d’information. Pas une checklist froide. Le buddy est là pour créer du lien — et faire en sorte que la recrue se sente attendue, pas juste accueillie.
Le système de buddy a ses vertus. Mais mal posé, il peut vite devenir une case à cocher inutile — ou pire, une fausse bonne idée qui fatigue tout le monde.
Voici les écueils qu’on croise le plus souvent :
❌ Un buddy désigné au dernier moment, sans explication, ni temps dédié → il improvise, ou fait le minimum.
❌ Un rôle flou : est-ce qu’il parle du projet ? des rituels ? de la culture d’équipe ? Résultat : la recrue n’ose pas poser les vraies questions.
❌ Un binôme imposé sans affinité → la relation reste distante, voire inexistante.
❌ Un buddy surbooké → il veut bien faire, mais n’a pas le temps d’accompagner. Et l’intégration en souffre.
Chez Yield, on contourne ces limites en posant des conditions simples :
👉 Un buddy, ce n’est pas un mentor ni un manager. C’est un repère. Et ça, ça se construit. Pas besoin de grand moyen — juste de l’intention bien placée.
Côté équipe :
Côté buddy :
Côté nouvel arrivant :
💡 Chez Yield, on voit le buddy onboarding comme un accélérateur : 4 semaines bien posées pour créer de la confiance, de l’autonomie… et éviter les faux départs.
Un onboarding réussi, ce n’est pas juste “accueillir quelqu’un” — c’est le mettre en situation de contribuer vite, bien, et avec confiance.
Et pour ça, rien ne remplace un repère humain : quelqu’un qui connaît les codes, les attentes, le fonctionnement quotidien. Pas pour tout expliquer. Mais pour montrer où chercher, à qui parler, comment s’intégrer.
Chez Yield, on voit le système de buddy comme un outil simple, mais structurant. Il fluidifie l’arrivée, renforce la cohésion, et transmet la culture sans jargon.
Pas besoin d’un programme complexe. Il suffit d’un cadre clair, de bonnes questions, et d’un peu de temps dédié.
Et vous ? Si vous voulez structurer un onboarding tech qui va plus loin qu’un Notion partagé, parlons-en.
“Ajouter une gestion des congés.” Vous avez déjà lu cette ligne dans une spec. Et derrière ? Trois semaines de malentendus : Qui peut valider quoi ? Quels cas limites ? Quels rôles ? Quelles règles ?
👉 Résultat : un développement en zigzag, une QA bancale, et une recette qui redécouvre les règles métier à la dernière minute.
C’est exactement ce que la BDD permet d’éviter. Pas en ajoutant une couche de complexité. Mais en écrivant les besoins comme des comportements attendus — testables, compréhensibles, utilisables par toute l’équipe.
Chez Yield, on utilise Gherkin sur les projets web complexes : pour poser une spec claire, éviter les effets tunnel, et faire travailler ensemble produit, dev et métier. Ce n’est pas une méthode de test. C’est une façon de construire du logiciel qui marche comme il faut, du premier coup.
Dans cet article, on vous partage notre méthode terrain pour utiliser Gherkin à bon escient :
Behavior-Driven Development, ce n’est pas “tester en Gherkin”. C’est une méthode de collaboration. Pour aligner dev, produit et métier sur ce que doit faire l’application — et le rendre vérifiable, noir sur blanc.
👉 La BDD commence avant le code. Elle vise à clarifier le besoin sous forme de comportements : si telle situation se présente, alors tel résultat est attendu.
⚠️ Ce qu’on voit souvent sur le terrain : une équipe pose un framework BDD (Behat, Cucumber, SpecFlow…) sans changer ses pratiques. Résultat ? Des specs mal écrites, des tests inexploitables, et une perte de temps.
Chez Yield, on part toujours du besoin métier exprimé comme un scénario clair, puis on l’intègre dans la chaîne produit/dev/test. C’est ce qui permet d’éviter le classique “mais ce n’est pas ce qu’on avait compris”.
Un bon scénario Gherkin, ce n’est pas juste un test en langage humain. C’est une mise en situation concrète, partagée entre produit, tech et QA. Lisible, vérifiable, sans ambiguïté.
Feature: Validation d’un justificatif RH
Scenario: Un manager accepte un justificatif valide
Given un justificatif en attente
And un manager connecté
When il clique sur "Valider"
Then le statut passe à "Validé"
And un mail est envoyé au salarié
➡️ 3 mots-clés essentiels :
Given
(contexte) — Ce qu’on suppose vrai au départWhen
(action) — Ce que l’utilisateur faitThen
(résultat attendu) — Ce qui doit se passerUn seul scénario = un seul comportement testé
Pas de parcours à rallonge. Chaque scénario doit pouvoir rater ou réussir simplement.
Des noms de features explicites
“Validation RH” > “Feature RH n°2”. L’objectif doit être clair en un coup d’œil.
Des termes fonctionnels, pas techniques
“Un manager connecté” > “un user avec le rôle ROLE_MANAGER”.
Des cas alternatifs
On couvre aussi les cas d’erreur, d’accès refusé, etc. Le but : tester les chemins critiques, pas que le “happy path”.
Retour d’XP — structurer un backlog avec Gherkin
“Sur une app B2B avec des workflows métiers complexes, on a transformé la spec Word du client en 12 scénarios Gherkin clairs. Résultat : la QA savait exactement quoi tester, les devs n’ont pas eu de flou, et le client validait chaque scénario en lecture simple.”
— Clara, Product Strategist @Yield Studio
👉 Bien écrits, les scénarios Gherkin deviennent la boussole partagée de l’équipe. Pas un fardeau de plus.
La méthode BDD ne remplace pas vos rituels produit. Elle les renforce — en apportant clarté, alignement et testabilité dès les premières discussions.
Chez Yield, on ne “fait pas du Gherkin” pour faire joli. On l’intègre là où ça sert le plus.
On part souvent d’une phrase métier floue :
“Il faudrait que les RH puissent valider les demandes plus vite.”
➡️ On traduit ça en scénario, en atelier :
Scenario: La validation express d’un justificatif
Given un justificatif sans erreur
When un RH clique sur “Valider”
Then il est traité automatiquement
Résultat : tout le monde comprend ce qu’il faut construire — et pourquoi.
Chaque scénario devient une unité de découpage claire. On priorise les comportements les plus critiques, pas les composants visuels.
👉 Moins de specs vagues. Plus de cas testables.
Gherkin peut alimenter des tests automatiques (via Behat, Cypress…) ou servir de plan de test manuel. Mais surtout, il formalise ce qu’on veut tester, sans réinterprétation.
Retour d’XP — cadrer un MVP en 10 scénarios
“Sur un SaaS en B2B, on a démarré par 10 scénarios Gherkin prioritaires. Chaque sprint reprenait un à deux cas. En 6 semaines, on avait une V1 utile, testée, sans back & forth inutiles.”
— Thibaut, PO @Yield Studio
👉 Avec BDD, la spec devient un outil d’équipe. Pas un document figé entre deux silos.
Mal utilisé, Gherkin devient vite un nouveau jargon inutile. Voici les erreurs qu’on croise encore trop souvent — et ce qu’on recommande à la place.
“On a 50 scénarios Gherkin mais aucun MVP en vue.”
Gherkin, ce n’est pas pour tout formaliser. C’est pour clarifier les comportements clés. Les 80 % les plus utiles.
Ce qu’on fait chez Yield : cadrer les 5 à 10 scénarios critiques. Ceux qui font la valeur du produit — ou ceux qui posent problème.
“Chaque bouton, chaque champ… tout est en Gherkin.”
Résultat : des scénarios illisibles, inutilisables, jamais relus.
Un bon scénario Gherkin décrit un comportement métier, pas une UI.
Exemple :
Given un client non connecté
When il ajoute un produit au panier
Then il voit une pop-in de connexion
👉 Ce n’est pas du micro-détail. C’est une règle observable.
Gherkin n’est pas du code. Ce n’est pas là pour tester que “l’élément X a une classe .active”. C’est là pour poser des comportements compréhensibles par tous.
Si le dev ne comprend pas la règle métier → c’est que le scénario est mal écrit.
Si le métier ne comprend pas le test → c’est que ce n’est pas du Gherkin.
💡 À retenir
Un bon scénario Gherkin :
👉 Ce n’est pas du formalisme. C’est ce qui aligne produit, dev, QA… autour du même langage.
Feature: Relance automatique des impayés
Scenario: Un client reçoit une relance après 7 jours d'impayé
Given une facture en statut "en retard" depuis 7 jours
And le client a un email valide
When le job de relance est déclenché
Then un email de relance est envoyé
And l’action est tracée dans l’historique
Scenario: Aucune relance si le client a déjà été relancé
Given une facture en retard
And une relance envoyée il y a moins de 7 jours
When le job s’exécute
Then aucun mail n’est envoyé
💡 Ce type de scénario sert aussi de test, de doc, et de spec. Trois en un. C’est ça, le vrai gain.
La plupart des projets web se perdent non pas à cause de la tech… mais à cause des malentendus. Une règle mal comprise, une exception non gérée, un flou qui traîne.
Gherkin ne résout pas tout. Mais bien intégré, il permet à toute l’équipe de parler le même langage. Produit, métier, dev, QA : on part d’un scénario clair, on construit en confiance, on teste sans interprétation.
Chez Yield, on l’utilise pour cadrer les cas critiques, sécuriser les sprints, et poser une spec qui vit — pas un cahier des charges figé. Pas besoin de 100 scénarios. Juste les bons, bien écrits, partagés.
👉 Si vous construisez un produit sur mesure, et que vous voulez réduire les frictions produit/tech, Gherkin peut vraiment faire la différence. Encore faut-il l’utiliser comme ce qu’il est : un outil de conversation, pas un formalisme de plus.
Besoin de structurer vos règles produit sans tout recoder 3 fois ? On peut vous aider.