PHP
Langage incontournable soutenu par ces deux frameworks Laravel & Symfony
Depuis 2019, notre culture Lean nous permet d'accompagner nos clients à développer leur logiciel interne sur-mesure en moins de 3 mois, le tout avec un code de grande qualité.
Notre objectif n'est pas simplement de développer une liste de fonctionnalités. Nous visons l'adoption des utilisateurs et l'atteinte de vos objectifs business (augmentation de la productivité ou de la satisfaction clients, augmentation des ventes, ...).
Là où certaines agences suivent strictement le processus de développement et considèrent les besoins des utilisateurs ou le socle technique comme des contraintes, nous chez Yield Studio, on fait l'inverse. Et les DSI apprécient !
Moderniser ou remplacer votre ERP est un enjeu stratégique majeur pour optimiser vos processus métiers, garantir une continuité opérationnelle et favoriser l’innovation. Notre mission ? Vous fournir des solutions sur-mesure capables d’intégrer, compléter ou remplacer vos systèmes actuels pour une efficacité maximale.
Avec plus de 6 ans d’expérience et 110 projets logiciels réalisés pour des grands groupes et ETI, nous avons développé une expertise unique dans la conception de logiciels métiers connectés aux ERP, CRM, et autres systèmes d’information critiques. Notre approche vous garantit des architectures évolutives et un accompagnement technique solide pour réussir votre transformation digitale.
logiciels développés ou refondus pour optimiser ou remplacer des systèmes d’information complexes.
que Yield Studio accompagne les DSI et les dirigeants dans leurs projets de digitalisation sur-mesure.
d’utilisateurs accédant chaque mois aux logiciels que nous avons créés pour nos clients.
traitées chaque jour pour connecter vos logiciels métiers aux SI existants.
Nous écrivons un code de qualité dès le départ pour aller plus vite ensuite
Nous identifions les fonctionnalités différenciantes pour les utilisateurs finaux
Nous mettons très rapidement en production les fonctionnalités grâce à notre Lean Lab’ ®
Yield Studio conçoit des logiciels sur mesure adaptés à vos besoins métiers, qu’il s’agisse de remplacer un ERP vieillissant, de compléter vos outils existants ou d’automatiser des processus spécifiques. Nous développons des applications robustes et évolutives qui s’intègrent parfaitement à votre écosystème digital, tout en garantissant leur performance et leur sécurité.
Moderniser un logiciel obsolète ou améliorer un outil métier nécessite une approche sur mesure. Yield Studio vous accompagne pour repenser vos applications, qu’il s’agisse d’améliorer l’ergonomie, d’optimiser les performances, de sécuriser les données ou de faciliter l’interconnexion avec d’autres systèmes. Notre objectif est de vous fournir un outil agile, intuitif et adapté aux enjeux de demain.
Maintenir un logiciel performant et sécurisé est essentiel pour garantir sa pérennité. Yield Studio assure une maintenance proactive en réalisant des audits réguliers, en optimisant l’architecture logicielle et en intégrant de nouvelles fonctionnalités pour accompagner l'évolution de votre activité, sans perturber vos opérations.
Nous créons des fonctionnalités sur-mesure pour répondre aux besoins spécifiques de chaque logiciel métier, qu’il s’agisse d’outils connectés à un ERP, de plateformes SaaS ou de systèmes complexes de gestion de données.
Identification des problématiques de vos utilisateurs, de leur métier, de vos enjeux clés à travers l'écoute active et l'analyse de logiciels de vos concurrents pour cadrer le projet.
Création de maquettes et prototypes interactifs, testés et améliorés grâce aux retours des collaborateurs pour garantir une solution répondant à leurs attentes.
Codage de votre logiciel en sprints d’une semaine, permettant des ajustements flexibles basés sur des tests en conditions réelles. A la fin de chaque sprint une revue est organisée ensemble.
Assurer la qualité et la performance de l'application par des tests rigoureux en conditions réelles, en prenant en compte des retours pour des ajustements.
Mettre le logiciel en production et effectuer des itérations basées sur les retours, les datas et les évolutions de votre entreprise. Retour à l’étape 1 pour focus une autre problématique !
Yield Studio aide les entreprises à devenir plus productives et identifier des leviers de croissance. Agacés de travailler sur des projets sans impact réel, c’est en 2019 que James et Cyrille créent Yield Studio. Notre objectif est d’utiliser la tech pour créer des innovations qui apportent de la valeur à la fois à l’utilisateur final et à la fois au business
Produits digitaux construits pour des besoins B2B, B2C et internes
de NPS client depuis 2019. Nous construisons un partenariat sur la durée.
Développement web & mobile
Product Management
Data & IA
Un décideur pose la question : “Pourquoi ça fait 6 mois qu’on développe… et qu’on n’a rien à montrer ?” C’est souvent là que le malaise commence.
Pas parce que l’équipe est incompétente. Mais parce que le projet s’est perdu dans les specs, les chantiers parallèles, les allers-retours de validation — et qu’on a oublié l’essentiel : le bon logiciel, ce n’est pas celui qui fait tout, c’est celui qui résout un vrai problème.
Chez Yield, on a vu passer des dizaines de projets qui patinaient… alors que les ingrédients étaient là : une équipe engagée, un budget solide, un objectif métier clair.
Ce qui manquait ? Un fil rouge. Une méthode. Une manière de construire pas à pas — avec du bon sens, et du feedback.
👉 Ce guide, c’est exactement ça : 8 étapes simples, concrètes, pour construire un logiciel métier qui sert vraiment. Pas un tunnel de dev. Pas une app “concept”. Un produit utile, piloté, livré, utilisé.
Prêt à construire mieux ? Let’s go.
Une bonne app ne commence pas par une to-do list de features. Elle commence par un irritant terrain, vécu, répété — que personne n’a encore bien résolu.
Avant de parler maquette ou stack technique, il faut répondre à une seule question :
👉 Quel problème concret on cherche à résoudre, pour qui, dans quel contexte ?
Et ça, on ne l’obtient pas dans une salle de réunion. On l’obtient :
Sans ce travail, on développe un outil “intéressant”… mais pas nécessaire. Et c’est le meilleur moyen de se retrouver avec une app qui tourne — mais que personne n’utilise.
Ce qu’on pose chez Yield, dès la phase d’amorçage : un cadrage centré usage, pas fonctionnalités. Parce qu’un logiciel utile, c’est d’abord un logiciel qui résout quelque chose de tangible.
💡Pour bien formuler le problème à résoudre, rien ne remplace l’observation terrain. On détaille notre méthode pour identifier les bons irritants métier dans cet article sur l’analyse du travail des équipes.
Une vision produit, c’est un cap partagé, qui éclaire les décisions et aligne les équipes. Sans elle, on avance à vue. Avec elle, chaque choix trouve sa logique.
Un bon logiciel métier ne naît pas d’un besoin exprimé par une équipe isolée. Il prend racine dans une vision claire — une direction que tout le monde comprend, partage… et peut challenger.
Sans cette vision, on finit vite avec un backlog qui grossit sans cap, un produit qui évolue par ajouts successifs, et des arbitrages flous entre ce qui est “urgent”, “important”, ou juste “bruyant”.
👉 Une vision produit bien posée, c’est :
Chez Yield, on aime formaliser cette vision sous forme de “boussole produit” dès les premières semaines. Pas pour faire joli. Mais pour avoir un document court, concret, que chaque équipe peut relire quand il faut trancher : “est-ce que cette évolution nous rapproche — ou nous éloigne — de notre but ?”
Et cette vision ne reste pas figée dans un coin de Notion. On la réactive à chaque sprint planning, à chaque rétro, à chaque discussion stratégique. Parce qu’un produit bien piloté, c’est un produit qui sait pourquoi il existe — et pourquoi il évolue.
💡Une bonne vision produit repose aussi sur des objectifs mesurables et partagés. On vous montre comment les définir efficacement dans cet article sur les bons objectifs produit.
Une vision produit solide, c’est aussi une vision lucide sur l’environnement technique. Un logiciel métier ne vit jamais en silo : il s’insère dans un écosystème existant — souvent avec un ERP, un CRM, un outil maison.
Ces interconnexions sont rarement “plug and play”. Si on ne les identifie pas dès le départ, elles deviennent des freins imprévus : données manquantes, flux à reconstruire, dépendances mal anticipées.
👉 C’est pour ça qu’on pose très tôt chez Yield une cartographie des systèmes existants et des flux critiques. Pas pour faire de l’archi pour l’archi. Mais pour faire des choix réalistes — et éviter les plans sur la comète qui explosent à l’intégration.
Un bon backlog, ce n’est pas une to-do list géante. C’est une matrice de décision. Chaque ticket, chaque idée, chaque “ce serait bien de…” doit passer au filtre de la valeur métier. Sinon, vous risquez de livrer ce qui est rapide… mais pas forcément utile.
👉 L’objectif, c’est de trier. Froidement. Ce qui génère de l’impact utilisateur passe en haut. Ce qui rassure un stakeholder, mais n’apporte rien sur le terrain ? À challenger.
Voici ce que vous devez poser pour prioriser avec méthode et lucidité :
Astuce Yield : lors du sprint planning, testez un “pitch inversé” – chaque feature doit être défendue en 2 minutes chrono : quelle valeur, pour qui, et pourquoi maintenant. Si ça ne tient pas la route, c’est que ce n’est pas mûr.
💡 La priorisation ne se décide pas sur un coin de table. Elle s’ancre dans un travail de cadrage solide, une compréhension des enjeux métiers, et une évaluation réaliste des ressources. On détaille notre méthode dans cet article dédié à la construction de roadmap produit.
Livrer un gros bloc après 3 mois de dev, ça fait joli dans un planning. Mais ça ne prouve rien.
Dans une logique produit, ce qu’on cherche, ce n’est pas de “finir un module”. C’est de livrer une première valeur, testable, compréhensible, utile — même si elle est incomplète. Et pour ça, il faut découper plus finement, plus intelligemment.
👉 Un bon découpage, c’est ce qui permet de créer un flux : on livre vite, on apprend vite, on ajuste vite. Et surtout, on réduit drastiquement les risques de déconnexion entre le besoin réel… et ce qui arrive en production.
Voici ce que vous devez poser pour éviter le “tout ou rien” :
Le découpage, ce n’est pas une étape de specs. C’est un levier de pilotage. Plus vous livrez tôt, plus vous apprenez, plus vous créez de la valeur métier réelle.
💡 Un bon découpage permet aussi de travailler plus intelligemment les maquettes et les tests. On vous montre ici comment transformer un besoin métier en parcours visuel cohérent.
Un logiciel métier, ça ne se conçoit pas pour les utilisateurs. Ça se conçoit avec eux.
Les embarquer tôt, c’est éviter les malentendus plus tard. Et poser les bases d’un produit qui trouve vraiment sa place.
Si les utilisateurs finaux (souvent issus du métier) découvrent le produit à la fin, c’est déjà trop tard. Les allers-retours s’enchaînent, les incompréhensions s’installent, et ce qui devait “simplifier le quotidien” devient un outil en plus — pas une solution.
👉 Pour éviter ça, il faut intégrer les utilisateurs métier tout au long du développement. Pas en spectateurs, mais comme contributeurs actifs.
Voici ce que vous devez poser pour en faire des alliés plutôt que des testeurs de dernière minute :
Chez Yield, on intègre très tôt les retours terrain dans les tickets. Car un bug pour le métier n’est pas toujours un bug technique — c’est parfois juste un manque de clarté.
💡 Pour que l’intégration des utilisateurs soit réellement efficace, il faut savoir à qui parler, et sur quoi les faire réagir. On a détaillé notre méthode pour bien identifier les parties prenantes et leurs vrais besoins.
Un bon produit n’est pas seulement fonctionnel. Il est compréhensible, adoptable, et utile pour ceux qui le vivent au quotidien. Et ça ne se joue pas uniquement en phase de développement. L’appropriation post-livraison fait partie du projet.
Voici ce que nous mettons en place systématiquement pour favoriser l’adoption terrain :
Ce n’est pas un bonus. C’est la dernière ligne droite pour sécuriser l’impact métier réel.
Une mise en production, ce n’est pas un “grand saut” à faire d’un bloc. C’est un processus maîtrisé, où vous séparez clairement le moment où le code est livré… de celui où la fonctionnalité est activée pour les utilisateurs.
👉 Le bon réflexe, c’est de livrer souvent, par petites touches, sans stress — grâce à une stratégie de déploiement progressive.
Voici ce que vous devez mettre en place pour ne pas livrer à l’aveugle :
Résultat : vous gardez la main sur ce que voit l’utilisateur, même si le code est déjà en prod. Moins de stress côté équipe, plus de sécurité côté produit.
Ce n’est pas du luxe. C’est ce qui vous permet d’itérer vite… sans exploser la qualité.
💡 Vous voulez éviter les déploiements sous tension ? On vous détaille ici comment concevoir une stratégie de mise en prod progressive, sans effet tunnel.
Un bon produit ne sort jamais d’une suite de validations en cascade. Il naît de la co-construction. Et ça, ce n’est pas une question d’outils, mais de posture collective.
👉 Trop d’équipes continuent à fonctionner en silos : le produit rédige une spec, la tech implémente “ce qui est possible”, le design ajuste a posteriori. Résultat ? Des tensions, des itérations dans le vide, et une perte de sens.
Chez Yield, on recommande une organisation centrée sur un trio clé, impliqué ensemble du cadrage à la livraison :
Ce trio doit intervenir dès les premières phases (cadrage, atelier d’impact, arbitrage des MVPs), pas seulement au moment de “produire”.
Pour rendre cette collaboration fluide, vous pouvez mettre en place :
Un bon indicateur : si votre développeur découvre le design dans le ticket Jira, ou si votre designer ne comprend pas pourquoi “ça a été développé comme ça”… il est temps de revoir vos circuits.
💡 Chez Yield, on pense que le trio Produit / Tech / Design doit être structuré dès le départ. On a formalisé ici les bons réflexes pour fluidifier cette collaboration.
Une app n’est jamais “terminée”. Ce qui fait la différence entre un produit qui stagne et un produit qui progresse, ce n’est pas (juste) le nombre de releases. C’est la capacité à apprendre. Vraiment.
👉 Dans les projets bien pilotés, chaque itération est une opportunité d’améliorer l’expérience utilisateur, de corriger un angle mort, ou d’optimiser les performances.
Mais pour ça, il faut poser un cadre clair, et surtout : rendre l’apprentissage actionnable.
Voici les bonnes pratiques à intégrer dès le départ :
💡Un produit qui apprend, c’est un produit qui vit. Pour vous aider à suivre l’usage réel et ajuster sans attendre, on a détaillé ici notre méthode.
Une bonne habitude : intégrer 1 KPI d’usage, 1 KPI de perf, et 1 KPI de satisfaction dans chaque sprint. Pas pour “faire joli”, mais pour piloter ce qui compte vraiment.
Mais l’apprentissage ne s’arrête pas à la fin du sprint 12. Un produit qui apprend… c’est aussi un produit qu’on continue d’écouter à M+6, M+12.
Pour ça, on pose des indicateurs de succès long terme dès la conception :
Un pic d’usage à la mise en prod, c’est bien. Mais la vraie réussite, c’est un usage régulier, durable, intégré.
Un bon logiciel n’est pas juste bien codé. Il est pensé pour résoudre un vrai problème, construit avec les bonnes personnes, et livré avec méthode. Voici les 8 réflexes à garder en tête pour faire les bons choix à chaque étape :
👉 Vous voulez cadrer votre projet logiciel avec méthode, sécuriser vos choix et construire un produit qui délivre vraiment ? Chez Yield, on vous aide à poser des fondations solides — et à les faire grandir sprint après sprint. Parlons de votre projet.
Je suis Cyrille, co-fondateur de Yield Studio. À travers cette série de contenus, je partage ce que nous vivons au quotidien dans le développement logiciel, web et mobile. L’objectif ? Offrir aux DSI, CTO, responsables digitaux – et à tous ceux qui s’intéressent à la construction de produits numériques – des retours d’expérience concrets, actionnables, ancrés dans la réalité de 2025.
On commence avec un sujet brûlant : la crise du développement logiciel. Pourquoi tant de projets échouent ? Que faut-il changer ? Et comment s’adapter concrètement dans les mois qui viennent ?
Le constat est sans appel. Selon le Standish Group, seuls 29 % des projets IT sont livrés avec succès. Plus de la moitié dépassent les budgets et les délais. Près d’un projet sur cinq échoue complètement. Les entreprises investissent dans leur transformation digitale, mais peinent à livrer des produits rentables.
Plusieurs symptômes traduisent cette crise :
Le modèle traditionnel ne fonctionne plus. Il doit évoluer rapidement.
De nombreux projets démarrent avec des objectifs flous : "tester une techno", "faire un MVP", sans indicateurs de succès définis. Cela revient à acheter un bien immobilier sans se poser la question de sa rentabilité. Résultat : les équipes naviguent à vue, empilent des fonctionnalités, et peinent à définir une version livrable.
Autre problème : l’explosion incontrôlée du périmètre. Beaucoup d’équipes veulent tout intégrer dès le départ. Ce phénomène, connu sous le nom de "scope creep", transforme un projet de quelques mois en impasse.
Enfin, la dette technique s’accumule rapidement. La pression des délais pousse à faire des compromis sur l’architecture, le code devient difficilement maintenable, et l’innovation ralentit. Ce cycle est auto-alimenté : mauvaise gestion → dette → ralentissement → échec.
Le marché est tendu, mais la crise ne vient pas que du manque de talents. Elle vient aussi des conditions dans lesquelles on leur demande de travailler.
Lors de nos recrutements, les mêmes raisons reviennent : surcharge de travail, délais irréalistes, empilement de fonctionnalités sans vision produit, code legacy impossible à reprendre. Ce contexte pousse les meilleurs profils à partir.
Et chaque départ fait perdre une connaissance précieuse du projet. Les remplaçants peinent à reprendre un code mal documenté. La productivité chute, les délais s’allongent, et les coûts explosent.
En 2025, un projet digital ne peut plus attendre deux ans pour prouver sa rentabilité. Pourtant, nombre d’organisations s’accrochent à des méthodologies rigides, des stacks lourdes, des cycles en cascade.
En parallèle, le low-code et le no-code offrent des alternatives viables pour prototyper rapidement. Ce ne sont pas des menaces pour les développeurs, mais des outils complémentaires. Bien intégrés, ils permettent de tester des idées sans alourdir les plannings de développement.
L’IA joue aussi un rôle croissant. Des outils comme GitHub Copilot assistent les développeurs, réduisent le temps passé sur les tâches répétitives, et facilitent la documentation. L’objectif n’est pas de remplacer les humains, mais de leur permettre de se concentrer sur les vrais défis.
Les Proof of Concept devront désormais s’appuyer sur des KPI concrets (utilisateurs actifs, taux d’adoption, impact business). Les cycles d’itération seront courts, ciblés, avec des objectifs mesurables. Finis les projets sans cap clair.
Les budgets IT seront alignés avec les résultats. Chaque ligne de développement devra justifier son retour sur investissement.
Les équipes métiers vont s’équiper d’outils pour créer elles-mêmes des applications simples. Les développeurs devront orchestrer ces outils, intégrer les briques no-code dans des systèmes complexes, et faire des choix technologiques plus productifs.
Chez Yield Studio, par exemple, nous utilisons Laravel avec TallStack (Livewire + FluxUI) pour accélérer la mise en production sans sacrifier la qualité.
GitHub Copilot, les tests automatisés, la génération de documentation : tout cela va s’industrialiser. Les mises en production devront être plus fréquentes, plus fiables. Les tests automatisés remplaceront les longues campagnes manuelles.
Mais cette rapidité soulève un nouveau défi : la sécurité.
Avec l’accélération du développement, les failles de sécurité se multiplient. En 2025, des textes comme DORA, NIS2 ou les normes ISO vont imposer des exigences strictes. Il faudra intégrer la sécurité dès la conception ("Security by Design"), avec des audits réguliers et des architectures Zero Trust.
Voici quatre leviers immédiats à activer.
Avant d’engager des ressources, identifiez les hypothèses clés à valider, les indicateurs de succès, et les signaux de non-viabilité. Évitez les projets "sympas" mais sans impact.
Un prototype, même imparfait, permet de valider une idée. Utilisez le no-code ou le low-code pour avoir un retour utilisateur rapide. Ce n’est qu’après validation que vous engagez un vrai budget de développement.
Priorisez à l’aide de méthodes comme MoSCoW. Mieux vaut livrer une version simple mais fonctionnelle que de viser la perfection… et ne rien livrer du tout.
Tech, produit, métiers : tout le monde doit avancer dans la même direction. Dès le lancement, mettez en place des routines d’alignement, des outils de collaboration, et un processus de décision clair.
Si vous avez les moyens, constituez une équipe interne avec des profils seniors capables de structurer les projets. Mais ces profils sont rares, chers, et difficiles à retenir.
Un regard extérieur peut débloquer une situation, apporter une méthodologie, et accélérer la mise en production.
C’est notre approche chez Yield Studio. Nous accompagnons les entreprises dans la structuration, la conception et le développement de logiciels. Notre méthode : lancer vite, livrer un produit qui marche, et itérer à partir du réel.
Le monde ne vous attendra pas. Le marché évolue, les outils progressent, et les attentes des utilisateurs aussi. Rester compétitif en 2025 implique d’évoluer. Pas dans six mois. Pas l’année prochaine. Maintenant.
La vraie question n’est plus "faut-il changer", mais "comment allez-vous le faire ?".
Une DSI met en production un nouveau portail de gestion des commandes internes.
3 mois de dev, une UX clean, tout est en place.
Mais 4 semaines après le go-live ? Les équipes terrain continuent d’envoyer leurs demandes… par email. Le service achats n’a plus de vue claire sur les volumes. Et le directeur logistique commence à demander : “Pourquoi on a investi là-dedans ?”
Le logiciel marche. Mais il ne sert pas. Et surtout : il ne prouve rien.
Dans un environnement où chaque ressource compte, un produit métier n’a pas droit à l’approximation. S’il ne livre pas de gains concrets — et mesurables —, il est vite abandonné, puis discrédité.
Ce qu’on vous propose ici, c’est un guide clair pour passer du “ça tourne” à “ça délivre”.
📌 Et si vous avez cadré proprement votre logiciel métier, cette étape devient naturelle : on mesure ce qu’on a construit pour changer.
Un logiciel métier n’a pas besoin de 15 dashboards. Il a besoin de 3 à 5 indicateurs qui disent l’essentiel : est-ce qu’on a réellement gagné en efficacité, en qualité, en sérénité métier ?
Mais attention : si vous n’avez pas défini le bon cap dès le départ, vous allez mesurer… dans le vide.
👉 On part ici du principe que vous avez déjà cadré vos objectifs avec méthode.
Premier point à observer : la vitesse d’exécution.
Votre logiciel est censé faire gagner du temps, fluidifier des process, réduire les frictions. Il faut donc comparer, très concrètement, l’avant et l’après :
💡 Exemple : La validation d’un congé passait par 3 mails et un tableau partagé. Désormais, c’est 1 clic sur mobile. Temps moyen divisé par 4.
Derrière la productivité, il y a des coûts.
Un bon logiciel ne crée pas seulement du confort — il permet de redéployer des ressources, d’éviter des erreurs coûteuses, de faire plus avec autant.
Les bons réflexes à poser :
💡 Exemple : En automatisant la génération des bons de commande, une équipe évite 15h/semaine de ressaisie manuelle → gain annuel estimé : 20 000 €.
Adoption : est-ce que vos utilisateurs s’en servent (vraiment) ?
Le piège classique : un logiciel bien conçu… mais peu utilisé.
Un bon indicateur d’impact business, c’est aussi le taux d’adoption réel, et pas juste les retours enthousiastes en réunion.
Quelques signaux utiles à suivre :
💡 Exemple : Après 3 semaines, seuls 30 % des commerciaux utilisent le nouveau CRM. En cause ? Une UX jugée trop complexe. Résultat : retour partiel au Google Sheet d’avant.
Avant d’estimer le ROI, vous devez poser ces repères.
Et surtout : suivez ces indicateurs avant (situation initiale), pendant (courbe d’adoption) et après (impact réel). Sans ça, impossible de piloter — ou de convaincre.
Le mot d’expert
“Trop d’équipes s’enferment dans des KPIs techniques (nombre de connexions, bugs, etc.). C’est utile… mais secondaire. Ce qu’on traque en priorité chez Yield, c’est l’effet business. Par exemple : une tâche qui passait de 20 à 8 minutes. C’est ça qu’on fait remonter au COMEX — pas juste des jolis graphes.”
Un logiciel métier n’est pas une “dépense IT”. C’est un levier de productivité. Un bon outil interne coûte, oui — mais surtout, il fait gagner : du temps, de la fiabilité, de la capacité opérationnelle.
La vraie question, ce n’est donc pas “combien ça a coûté” mais “combien ça a rapporté — concrètement”.
La formule est connue : ROI = (gains générés – coût total) / coût total
Mais ce qui fait la différence, c’est la précision avec laquelle on évalue ce qu’on met dedans.
On pense aux économies directes (temps gagné, erreurs évitées, effectifs optimisés). Mais il ne faut pas oublier les gains plus diffus — mais tout aussi stratégiques :
👉 Ces bénéfices n’apparaîtront pas dans un tableur à la ligne “€ gagnés”. Mais ils comptent dans l’équation business. Et ils font souvent la différence entre une app “rentabilisée”… et une app réellement adoptée, qui transforme le quotidien.
Pas juste le budget de développement affiché dans la facture. Il faut inclure :
💡 Exemple : un projet à 80k€ peut facilement mobiliser l’équivalent de 20k€ de charge interne côté client. Il faut en tenir compte.
Un logiciel ne crée pas de chiffre d’affaires direct — mais il permet de produire plus, mieux, plus vite.
Voici les gains à valoriser :
💡 Exemple : une automatisation qui évite 2 jours/homme par semaine = 700h/an. À 45€/h, cela représente 31 500 € d’économie potentielle par an.
Le piège classique : des hypothèses trop optimistes, ou trop théoriques.
Pour rendre votre calcul actionnable :
Et surtout : ne présentez pas un ROI comme un chiffre final, mais comme un indicateur d’alignement business. C’est ce qui permet d’arbitrer, de réinvestir, ou de corriger le tir.
Un logiciel métier n’est pas adopté parce qu’il est livré. Il l’est parce qu’il s’intègre aux pratiques. Parce qu’il fait gagner du temps — ou au moins n’en fait pas perdre. Et ça, ça ne se mesure pas à la louche.
Voici comment éviter que votre app termine en icône oubliée, et comment en faire un vrai levier opérationnel pour vos équipes.
Inutile de noyer vos dashboards de métriques. Ce qu’il vous faut, c’est une poignée d’indicateurs bien ciblés pour voir si le logiciel est réellement utilisé, et comment.
Chez Yield, on démarre avec ceux-là :
Ce suivi se fait dès les premières semaines post-livraison, pas “plus tard quand on aura du recul”.
Un non-usage n’est jamais neutre. Si les utilisateurs ne vont pas au bout, il faut creuser — avec méthode.
Plusieurs angles permettent d’identifier les vraies sources de friction :
Le but n’est pas de tout revoir, mais d’identifier ce qui empêche d’adopter — même une feature bien conçue peut rester ignorée si mal intégrée.
Une fois les premiers signaux captés, pas besoin d’attendre une version 2 pour réagir. De petites évolutions bien ciblées peuvent changer la donne.
Voici ce qui fait souvent la différence :
L’adoption se gagne aussi sur le terrain de la confiance. Si les users voient que leurs retours ont un effet, ils s’investissent plus.
🛠 Pour aller plus loin sur le pilotage post-livraison, on a décortiqué les bons réflexes dans cet article : Suivre l’adoption d’un logiciel métier et ajuster les features selon les usages.
Le service achats d’un groupe industriel multi-sites tourne à flux tendu. Chaque semaine, des dizaines de demandes internes tombent : fournitures, prestations, matériel terrain. Le problème ? Tout arrive par email. Zéro standardisation, zéro suivi, et des heures perdues à chercher “où en est la commande de Marseille”.
Quand ils nous sollicitent, le brief est simple : remplacer les mails par un outil.
Notre objectif, lui, va un cran plus loin : réduire la charge, fiabiliser le suivi, fluidifier les validations — sans alourdir les équipes terrain.
Dès la phase de cadrage, on identifie les vraies douleurs :
On conçoit donc un outil simple, clair, et totalement intégré aux pratiques existantes.
Tunnel de demande guidé, suivi en temps réel, notifications ciblées : chaque brique sert une promesse claire — plus besoin de relancer pour suivre une commande.
Mais surtout, on ne se contente pas de livrer.
Dès la V1, on pose les bons indicateurs pour suivre l’impact réel :
Et une règle : pas de nouvelle feature sans usage mesuré.
Au bout de 2 mois, les résultats sont nets :
Côté métier, on constate aussi :
“Avant, je passais mon temps à relancer les gens. Aujourd’hui, tout est clair, visible, et je ne me demande plus si ma commande est perdue dans un fil d’emails.”
— Responsable logistique, site Sud
Ce projet n’a pas changé la donne parce qu’on a “développé une app”. Il a changé la donne parce qu’on a piloté l’impact produit dès le départ.
👉 Un outil utile, adopté, rentable — et qui tient dans la durée, parce qu’il répond à un vrai usage métier.
Un logiciel métier n’est jamais “bon” en soi. Il est bon s’il produit un impact réel. Moins d’erreurs. Moins de ressaisies. Plus de temps utile. Et surtout : une adoption naturelle par celles et ceux qui l’utilisent au quotidien.
Mais ça, vous ne pouvez pas le deviner. Vous devez le mesurer. Suivre ce qui bouge (ou pas). Comprendre ce qui freine. Et ajuster ce qui coince.
👉 Le ROI n’est pas un exercice comptable à faire en fin de projet. C’est un outil de pilotage continu.
Quelques principes à garder en tête :
Un bon logiciel métier, c’est celui qui fait gagner. Gagner du temps, de la clarté, de la fiabilité. Pas juste celui qui “marche”.
Besoin d’un œil externe pour poser des indicateurs utiles et détecter les vrais freins à l’adoption ? Chez Yield, on vous aide à piloter ce que vous livrez — pour livrer ce qui compte.