PHP
Langage incontournable soutenu par ces deux frameworks Laravel & Symfony
Depuis 2019, notre culture Lean nous permet d'accompagner nos clients à développer leur logiciel interne sur-mesure en moins de 3 mois, le tout avec un code de grande qualité.

Notre objectif n'est pas simplement de développer une liste de fonctionnalités. Nous visons l'adoption des utilisateurs et l'atteinte de vos objectifs business (augmentation de la productivité ou de la satisfaction clients, augmentation des ventes, ...).
Là où certaines agences suivent strictement le processus de développement et considèrent les besoins des utilisateurs ou le socle technique comme des contraintes, nous chez Yield Studio, on fait l'inverse. Et les DSI apprécient !

Moderniser ou remplacer votre ERP est un enjeu stratégique majeur pour optimiser vos processus métiers, garantir une continuité opérationnelle et favoriser l’innovation. Notre mission ? Vous fournir des solutions sur-mesure capables d’intégrer, compléter ou remplacer vos systèmes actuels pour une efficacité maximale.
Avec plus de 6 ans d’expérience et 110 projets logiciels réalisés pour des grands groupes et ETI, nous avons développé une expertise unique dans la conception de logiciels métiers connectés aux ERP, CRM, et autres systèmes d’information critiques. Notre approche vous garantit des architectures évolutives et un accompagnement technique solide pour réussir votre transformation digitale.
logiciels développés ou refondus pour optimiser ou remplacer des systèmes d’information complexes.
que Yield Studio accompagne les DSI et les dirigeants dans leurs projets de digitalisation sur-mesure.
d’utilisateurs accédant chaque mois aux logiciels que nous avons créés pour nos clients.
traitées chaque jour pour connecter vos logiciels métiers aux SI existants.

Nous écrivons un code de qualité dès le départ pour aller plus vite ensuite

Nous identifions les fonctionnalités différenciantes pour les utilisateurs finaux

Nous mettons très rapidement en production les fonctionnalités grâce à notre Lean Lab’ ®
Yield Studio conçoit des logiciels sur mesure adaptés à vos besoins métiers, qu’il s’agisse de remplacer un ERP vieillissant, de compléter vos outils existants ou d’automatiser des processus spécifiques. Nous développons des applications robustes et évolutives qui s’intègrent parfaitement à votre écosystème digital, tout en garantissant leur performance et leur sécurité.
Moderniser un logiciel obsolète ou améliorer un outil métier nécessite une approche sur mesure. Yield Studio vous accompagne pour repenser vos applications, qu’il s’agisse d’améliorer l’ergonomie, d’optimiser les performances, de sécuriser les données ou de faciliter l’interconnexion avec d’autres systèmes. Notre objectif est de vous fournir un outil agile, intuitif et adapté aux enjeux de demain.
Maintenir un logiciel performant et sécurisé est essentiel pour garantir sa pérennité. Yield Studio assure une maintenance proactive en réalisant des audits réguliers, en optimisant l’architecture logicielle et en intégrant de nouvelles fonctionnalités pour accompagner l'évolution de votre activité, sans perturber vos opérations.





Nous créons des fonctionnalités sur-mesure pour répondre aux besoins spécifiques de chaque logiciel métier, qu’il s’agisse d’outils connectés à un ERP, de plateformes SaaS ou de systèmes complexes de gestion de données.


Identification des problématiques de vos utilisateurs, de leur métier, de vos enjeux clés à travers l'écoute active et l'analyse de logiciels de vos concurrents pour cadrer le projet.

Création de maquettes et prototypes interactifs, testés et améliorés grâce aux retours des collaborateurs pour garantir une solution répondant à leurs attentes.
Codage de votre logiciel en sprints d’une semaine, permettant des ajustements flexibles basés sur des tests en conditions réelles. A la fin de chaque sprint une revue est organisée ensemble.
Assurer la qualité et la performance de l'application par des tests rigoureux en conditions réelles, en prenant en compte des retours pour des ajustements.
Mettre le logiciel en production et effectuer des itérations basées sur les retours, les datas et les évolutions de votre entreprise. Retour à l’étape 1 pour focus une autre problématique !










Pourquoi tant d’applications sont livrées… mais jamais vraiment utilisées ?
On a créé Yield Studio en 2019 pour y répondre : un bon produit digital, c’est d’abord un usage, un impact, une adoption.
Oui, on aime le code de qualité — nos développeurs seniors y veillent chaque jour — mais toujours au service d’un objectif clair et mesurable.
Produits digitaux construits pour des besoins B2B, B2C et internes
de NPS client depuis 2019. Nous construisons un partenariat sur la durée.
Développement web & mobile
Product Management
Data & IA

Si votre infrastructure ne peut pas être recréée à l’identique en 30 minutes, vous ne la maîtrisez pas.
Sur le terrain, on voit encore trop souvent des infrastructures cloud partiellement automatisées : quelques scripts, un peu de Terraform, des réglages faits à la main en production parce que c’était urgent.
Le jour où il faut comprendre ce qui tourne réellement, corriger une erreur ou cloner un environnement, tout ralentit.
C’est exactement là que l’Infrastructure as Code prend tout son sens. Pas comme un outil DevOps de plus, mais comme une méthode pour décrire, versionner et reproduire l’infrastructure avec le même niveau d’exigence que le code applicatif - celui sur lequel repose votre logiciel métier.
Encore faut-il l’appliquer correctement. Une IaC incomplète crée souvent plus de risques qu’elle n’en supprime. Dans cet article, on pose les bases.
L’Infrastructure as Code (IaC) consiste à décrire l’infrastructure - serveurs, réseaux, bases de données, permissions, load balancers - sous forme de code, versionné et exécutable.
Concrètement, au lieu de créer ou modifier des ressources via une console cloud ou des scripts épars, on définit l’état attendu de l’infrastructure dans des fichiers.
Cet état devient la référence unique. Si la réalité diverge, on la corrige… par le code.
Pour fonctionner, l’IaC repose sur des propriétés simples mais strictes :
Ce point est souvent mal compris : l’IaC ne sert pas d’abord à aller plus vite.
Elle sert à réduire l’incertitude. À éviter les différences invisibles entre environnements. À rendre l’infrastructure lisible par toute l’équipe, pas seulement par celui qui l’a montée.
⚠️ Attention
Écrire de l’IaC ne suffit pas. Une infrastructure décrite en code mais modifiée manuellement en parallèle perd immédiatement sa valeur. L’IaC fonctionne uniquement si le code devient la source de vérité.
Quand elle est correctement mise en place, l’Infrastructure as Code change la façon dont une équipe travaille avec son infrastructure, au quotidien.
Dev, staging, prod qui dérivent avec le temps, c’est un classique.
Un flag activé ici, une règle réseau modifiée là, une variable oubliée “temporairement”.
Avec une IaC stricte, ce problème disparaît presque entièrement :
C’est souvent le premier gain visible sur le terrain.
Sans IaC, une modification infra ressemble souvent à ça : “Quelqu’un a changé un truc hier, mais on ne sait plus quoi.”
Avec l’IaC :
👉 L’infrastructure devient auditée comme du code, pas subie comme un état opaque.
“Sur beaucoup de projets, le vrai bénéfice n’est pas la vitesse de déploiement, mais la capacité à comprendre ce qui a changé quand un incident arrive. Quand tout passe par Git, on ne cherche plus : on lit l’historique.”
— Hugo, Engineering Manager @ Yield Studio
Une infra “faite à la main” repose presque toujours sur une ou deux personnes clés.
Quand elles partent, changent d’équipe ou sont absentes, la connaissance part avec elles.
L’IaC inverse cette logique :
C’est un levier sous-estimé de résilience d’équipe.
Sans Infrastructure as Code fiable :
L’IaC devient alors la fondation :
⚠️ À retenir
L’IaC ne crée pas la qualité à elle seule.
Elle révèle la qualité (ou les failles) de votre manière de gérer l’infrastructure.
Terraform et Pulumi ne sont pas des concurrents d’Infrastructure as Code. Ce sont deux façons différentes d’appliquer la même méthode : décrire l’infrastructure, la versionner et la rendre reproductible.
👉 Dans les deux cas, l’outil n’a de valeur que s’il est utilisé comme source unique de vérité.
Terraform s’appuie sur HCL, un langage déclaratif volontairement limité. Il impose un cadre clair : fichiers lisibles, homogènes, faciles à relire et à auditer en équipe.
Ce cadre sécurise, mais montre ses limites dès que la logique devient plus fine (conditions complexes, factorisation avancée).
Pulumi prend l’approche inverse. L’infrastructure est décrite dans des langages applicatifs standards. La factorisation est plus naturelle, la logique plus expressive, les tests possibles.
En contrepartie, la liberté est totale. Et sans conventions solides, la lisibilité peut vite en pâtir.
👉 Sur le terrain : Terraform favorise la discipline. Pulumi favorise la flexibilité.
Côté écosystème, Terraform part avec une avance nette. Il bénéficie d’un environnement très mature :
Pulumi progresse rapidement, mais reste plus jeune :
Dans des infrastructures larges, hétérogènes ou legacy, Terraform reste généralement plus rassurant.
Les deux outils reposent sur un état (state) centralisé.
👉 Dans les deux cas, le problème n’est jamais l’outil, mais la rigueur autour du state, des revues et des accès.
Sur le terrain, Terraform est souvent privilégié dès que l’infrastructure devient collective :
Pulumi fonctionne bien dans des contextes plus ciblés :
“Pulumi est puissant, mais demande une vraie maturité d’équipe. Terraform, lui, impose un cadre qui évite beaucoup d’erreurs quand l’infra devient collective.”
— Julien, Lead DevOps @ Yield Studio
⚠️ Warning
Si une seule personne peut maintenir votre IaC, vous avez déjà perdu.
Choisissez l’outil que l’équipe peut comprendre, relire et corriger.
En pratique, le choix entre Terraform et Pulumi arrive toujours au même moment :
l’infrastructure commence à devenir pénible à faire évoluer sans stress. Plus d’environnements, plus de monde qui touche à l’infra, plus de risques à chaque changement.
Terraform est le bon choix quand l’infrastructure doit être comprise sans avoir quelqu’un pour l’expliquer.
On le voit fonctionner durablement quand :
“Sur un SaaS B2B avec plus de 10 environnements actifs, on est intervenus après plusieurs incidents liés à des écarts invisibles entre staging et production. En passant sur Terraform comme seule source de vérité (plus aucune modif à la main), les écarts ont disparu. Surtout, lors des incidents suivants, l’équipe savait immédiatement si le problème venait du code applicatif ou de l’infra. Avant, ce n’était jamais clair.”
— Hugo, Engineering Manager @ Yield Studio
Pulumi fait sens quand l’infrastructure n’est pas juste un socle, mais une extension directe du produit.
On le recommande quand :
Pulumi apporte de la puissance. Mais cette puissance se paie : sans cadre, l’infra devient vite difficile à relire pour quelqu’un qui n’était pas là au départ.
Il y a un cas fréquent où le problème n’est ni Terraform, ni Pulumi.
Si :
…alors ajouter un outil d’IaC ne corrige rien. On structure un fonctionnement déjà bancal.
🔍 Le test est simple
Si une correction en production peut être faite sans passer par Git, votre Infrastructure as Code ne joue pas son rôle.
L’Infrastructure as Code ne rend pas une infrastructure meilleure. Elle rend vos pratiques visibles.
Terraform et Pulumi ne changent rien à ça. Ils amplifient ce qui est déjà en place : une discipline collective… ou un désordre organisé.
Sur le terrain, une IaC saine n’est pas impressionnante. Elle est prévisible, lisible, ennuyeuse. Et surtout, elle permet à l’équipe de dormir quand l’infrastructure évolue.
👉 Si vous voulez structurer ou reprendre votre Infrastructure as Code sans repartir de zéro, on peut vous aider à cadrer les bons choix et poser un cadre qui tienne dans la durée.

Le jour où un chiffre de stock n’est plus le même selon l’outil, la réunion ou la personne qui le sort, le problème n’est plus organisationnel : il est structurel. C’est généralement à ce moment-là qu’un projet ERP est lancé.
Sur le terrain, on voit des ERP démarrer avec une mauvaise question : quel logiciel choisir ?Alors que la vraie difficulté arrive bien avant :
Mettre en place un ERP, ce n’est pas déployer un outil transverse. C’est transformer des pratiques implicites en règles explicites. Et accepter que certaines façons de faire ne survivront pas au projet.
👉 Dans cet article, on détaille comment se déroule concrètement une mise en place d’ERP, ce que chaque étape engage, et pourquoi la majorité des blocages arrivent avant même la première ligne de paramétrage.
Un projet ERP qui démarre par une démo éditeur est déjà mal engagé.
Sur le terrain, les projets qui dérapent ont presque tous le même point commun : on a choisi un outil avant d’avoir compris comment l’entreprise fonctionne réellement.
Un ERP ne corrige pas des usages flous. Il les fige.
La première étape n’est pas de lister des fonctionnalités, mais d’observer ce qui se passe vraiment :
Ce travail est souvent inconfortable. Il révèle des contournements, des règles implicites, des dépendances à certaines personnes.
Mais sans cette cartographie terrain, l’ERP ne fera que reproduire le chaos existant dans un outil plus rigide.
Tout n’a pas vocation à être standardisé. C’est même l’erreur la plus coûteuse.
À ce stade, on doit trancher clairement :
👉 Un ERP efficace n’est pas celui qui couvre 100 % des cas.
C’est celui qui couvre les bons 80 %, sans créer d’usine à gaz pour les 20 % restants.
Avant de parler solution, tout doit être écrit noir sur blanc :
Ce cadrage sert ensuite de filtre objectif pour comparer les ERP.
Sans lui, on choisit un outil complet. Avec lui, on choisit un outil adapté.
⚠️ Warning
Si vous n’êtes pas capables d’expliquer vos usages sans parler de l’outil, il est trop tôt pour lancer un projet ERP.
Sur le papier, une mise en place d’ERP suit toujours la même chronologie.
Sur le terrain, ce n’est jamais linéaire. Mais il y a un enchaînement réaliste, et quand on le respecte, le projet tient. Quand on le brûle, il dérape.
C’est la phase la plus sous-estimée… et la plus déterminante.
On ne parle pas encore d’écrans, mais de règles métier :
Sur les projets qui échouent, ce cadrage est soit trop vague, soit bâclé pour aller vite.
Les décisions sont repoussées… puis subies au moment du paramétrage.
Une fois dans l’ERP, chaque décision prise au cadrage devient concrète.
Et c’est là que les tensions apparaissent :
👉 C’est ici que la gouvernance fait la différence.
Sans arbitrage clair, l’ERP se transforme en patchwork de compromis.
Sur un projet ERP industriel, le paramétrage a commencé à dériver très vite : chaque équipe arrivait avec ses “cas particuliers”. On n’a pas cherché à tout trancher fonction par fonction. On a posé une règle simple : toute adaptation devait améliorer le process global, pas résoudre un irritant local. En deux ateliers, plus de la moitié des demandes ont été abandonnées. Le projet a arrêté de négocier en permanence et a recommencé à avancer.
— Camille, Product Manager @ Yield Studio
C’est souvent là que la réalité rattrape le projet. Données incomplètes, incohérentes, jamais nettoyées : l’ERP ne pardonne rien.
Un bon projet prévoit :
👉 Si la donnée est mauvaise, l’ERP ne l’améliorera pas. Il la rendra visible.
Tester un ERP, ce n’est pas valider que “ça marche”. C’est vérifier que les équipes savent travailler avec.
Les projets solides incluent :
Le go-live n’est pas la fin du projet. C’est le début de l’usage réel. Les premières semaines servent à ajuster, corriger, clarifier - pas à refaire ce qui n’a pas été décidé avant.
📌 À retenir
Un ERP ne se met pas en place par étapes techniques, mais par décisions assumées.
Chaque choix évité au départ ressortira… en production.
Un projet ERP ne déraille presque jamais à cause du cœur de l’outil. Il déraille à cause de ce qu’on branche autour… et de ce qu’on accepte de contourner.
Un ERP vit rarement seul. Il échange avec :
Chaque interface est un point de fragilité.
Sur le terrain, on voit souvent des intégrations construites vite, mal documentées, sans stratégie de long terme. Elles fonctionnent… jusqu’au premier changement de version, ou jusqu’à ce qu’un flux se bloque en production.
👉 Plus il y a d’intégrations non maîtrisées, plus l’ERP devient dépendant de son environnement.
Le spécifique est rarement présenté comme tel. Il arrive sous des formes acceptables : “petite adaptation”, “logique métier indispensable”, “cas très particulier”.
Pris isolément, chaque développement semble légitime.
Accumulez-les, et vous obtenez :
“Sur un ERP retail, aucun développement spécifique n’a été décidé comme un vrai choix structurant. Ils ont été ajoutés un par un, pour répondre à des cas ponctuels, sans vision d’ensemble. Trois ans plus tard, l’ERP était devenu trop risqué à faire évoluer : trop de règles cachées, trop de dépendances non maîtrisées. Personne n’osait lancer une montée de version.”
— Julien, Engineering Manager @ Yield Studio
La dette ne se voit pas le jour du go-live.
Elle apparaît quand il faut :
Chaque contournement non documenté devient un frein.
Chaque règle implicite devient un risque.
⚠️ Warning
Un ERP sur-spécifié ne crée pas de valeur durable.
Il fige des problèmes que l’entreprise devra repayer plus tard - souvent au pire moment.
Sur le terrain, un ERP qui ne prend pas n’est presque jamais un problème d’outil.
C’est un problème d’appropriation. Les équipes continuent à travailler comme avant… autour de l’ERP, pas avec lui.
La conduite du changement n’est pas une phase à part.
C’est ce qui conditionne l’usage réel du système dès le premier jour.
Beaucoup de projets ERP communiquent au moment du go-live.
C’est déjà trop tard.
Les utilisateurs découvrent alors :
👉 Contournements, fichiers parallèles, rejet passif.
Les projets qui tiennent dans la durée s’appuient sur :
👉 Un ERP est accepté quand il est compris. Et il est compris quand les décisions ont été partagées, pas seulement annoncées.
Former sur des écrans ne suffit pas.
Ce qui fonctionne :
📌 À retenir
Si les équipes n’ont pas confiance dans l’ERP, elles recréeront leurs propres règles - avec ou sans vous.
Un ERP ne sauve pas une organisation mal alignée.
Il la met face à ses incohérences, sans filtre.
Quand un projet ERP échoue, ce n’est presque jamais parce que l’outil était mauvais.
C’est parce que les usages n’étaient pas clairs, les arbitrages repoussés, et les exceptions trop nombreuses pour être assumées.
Sur le terrain, les ERP qui tiennent dans le temps ont trois points communs :
Un ERP réussi n’est pas confortable. Il impose une discipline. Et c’est précisément pour ça qu’il crée de la valeur.
👉 Chez Yield Studio, on intervient sur des projets ERP quand il faut structurer, intégrer et faire tenir le système dans la durée, pas juste implémenter une solution. Si vous êtes au début d’un projet ERP (ou coincés au milieu) mieux vaut poser les bons arbitrages maintenant que les subir plus tard.

Les équipes pensent souvent que faire du CI/CD, c’est avoir un pipeline qui tourne sur GitHub Actions.
En réalité, si votre déploiement nécessite encore un créneau calme, un Slack “ça passe chez vous ?”, ou un rollback artisanal… vous n’avez pas de CI/CD. Vous avez un script qui croise les doigts.
Ce qu’on voit chez Yield ? Des produits solides, plombés par des pipelines bancals : tests qui cassent au hasard, images Docker impossibles à reproduire, secrets exposés, déploiements manuels “juste pour cette fois”… et une équipe qui déploie moins souvent, par peur de casser.
👉 Le CI/CD n’est pas un outil. C’est ce qui détermine si votre produit peut évoluer sans douleur.
Dans ce guide, on simplifie tout : les vraies définitions, les briques indispensables, les bons outils, les pièges qui coûtent cher et les pratiques qui rendent les mises en prod aussi banales qu’une PR.
Avant de parler outils, runners et YAML, il faut clarifier un point : la moitié des équipes pensent faire du CI/CD… alors qu’elles n’en font que 20 %.
Le rôle du CI n’est pas de lancer des tests. C’est de garantir que chaque commit peut être intégré sans risquer de casser le reste.
Un vrai process CI, c’est :
👉 Si un développeur peut merge alors que la codebase ne se build pas, vous n’avez pas de CI.
Le CD ne signifie pas déployé automatiquement en prod.
Le CD signifie : chaque version peut partir en production à n’importe quel moment.
En pratique :
La nuance que 80 % des équipes ratent :
👉 Le second est impossible si le premier n’est pas fiable.
La plupart des équipes brûlent les étapes.
Un pipeline n’est pas un fichier YAML.
C’est la chaîne complète qui va de la PR… à la mise en prod réussie :
Analyse → Tests → Build → Artefact → Déploiement → Vérifications post-déploiement.
Si un maillon casse, tout le reste devient fragile.
Un bon pipeline ne tient pas à la quantité de jobs. Il tient à l’ordre.
Quand la séquence est mauvaise, vous pouvez avoir GitHub Actions + ArgoCD + Kubernetes… et quand même déployer en serrant les dents.
Voici les briques d’un pipeline moderne dans l’ordre qui évite les mauvaises surprises.
Avant même de lancer un test, on s’assure que la base est propre.
C’est le garde-fou qui économise des heures de debugging inutile.
Ce qu’on valide ici :
👉 L’objectif, c’est d’éliminer les erreurs structurelles avant qu’elles ne se propagent.
Une fois le code propre, on vérifie la logique. Pas la stack complète : la logique.
On exécute :
Si ça flake ici, c’est le pipeline entier qui deviendra instable.
Quand la logique est validée, on fabrique le binaire ou l’image.
Un build doit être identique d’une machine à l’autre.
On verrouille :
C’est là que 70 % des pipelines tombent.
On teste la vraie stack, mais dans un environnement jetable.
On vérifie :
C’est ici qu’on détecte les régressions coûteuses.
“Dans quasiment tous les projets où “tout marche sauf en prod”, le point faible était là : les tests d’intégration ne reflétaient pas la réalité.
Quand on a remplacé les mocks par une vraie base jetable et les vrais services, on a révélé 14 régressions en moins d’une demi-heure.
Depuis, on répète toujours la même chose : si cette étape est trop légère, c’est la prod qui encaisse les surprises.”
— Claire, QA Lead @ Yield Studio
Une version qui n’est pas packagée n’est pas une version.
On génère :
Ce qui n’est pas archivé ne peut pas être déployé proprement.
Un déploiement n’est “réussi” que quand la nouvelle version tourne réellement.
On inclut :
👉 Un pipeline sans post-deploy checks, c’est un pipeline qui espère.
Un bon pipeline ne dépend pas d’un outil. Mais un mauvais choix d’outil peut vous faire perdre des mois.
Chez Yield, on voit trois profils d’équipes : celles qui ont trop d’outils, celles qui n’en ont pas assez… et celles qui ont Jenkins “parce qu’il était là avant tout le monde”.
On remet un peu d’ordre.
Si votre repo est sur GitHub, Actions est presque toujours le meilleur point de départ :
⚠️ Son point faible : limité dès qu’il faut orchestrer des pipelines complexes multi-projets.
GitLab CI convient dès que vous voulez tout opérer au même endroit :
👉 Excellent pour les équipes pluridisciplinaires.
Moins flexible que GitHub pour mixer des outils externes.
Jenkins a tout fait avant tout le monde… mais aujourd’hui :
⚠️ À utiliser uniquement si vous avez une équipe experte dédiée. Sinon : non.
Pour Kubernetes, on ne discute même pas :
ArgoCD = déploiement déclaratif, rollback auto, synchro parfaite entre Git et cluster.
👉 À utiliser pour le déploiement, pas pour le CI (erreur classique qu’on voit partout).
Si votre infra n’est pas décrite en IaC, votre CI/CD repose sur du sable.
Terraform (ou Pulumi) apporte :
👉 Sans IaC, pas de déploiement fiable. Point.
🚨 Red flag
Si votre pipeline utilise plus de 3 outils pour faire ce qu’un seul pourrait gérer, ce n’est pas de la modernité. C’est de la dette.
Le problème du CI/CD, ce n’est pas la technique. C’est la discipline.
Les équipes mettent des pipelines… mais rarement les bonnes règles autour.
Voici ce qui fait vraiment passer d’un pipeline “opérationnel” à “fiable au quotidien”.
Un build doit produire exactement le même artefact aujourd’hui, demain, et dans six mois.
Sinon vous déboguez des fantômes.
Concrètement, ça passe par :
Oui, même pour les seniors. Quand c’est “facultatif”, les tests deviennent décoratifs. Un pipeline qui ne casse jamais… ne sert à rien.
Beaucoup activent le cache, peu le maîtrisent.
Les bases à poser :
Un bon cache divise les temps de CI par x2 à x5.
Pas pour aller vite. Pour réduire la taille de chaque déploiement.
Plus le batch est petit, plus le rollback est simple, plus le risque baisse.
Les meilleures équipes déploient plusieurs fois par jour - même des micro-patchs.
C’est le raccourci le plus rentable :
👉 Moins de retours tardifs → moins de cycles perdus.
La QA ne doit pas “valider que ça marche”.
Elle doit valider le produit, pas la qualité du code.
❌ Si la QA attrape des bugs techniques, le pipeline est mauvais.
✅ Si la QA valide des comportements métier, le pipeline est bon.
Ce qu’on dit systématiquement aux équipes qu’on accompagne : le CI/CD n’est pas un outil, c’est une discipline.
Le choix de GitHub Actions, GitLab, ArgoCD ou Terraform compte… mais ce sont surtout vos règles, votre sécurité, votre IaC et votre gestion des environnements qui font la différence.
Un pipeline moderne n’accélère pas simplement les devs : il stabilise le produit, réduit les régressions, sécurise la release, et libère du temps pour les sujets qui créent réellement de la valeur.
Chez Yield, c’est exactement sur ce point qu’on intervient : concevoir des pipelines sobres, fiables, auditables, qui tiennent en prod - et qui ne deviennent jamais un frein à la livraison.
👉 Vous voulez structurer ou moderniser votre CI/CD ? On peut vous aider à construire une chaîne de déploiement qui accélère vraiment votre produit.