Laravel vs Symfony : quel Framework choisir ? Le guide

La comparaison détaillée entre Laravel et Symfony. Performances, sécurité, courbe d'apprentissage : quel Framework PHP choisir pour votre projet web ?

Bienvenue dans l'univers du développement web, où chaque choix compte. Laravel et Symfony, deux géants du langage serveur PHP, se disputent la première place. Dans cet article, nous plongeons dans les détails, examinant performances, sécurité, et courbes d'apprentissage.

Prêts à choisir le Framework idéal pour votre projet ? 

Laravel et Symfony : Les titans du développement PHP

Dans l'arène du développement serveur PHP, deux titans émergent : Laravel et Symfony.

Laravel, créé par Taylor Otwell, séduit par son architecture élégante basée sur le modèle MVC (pour Modèle-Vue-Contrôleur), ses outils puissants, et une courbe d'apprentissage conviviale.

De l'autre côté, Symfony, de SensioLabs, brille par sa modularité et des composants réutilisables. Avant de choisir votre champion, explorons en détail ce que chaque Framework peut vous offrir.

Laravel

Laravel est un Framework PHP qui a su captiver la communauté des développeurs. Imaginé par le développeur américain, Taylor Otwell, Laravel séduit par son architecture claire et élégante, basée sur le modèle architectural MVC. Cette structure facilite la conception d’applications et le développement en offrant une séparation nette entre les composants d’un projet.

Laravel ne fait pas que promettre, il délivre des performances remarquables. Les temps de réponse sont optimisés pour offrir une expérience utilisateur plus fluide. La gestion intelligente des bases de données et les outils intégrés font de Laravel un choix judicieux pour des applications performantes.

Dans le monde numérique d'aujourd'hui, la sécurité est primordiale. Pour cela, Laravel intègre des systèmes robustes garantissant la protection à long terme de vos applications web modernes. Des mécanismes de sécurité avancés sont mis en place pour contrer les menaces potentielles.

La courbe d'apprentissage est souvent un obstacle, mais pas avec Laravel. Son approche conviviale permet aux développeurs de rapidement maîtriser le Framework. La documentation détaillée et la communauté active font de l'apprentissage une expérience fluide.

Exemple de code concret : Gestion des utilisateurs avec Laravel

Une image contenant texte, capture d’écran, logiciel, multimédiaDescription générée automatiquement

  • Laraval utilise l’ORM (pour Object Relational Model) Eloquent pour simplifier les opérations d’interactions avec la base de données.
  • La fonction bcrypt () sécurise le mot de passe avant son enregistrement.
  • La réponse est renvoyée au format JSON.

Laravel est votre allié dans la création d'applications web dynamiques et performantes.

Symfony

L’univers du Framework PHP Symfony est tout aussi passionnant. Renommé, riche et modulaire, Symfony est développé et maintenu par la société française SensioLabs. Symfony se démarque par son approche modulaire et ses composants réutilisables, offrant une flexibilité remarquable dans la conception d’application web.

Symfony ne se contente pas d'une architecture flexible, il excelle également en matière de performances. Les temps de réponse compétitifs et la gestion efficace des ressources font de Symfony un choix judicieux pour réaliser des applications PHP performantes.

La sécurité étant une priorité dans le paysage numérique actuel, Symfony intègre des mécanismes de sécurité assurant la protection de vos applications contre les menaces. La courbe d'apprentissage de Symfony est également conçue pour faciliter l'adoption du Framework. Les développeurs bénéficient d'une documentation exhaustive et d'une communauté active, simplifiant ainsi l'exploration des fonctionnalités avancées de Symfony.

Exemple de code concret : gestion des utilisateurs avec Symfony

Une image contenant texte, capture d’écranDescription générée automatiquement

  • Symfony utilise l’ORM Doctrine ainsi que les méthodes setName(), setEmail(), et setPassword() pour définir les propriétés de l'objet utilisateur.
  • Le mot de passe est sécurisé à l’aide de password_hash().
  • La méthode flush() persiste les changements en base de données.
  • La réponse est renvoyée au format JSON.

En somme, Symfony est un partenaire fiable pour le développement web.

Comparaison directe

Plongeons dans la comparaison directe entre Laravel et Symfony, examinant de près les éléments clés qui pourraient influencer votre décision dans le choix du Framework PHP idéal.

Performance : la quête de la réactivité

La performance est cruciale pour une expérience utilisateur optimale. Nous comparons les temps de réponse de Laravel et Symfony pour vous aider à choisir le Framework qui offre la réactivité nécessaire à votre projet.

  • Temps de Réponse : Laravel excelle avec des temps de réponse moyens de 250 millisecondes, offrant une expérience utilisateur rapide. Symfony, bien que compétitif, tend à se situer légèrement au-dessus, aux alentours de 300 millisecondes.
  • Exemple : Un site e-commerce nécessitant une navigation rapide pourrait bénéficier des performances de Laravel, assurant une réponse quasi-instantanée lors de la recherche de produits.

Architecture : MVC sous le microscope

L'architecture MVC (Modèle-Vue-Contrôleur) est le pilier du développement web moderne. Analysons comment Laravel et Symfony abordent cette structure fondamentale et en quoi cela peut impacter la gestion de votre code.

  • Laravel : Son modèle MVC clair offre une structure fluide. Les développeurs peuvent facilement segmenter les responsabilités, améliorant la maintenabilité du code.
  • Symfony : Une approche modulaire permettant une personnalisation avancée. Les composants réutilisables simplifient le développement, mais cela peut entraîner une complexité accrue pour les petits projets.
  • Exemple : Un projet nécessitant une structure claire et simple pourrait préférer Laravel, tandis qu'un système complexe pourrait tirer parti de la modularité de Symfony.

Command Line Interface (CLI) : L'art de la ligne de commande

La ligne de commande est l'alliée du développeur moderne. Comparons comment Laravel et Symfony s'engagent dans le royaume de l'interface en ligne de commande (CLI), facilitant ainsi le flux de travail du développeur.

  • Laravel : La CLI de Laravel simplifie les tâches courantes telles que la génération de code, facilitant le flux de travail du développeur.
  • Symfony : Une CLI robuste, mais avec une courbe d'apprentissage plus prononcée. Elle offre une personnalisation avancée, mais peut sembler complexe pour les débutants.
  • Exemple : Pour un développeur qui privilégie la simplicité et la rapidité, la CLI de Laravel serait un choix naturel.

Migration de base de données : Gestion intelligente des données

La migration efficace de la base de données est un défi incontournable. Jetons un regard attentif sur la manière dont Laravel et Symfony simplifient ce processus critique pour garantir une gestion fluide des données.

  • Laravel : Les migrations simplifient les changements de schéma de base de données. Les développeurs peuvent versionner et partager ces modifications facilement.
  • Symfony : Des migrations intégrées offrant également une gestion efficace des changements de base de données. Les bundles Symfony facilitent la modularité.
  • Exemple : Un projet nécessitant des mises à jour fréquentes de la base de données pourrait bénéficier de la simplicité des migrations de Laravel.

N’hésitez pas à plonger davantage dans ces détails pour faire un choix éclairé entre Laravel et Symfony, en alignant les forces de chaque Framework avec les exigences spécifiques de votre projet.

Frameworks PHP : Un choix déterminant pour le développement web

Explorez l'impact déterminant que le choix entre Laravel et Symfony peut avoir sur votre projet de développement web.

Choisir le bon Framework : un dilemme crucial

La sélection du bon Framework PHP est un dilemme majeur, influençant directement la réussite de votre projet. Laravel et Symfony offrent des avantages uniques, mais lequel répond le mieux à vos besoins spécifiques ?

  • Laravel : Excellant dans la simplicité et la rapidité de développement, Laravel est souvent le choix préféré pour les projets de taille moyenne nécessitant une mise en œuvre rapide.
  • Symfony : Connu pour sa modularité et ses composants réutilisables, Symfony brille dans des projets plus complexes où la personnalisation et la réutilisation de code sont essentielles.
  • Exemple : Un site vitrine pour une petite entreprise pourrait privilégier la simplicité de Laravel, tandis qu'un système de gestion complexe opterait probablement pour la modularité de Symfony.

Forces et faiblesses : un examen critique

Chacun des Frameworks a ses points forts et ses faiblesses. Examinons en détail les avantages et les limitations de Laravel et Symfony pour vous guider dans cette décision cruciale.

  • Laravel : Points forts dans la simplicité, la documentation claire et la courbe d'apprentissage conviviale. Cependant, sa modularité peut être moins flexible pour des projets très spécifiques.
  • Symfony : Excellant dans la modularité, Symfony offre une flexibilité maximale, mais sa courbe d'apprentissage peut être plus abrupte pour les débutants.
  • Exemple : Un projet nécessitant des fonctionnalités spécifiques pourrait bénéficier de la flexibilité de Symfony, tandis qu'un projet plus simple pourrait opter pour la simplicité de Laravel.

Taille du projet : l'importance du contexte

La taille de votre projet est un facteur déterminant. Nous évaluons comment Laravel et Symfony s'adaptent aux projets de différentes envergures, vous permettant ainsi de choisir en fonction de vos besoins spécifiques.

  • Laravel : Idéal pour des projets de taille moyenne, où la rapidité de développement est cruciale.
  • Symfony : Convient particulièrement aux projets de grande envergure, offrant la modularité nécessaire pour gérer la complexité.
  • Exemple : Un blog personnel pourrait tirer parti de la simplicité de Laravel, tandis qu'un système de gestion d'entreprise complexe pourrait profiter de la robustesse de Symfony.

Performance attendue : Une réflexion essentielle

Quelles performances attendez-vous de votre application web ? Laravel et Symfony offrent des approches différentes. Décortiquons ces approches pour vous aider à prendre une décision éclairée.

  • Laravel : Performances élevées pour des projets de taille moyenne, avec des temps de réponse compétitifs.
  • Symfony : Excellentes performances également, mais peut être plus adapté à des projets plus vastes.
  • Exemple : Un site de portfolio artistique pourrait privilégier les performances de Laravel, tandis qu'un site e-commerce à fort trafic pourrait opter pour Symfony.

Préférences des développeurs : Un facteur humain

L'adhésion des développeurs à un Framework peut être un critère déterminant. Découvrez comment Laravel et Symfony sont perçus dans la communauté des développeurs, un aspect clé pour le succès à long terme de votre projet.

  • Laravel : Apprécié pour sa simplicité et son approche élégante, attirant souvent les développeurs cherchant une courbe d'apprentissage plus douce.
  • Symfony : Adopté par des développeurs expérimentés cherchant une modularité étendue et une personnalisation avancée.
  • Exemple : Une équipe de jeunes développeurs débutants pourrait se sentir à l'aise avec la simplicité de Laravel, tandis qu'une équipe expérimentée pourrait être attirée par la puissance de Symfony.

Après avoir exploré les nuances de Laravel et Symfony, il est temps de conclure. Chaque projet a des besoins uniques, et votre décision devrait être ancrée dans une évaluation minutieuse des forces et des faiblesses de chaque Framework.

En conclusion, gardez un œil sur l'horizon du développement web. Les Frameworks évoluent, les tendances changent. Votre choix devrait également être orienté vers l'avenir, en tenant compte des mises à jour futures, de la communauté active et des innovations à venir.

Votre choix entre Laravel et Symfony déterminera la trajectoire de votre projet. Explorez les possibilités infinies offertes par ces Frameworks PHP et prenez votre décision en connaissance de cause. Votre aventure de développement web commence ici. Bonne exploration !

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Le décodeur

L’Architecture Hexagonale sur un projet Web + Mobile (Partie 2 sur 5)
28/2/2024

Dans l'article précédent nous avons initialisé notre monorepo, la CI, le framework de test et préparé la structure de notre projet et plus précisément de notre Architecture Hexagonale pour la lib core.

Dans ce nouvel article de la série notre objectif va être de mettre en place l'Architecture Hexagonale et de montrer comment grâce à elle nous allons pouvoir développer et créer de la logique métier sans UI (donc sans ouvrir le navigateur ou l'app mobile). Pour cela nous allons travailler en TDD (Test-Driven Development, vous pouvez voir mon article à ce sujet) et utiliser le feedback des tests.

L'Architecture Hexagonale

La structure cible

Pour rappel, voici la structure que l'on va mettre en place à l'issue de cet article :

- src
    - wallet
       - __ tests __
         - wallet.service.test.ts
       - domain
         - wallet.ts
         - wallet.repository.ts
         - wallet.service.ts
       - infrastructure
         - in-memory-wallet.repository.ts
         - local-storage-wallet.repository.ts
         - mmkv-wallet.repository.ts
       - user-interface
         - wallet.store.ts

Chose promise, chose due ! Nous allons maintenant rentrer dans le détail de chaque fichier, à quoi ils servent et ce qu'ils contient.

Développer en TDD

Lorsqu'on travaille en TDD on commence par le test et ce test va nous guider vers un objectif. Il va nous assurer qu'on suit le bon chemin à l'aide de la boucle de feedback régulière qu'on obtient à l'aide des tests. Pour en savoir plus sur la méthodologie à suivre pour faire du TDD je vous invite à nouveau à lire mon article à ce sujet.

Nous allons commencer par travailler sur l'entité Wallet qui correspond à un portefeuille qui a un solde négatif ou positif (par exemple on peut avoir le portefeuille "Compte Principal Julien" qui a un solde positif de 1000€).

Voici les tests mis en place pour cette entité :

describe('Wallet Service', () => {
	let service: WalletService

	beforeEach(() => {
		const repository = new InMemoryWalletRepository()
		service = new WalletService(repository)
	})

	test('getAll > should retrieve all wallets', async () => {
		const newWallet = { id: '1', name: 'Wallet 1', balance: 0 }

		await service.create(newWallet)
		const retrievedWallets = await service.getAll()

		expect(retrievedWallets).toEqual([newWallet])
	})

	test('get > should retrieve a wallet according to an id', async () => {
		const newWallet = { id: '1', name: 'Wallet 1', balance: 0 }

		await service.create(newWallet)
		const retrievedWallet = await service.get(newWallet.id)

		expect(retrievedWallet).toEqual(newWallet)
	})

	test('create > shoudl create a wallet', async () => {
		const newWallet = { id: '1', name: 'Wallet 1', balance: 0 }

		const createdWallet = await service.create(newWallet)
		const retrievedWallets = await service.getAll()
		const retrievedWallet = await service.get(createdWallet.id)

		expect(createdWallet).toEqual(newWallet)
		expect(retrievedWallets).toEqual([newWallet])
		expect(retrievedWallet).toEqual(newWallet)
	})

	test('update > should update the specified wallet', async () => {
		const newWallet = { id: '1', name: 'Wallet 1', balance: 0 }
		const updatedWallet = { id: '1', name: 'Wallet 1', balance: 100 }

		await service.create(newWallet)
		const retrievedWallet = await service.get(newWallet.id)
		const modifiedWallet = await service.update(updatedWallet)
		const retrievedModifiedWallet = await service.get(modifiedWallet.id)

		expect(retrievedWallet).toEqual(newWallet)
		expect(modifiedWallet).toEqual(updatedWallet)
		expect(retrievedModifiedWallet).toEqual(updatedWallet)
	})

	test('delete > should delete a wallet according to an id', async () => {
		const newWallet = { id: '1', name: 'Wallet 1', balance: 0 }

		await service.create(newWallet)
		const retrievedWallet = await service.get(newWallet.id)
		await service.delete(newWallet.id)
		const retrievedWallets = await service.getAll()

		expect(retrievedWallet).toEqual(newWallet)
		expect(retrievedWallets).toEqual([])
	})
})

On peut comprendre via ces tests que les cas d'utilisations de notre entité sont :

  • getAll, récupération de tous les portefeuilles
  • get, récupération d'un portefeuille en particulier
  • create, création d'un portefeuille
  • update, mise à jour d'un portefeuille
  • delete, suppression d'un portefeuille

Nous allons voir maintenant comme réussir à mettre en place ces tests.

Domain

Nous allons commencé par créer le contenu de la partie Domain. Dans cette partie nous allons retrouver tout ce qui représente le problème à résoudre (problème métier). C'est une partie qui doit être totalement indépendante.

L'entité

Commençons par créer notre entité Wallet correspondant à un portefeuille.

type Wallet = {
	// un identifiant unique (ex: 4d0c2e72-be1a-4e2c-a189-2f321fcdc3a4)
	id: string

	// un nom (ex: Compte Principal Julien)
	name: string

	// un nombre positif ou négatif pour le solde (ex: +1000€)
	balance: number
}


Le repository

Maintenant que notre entité est définie, nous allons définir une interface que l'on appelle également port qui va préciser comment interagir avec cette entité. Nous utilisons ici un modèle de conception d'inversion de dépendances qui nous permet de rester totalement libre sur les outils à utiliser pour respecter cette interface. Nous pourrons très bien implémenté cette interface en utilisant une base de données, une API ou un localStorage par exemple, le domaine s'en fiche.

interface WalletRepository {
	getAll(): Promise<Wallet[]>
	get(walletId: string): Promise<Wallet | undefined>
	create(wallet: Wallet): Promise<Wallet>
	update(wallet: Wallet): Promise<Wallet>
	delete(walletId: string): Promise<void>
}

Le service

Nous avons notre entité et nous savons commencer interagir avec, maintenant nous allons créer un service qui va consumer une implémentation du de notre interface repository (partie suivante dans l'infrastructure).

class WalletService implements WalletRepository {
	constructor(private repository: WalletRepository) {}

	getAll() {
		return this.repository.getAll()
	}

	get(walletId: string) {
		return this.repository.get(walletId)
	}

	create(wallet: Wallet) {
		return this.repository.create(wallet)
	}

	update(wallet: Wallet) {
		return this.repository.update(wallet)
	}

	delete(walletId: string) {
		return this.repository.delete(walletId)
	}
}

Infrastructure

L'infrastructure est composée des différentes implémentations des ports du domaine, on les appelle également Adapters. Ici, nous aurons du code spécifique pour consommer une technologie concrète (une base de données, une API, etc.). C'est une partie qui ne doit dépendre uniquement du domaine.

L'implémentation du repository

Nous allons maintenant voir l'une des implémentation possible de notre WalletRepository. Pour commencer nous allons faire du in-memory, pratique notamment pour la mise en place des premiers tests de nos cas d'utilisations.

class InMemoryWalletRepository implements WalletRepository {
	private wallets: Wallet[] = []

	getAll() {
		return Promise.resolve(this.wallets)
	}

	get(walletId: string) {
		return Promise.resolve(this.wallets.find((wallet) => wallet.id === walletId))
	}

	create(wallet: Wallet) {
		this.wallets.push(wallet)
		return Promise.resolve(wallet)
	}

	update(wallet: Wallet) {
		const index = this.wallets.findIndex((w) => w.id === wallet.id)
		this.wallets[index] = wallet
		return Promise.resolve(wallet)
	}

	delete(walletId: string) {
		const index = this.wallets.findIndex((w) => w.id === walletId)
		this.wallets.splice(index, 1)
		return Promise.resolve()
	}
}

Comment dis précédemment, il s'agit d'une des multiples implémentation possible de notre WalletRepository. Nous pouvons très bien imaginer plus tard mettre en place un LocalStorageWalletRepository ou bien un SupabaseWalletRepostory.

Vous pouvez consulter mon répertoire public de broney sur GitHub pour voir mon implémentation de ces 2 repository et notamment de comment j'ai adapté ma série de test pour garantir leur bon fonctionnement.

User Interface

La partie user interface est composée de tous les adaptateurs qui constituent les points d'entrée de l'application. Les utilisateurs utilisent ces adaptateurs pour pouvoir interagir avec le coeur de l'application. Dans notre cas nous allons régulièrement utiliser des stores en utilisant la libraire Zustand. Il s'agit d'une libraire JS minimaliste pour la gestion d'états (une solution plus complexe serait par exemple Redux).

Voyons voir comment articuler notre store Zustand pour permettre à l'utilisateur d'interagir avec le coeur de l'application.

import { createStore } from 'zustand/vanilla'
import { InMemoryWalletRepository } from '../infrastructure/in-memory-wallet.repository'
import { WalletService } from '../domain/wallet.service'
import { Wallet } from '../domain/wallet'

const repository = new InMemoryWalletRepository()
const service = new WalletService(repository)

type States = {
	wallets: Wallet[]
	currentWallet: Wallet | undefined
}

type Actions = {
	load: () => void
	setCurrentWallet: (wallet: Wallet) => void
	getWallet: (walletId: string) => void
	createWallet: (wallet: Wallet) => void
	updateWallet: (wallet: Wallet) => void
	deleteWallet: (walletId: string) => void
}

export const walletStore = createStore<States & Actions>()((set) => ({
	wallets: [],
	currentWallet: undefined,

	load: async () => {
		const allWallets = await service.getAll()
		set({ wallets: allWallets })
	},

	setCurrentWallet: (wallet) => set({ currentWallet: wallet }),

	getWallet: async (walletId: string) => {
		const wallet = await service.get(walletId)
		set({ currentWallet: wallet })
	},

	createWallet: async (wallet: Wallet) => {
		const newWallet = await service.create(wallet)
		set((state) => ({ wallets: [...state.wallets, newWallet] }))
	},

	updateWallet: async (wallet: Wallet) => {
		const updatedWallet = await service.update(wallet)
		set((state) => ({
			wallets: state.wallets.map((w) => (w.id === updatedWallet.id ? updatedWallet : w)),
			currentWallet: state.currentWallet?.id === updatedWallet.id ? updatedWallet : state.currentWallet,
		}))
	},

	deleteWallet: async (walletId: string) => {
		await service.delete(walletId)
		set((state) => ({
			wallets: state.wallets.filter((w) => w.id !== walletId),
			currentWallet: state.currentWallet?.id === walletId ? undefined : state.currentWallet,
		}))
	},
}))


Avec ce store on remarque qu'on va pouvoir facilement, dans n'importe quel environnement JavaScript, charger, définir, récupérer, créer, mettre à jour et supprimer des portefeuilles, tout en maintenant un état global pour l'ensemble des portefeuilles et du portefeuille courant.

Conclusion

Nous avons maintenant terminé ce deuxième article de cette série sur le développement d'une application web et mobile avec l'Architecture Hexagonale et le partage de la logique métier et des composants UI.

Dans cette deuxième partie nous avons vu comment travailler en TDD et surtout comment écrire de la logique métier sans avoir à ouvrir une quelque interface à l'exception du terminal pour les retours de tests.

Nous avons également eu un aperçu de comment nous allons interagir avec nos applications avec le coeur de l'application, via notre store Zustand. Nous irons plus loin à ce sujet dans le prochain article, la troisième partie : Partager de la logique métier et des composants entre le Web et le Mobile.

Systèmes d'exploitation pour smartphone iOS et Android
14/9/2023

À l’heure du tout numérique et de l’utilisation massive des smartphones, on compte pas moins de 485 000 nouveaux téléchargements d’applications mobile par minute. Le développement de ces applications représente ainsi un excellent moyen pour les entreprises pour promouvoir leurs produits ou proposer des fonctionnalités innovantes. 

Dans ce domaine hautement concurrentiel, deux acteurs majeurs ont su tirer leur épingle du jeu entre le milieu des années 2000 et aujourd’hui. Ils dominent désormais le marché mondial du smartphone.

Ces deux géants très populaires font partie des GAFAM. En effet, il s’agit de la société Apple et son système d’exploitation (ou OS pour Operating System) pour smartphone « iOS » et Google avec son OS mobile Android.

Avec des utilisateurs divisés entre ces deux systèmes d’exploitation, il est crucial, pour les développeurs, de déterminer sous quel OS faire tourner leur future solution mobile.

Dans cet article, nous explorerons les langages natifs permettant de développer une application dédiée au système d’exploitation smartphone de son choix. Ensuite, nous nous concentrerons sur le développement multi-plateforme (ou cross-platform), avec l’utilisation de frameworks comme React Native.

iOS et Android : les titans du système d'exploitation smartphone

En 2007, Apple et son système d'exploitation pour iPhone (ou iOS) redéfinissent le monde des smartphones.

Conçu exclusivement pour les mobiles de la marque à la pomme, cet OS est optimisé pour offrir une expérience utilisateur fluide et graphiquement homogène.

Par ailleurs, l'App Store, qui héberge les applications pour iOS, est un environnement strictement contrôlé, garantissant aux utilisateurs une certaine sécurité et qualité.

Notez que la publication d’applications iOS sur ce magasin en ligne nécessite un compte « Apple Developer » à $99 par an. L’environnement de développement (ou IDE) Xcode, logiciel exclusif aux ordinateurs portables et fixes de Apple est également un prérequis à la publication d’application iOS.

De son côté, le système d'exploitation Android, développé par Google, est aujourd’hui le cœur de nombreux smartphones et tablettes.

En étant open source et basé sur le noyau Linux, Android offre une grande flexibilité aux fabricants et aux développeurs.

En outre, le Google Play Store, magasin phare de l’OS, abrite une myriade d'applications mobiles, des plus utiles aux plus innovantes. 

Pour être reconnu par Google en qualité de développeur Android à vie, il suffit de payer $25 et ainsi pouvoir publier des jeux et applications depuis la Google Play Console.

Les langages de natifs iOS et Android

Vous l’aurez compris, pour toucher un maximum d’utilisateurs, les développeurs doivent créer des applications mobiles fonctionnant à la fois sur iOS et Android.

Pour autant, chaque système d’exploitation requiert l’utilisation du langage de programmation natif associé. Chaque langage demandant une expertise et un temps de développement dédié, les coûts et les ressources sont bien souvent doublés.

Côté iOS, c’est Swift le langage natif officiel développé en 2014 par Apple pour la création d’applications mobiles. Il est puissant, intuitif et conçu pour être efficace tout en étant facile à lire et à écrire. Swift s’inspire d’ailleurs beaucoup du langage Objective C, créé en 1980, qui était auparavant utilisé par les développeurs iOS.

Swift demande néanmoins aux développeurs d’applications iOS d’utiliser l’environnement de développement Xcode, exclusif aux ordinateurs fixes et portables commercialisés par la marque à la pomme. Même si l’installation de machines virtuelle Mac OS est envisageable sous Windows ou Linux, cette seule contrainte a déjà refroidie de nombreuses entreprises et développeurs. Pour créer une application iOS, c’est vers des agences de développement spécialisées dans cette technologie que beaucoup se tournent.

Pour Android, c’est le langage Kotlin qui a rapidement gagné en popularité comme la solution de prédilection pour le développement d’application Android. Kotlin est développé et maintenu par Google depuis 2011. Anciennement, c’était le langage Java, créé en 1995, qui était utilisé par les développeurs Android.

Enfin, c’est l’environnement de développement Android Studio qui est majoritairement utilisé par les développeurs Android pour compiler leurs applications mobiles.

L'avènement du développement cross-platform

Les langages natifs nécessitent alors une de doubles expertises pour les développeurs. Il est également souhaitable d’éviter d’avoir à écrire du code source deux fois afin de réduire les coûts et temps de développement. C’est dans ce contexte complexe que des solutions cross-platform ont commencé à émerger dès la fin des années 2000.

En effet, le framework JavaScript React Native, développé par Meta (anciennement Facebook) en 2015, permet de construire une application fonctionnant sur iOS et Android.

C'est une aubaine pour les développeurs puisque React Native et les solutions similaires induisent ainsi plusieurs avantages notables :

  • Des temps de développement réduit,
  • Des ressources nécessaires moindres,
  • Une mise à jour synchronisée pour les deux systèmes d’exploitation.

React Native fait aujourd’hui partie des technologies cross-platform les plus populaires au monde mais il en existe d’autres tout aussi pertinentes. Il faudra surtout connaître ses besoins et ses prérequis techniques avant de faire un choix. En voici une sélection :

  • Apache Cordova développé en 2011 et écrit en JavaScript,
  • Xamarin développé en 2013 et écrit en C#,
  • Ionic développé en 2013 et écrit en JavaScript 
  • Flutter développé en 2017 et écrit en Dart.

Pour vous démontrer l’intérêt majeur d’une telle technologie, découvrons ensemble quelques exemples basiques de code source.

Le langage Swift pour iOS

Dans cet exemple de code Swift, nous créons une simple interface utilisateur avec un message de bienvenue.

Néanmoins, si nous souhaitons que notre application mobile, aussi basique soit-elle, puisse tourner également sur un téléphone Android, il nous faut développer la même chose à l’aide du langage natif Kotlin.

Le langage Kotlin pour Android 

Dans cet exemple de code Kotlin, nous affichons encore un message de bienvenue. Autrement dit, nous réalisons un traitement purement similaire à celui développé plus haut. 

Heureusement pour nous, une solution cross-platform, comme React Native, demande un code source unique, pour obtenir un rendu similaire sur les deux systèmes OS.

Remarque : Notez que, comme son nom l’indique, React Native est un framework dérivé de la librairie web frontend React. Ces deux technologies utilisent l’extension syntaxique au langage JavaScript « JSX », également développée par Meta.

Le framework React Native pour le développement cross-platform

Dans cet exemple de code React Native, nous utilisons des composants de base pour créer une interface qui fonctionne à la fois sur les systèmes iOS et Android. C'est la magie du cross-platform : un seul code qui existe, s'adapte et évolue sur plusieurs systèmes d'exploitation simultanément !

Ces exemples de code démontrent la différence entre le développement natif et le développement cross-platform.

Les codes natifs Swift et Kotlin nécessitent une connaissance spécifique de chaque plateforme. De son côté, React Native, grâce à sa nature cross-platform, simplifie le processus. Les développeurs peuvent alors utiliser une base de code pour les deux plateformes sans être expert avec d’autres langages que le JavaScript utilisé par React Native.

Avantages et limites du cross-platform

Malgré une promesse alléchante qui semble rendre obsolète les langages natifs, les solutions cross-platform présentent quelques inconvénients non négligeables.

  • Des performances moindres : Les applications natives ont généralement de meilleures performances car elles sont spécifiquement optimisées pour leur OS respectif.
  • Des fonctionnalités spécifiques non disponibles : Certaines fonctionnalités natives peuvent parfois ne pas être facilement accessibles. Elles peuvent même nécessiter des solutions de contournement lorsque l’on développe à l’aide d’une solution cross-platform comme React Native.

Pour illustrer ce dernier aspect, découvrons une implémentation basique consistant à donner à l’application mobile l’accès à une fonctionnalité matérielle spécifique. En l’occurrence, nous avons choisi de nous concentrer sur le moteur de vibration du smartphone. 

Le code source Swift

Une image contenant texte, capture d’écranDescription générée automatiquement

Cet exemple de code permet de faire vibrer un iPhone grâce à l'API native d'iOS qui permet d’accéder facilement et avec précision au moteur de vibration. 

Le code source Kotlin

Une image contenant texte, capture d’écranDescription générée automatiquement

Là encore, avec l'API native d'Android, on utilise le service de vibration avec des motifs de vibration plus ou moins complexes.

Le code source React Native

Une image contenant texte, capture d’écran, Police, carte de visiteDescription générée automatiquement

Comme vous pouvez le constater, avec React Native, le moteur de vibration reste accessible pour les deux systèmes d’exploitation mais il est moins flexible en termes de fonctionnalités avancées, comme la définition de motifs complexes.

Bien que React Native offre la possibilité d’accéder aux fonctionnalités matérielles du smartphone comme pour le faire vibrer, ces exemples de code démontrent que les options et la précision sont plus limitées en comparaison avec les APIs natives de Swift et Kotlin.

Dans le cadre de cas concrets spécifiques plus avancés, l’interaction avec des fonctionnalités matérielles plus évoluées pourrait nécessiter un développement natif.

C'est pour ces problématiques spécifiques ou avancées que le développement natif offre davantage de flexibilité et de performance. Notez néanmoins que pour la majorité des besoins courants des applications, React Native offre un réel équilibre entre portabilité, temps de développement et performance.

Pour conclure, les systèmes d’exploitation pour smartphone jouent un rôle crucial dans l’ère numérique actuelle. Dans les faits, le choix entre le développement natif et cross-platform doit surtout dépendre du projet à mener et des objectifs qui lui sont associés.

Pour autant, gardez à l’esprit qu’avec des technologies comme React Native, les frontières entre iOS et Android s'amenuisent. Ces puissantes solutions offrent aux développeurs et aux utilisateurs une expérience plus simple et accessible. Par ailleurs, les prérequis techniques et fonctionnels étant également amoindris, une plus vaste communauté peut s’adonner à la création d’application mobile.

Enfin, si cet article vous a motivé à construire votre propre solution pour smartphone iOS et Android, découvrez aussi nos conseils pour créer une application de A à Z ainsi que nos 10 astuces pour créer la meilleure application mobile !

Développement d’une application Android avec React Native
3/11/2023

Il y a quelques années maintenant, le développement d'applications mobiles a connu une révolution. Chez Yield Studio, nous l'avons adoptée avec passion. Vous avez forcément déjà entendu parler des systèmes d’exploitation mobile Android et d'iOS ? Pour nous, concevoir une application pour l'un ou l'autre, revient à la même charge de travail.

En effet, grâce à la technologie React Native, nous sommes capables de développer simultanément pour ces deux géants du mobile. Plongez dans notre guide ultime du développement d’application Android.

Que vous soyez novice ou expert, découvrez comment transformer une simple idée en une application concrète. C'est parti !

📗 Comprendre les bases du développement Android

Android, ce n'est pas seulement un petit robot vert que vous voyez sur votre smartphone. En réalité, il s’agit d’un puissant système d'exploitation, utilisé par des milliards d’appareils mobiles à travers le monde. Avant de plonger dans la création d'une application, quelques notions clés s'imposent.

Premièrement, parlons "langage". Pour développer sur Android, on utilise principalement Kotlin, bien que d'autres langages de programmation comme le Java puissent également être adoptés. Kotlin est donc la pierre angulaire de bon nombre d'applications que vous utilisez quotidiennement si vous disposez d’un smartphone ou d’une tablette fonctionnant sous Android.

Voyons un exemple de code source Kotlin des plus basiques :

Dans cet exemple de code source Kotlin, nous utilisons un élément TextView pour afficher le texte « Bienvenue sur notre application Android ! ».

Ensuite, il y a l’environnement de développement, Android Studio. C'est le logiciel officiel, mis à disposition par Google, pour concevoir des applications mobiles Android. Doté d'une panoplie d'outils, il facilite la vie des développeurs, des plus novices aux plus chevronnés.

Voici une capture d’écran de l’environnement de développement Android Studio avec du code source Kotlin rédigé sur la droite de l’écran :

Mais chez Yield Studio, nous avons une large préférence pour React Native. Open source et ultra performant, il nous permet de concevoir des applications à la fois pour Android et iOS avec une seule et même base de code source JavaScript. Une véritable révolution qui simplifie le processus tout en garantissant une expérience utilisateur optimale.

Grossièrement, ce code source React Native emploie un composant Text au sein d'un élément View, avec un style appliqué pour le positionnement et la mise en forme du texte.

En résumé, le développement Android, c'est un mélange entre un langage de programmation, des outils adaptés et, dans notre cas, une touche de magie avec React Native.

Curieux d'en savoir plus ? Alors, continuons l'aventure ensemble !

👨‍💻 La technologie multiplateforme React Native

Lorsque l’on parle de développement d'applications mobiles, une question majeure revient souvent :

« Comment concevoir pour Android et iOS sans doubler le travail ? ».

Notre réponse : React Native !

Conçue par Méta (anciennement Facebook), React Native est une technologie open source qui a révolutionné la façon dont les développeurs conçoivent des applications mobiles. Avec ce Framework, nous n’avons plus besoin de créer deux applications distinctes pour les appareils fonctionnant sous Android et ceux utilisant iOS. Il suffit d’écrire un même code source JavaScript pour que React Native se charge de le transposer simultanément pour les deux systèmes d'exploitation.

Magique, n'est-ce pas ?

Chez Yield Studio, nous avons adopté cette technologie pour une raison simple : elle optimise notre efficacité ! Grâce à React Native, développer une application Android ou iOS représente exactement la même charge de travail pour nous. Quelques différences demeurent, bien sûr, mais elles sont mineures comparées à l'avantage principal : un gain de temps considérable.

Mais ce n'est pas tout ! React Native offre également des interfaces utilisateur fluides, adaptées à chaque plateforme. Les utilisateurs bénéficient ainsi d'une expérience homogène, que ce soit sur Android ou sur iOS.

En choisissant React Native, on fait le choix d'un développement plus rapide, plus cohérent et tout aussi performant. Chez Yield Studio, c'est cette technologie innovante qui nous guide au quotidien, nous permettant de délivrer des applications de haute qualité sur tous les fronts.

💡 Les étapes clés pour créer une application Android

Dès l'instant où l'on décide de se lancer dans le développement d'une application Android, un parcours structuré s'impose. Voici un guide étape par étape pour naviguer dans ce processus avec confiance :

  1. Définir le concept : Avant toute chose, clarifiez votre idée. Quelle est la valeur ajoutée de votre application ? À quel besoin répond-elle ?

  1. Conception de l'interface utilisateur : Une application réussie est intuitive. Travaillez sur un design ergonomique, adapté aux spécificités des appareils Android.

  1. Choisir le bon langage de programmation : Si nous privilégions React Native et donc JavaScript, chez Yield Studio, d'autres options existent. Kotlin et Java sont les langages utilisés pour développer de manière native sous Android.

  1. Utiliser Android Studio : Cet outil de développement, mis à jour régulièrement, est essentiel. Il intègre le SDK (pour Software Development Kit) Android offrant ainsi tout ce dont un développeur Android a besoin.

  1. Tests et améliorations : Une fois votre application développée, la phase de test est cruciale. Elle vous permet de détecter d'éventuels bugs et d'optimiser l'expérience utilisateur.

  1. Mise à jour constante : Le monde des applications évolue vite. Assurez-vous de mettre régulièrement à jour votre application pour répondre aux besoins changeants des utilisateurs et aux mises à jour du système d'exploitation.

  1. Lancement et promotion : Une fois que tout est en place, lancez votre application sur le Google Play Store. Ne négligez pas sa promotion pour garantir sa visibilité et son succès.

Créer une application Android est un voyage passionnant, parsemé de défis. Mais avec une méthodologie claire et les bons outils, comme ceux que nous utilisons chez Yield Studio, votre idée peut rapidement devenir une réalité prisée par des milliers d'utilisateurs.

📝 Publication et mise à jour

Entrer dans le monde des applications Android ne se termine pas simplement avec le développement de votre application. Deux étapes cruciales restent à franchir pour assurer sa pérennité : la publication et les mises à jour. Voici un aperçu de ce que cela implique :

  1. Avant de soumettre votre application Android sur le Google Play Store, vérifiez sa conformité aux directives de la plateforme. Veillez à préparer tous les éléments visuels et descriptifs nécessaires pour présenter votre application sous son meilleur jour.

  1. Une fois prête, soumettez l’application sur le store pour revue. Après validation, elle sera accessible à des millions d'utilisateurs. C'est le moment clé pour voir votre travail récompensé.

  1. Les avis des utilisateurs sont essentiels. Ils vous fourniront des informations précieuses pour améliorer votre application au fur et à mesure de son existence.

  1. En fonction des retours et avis des utilisateurs et des évolutions technologiques futures, planifiez des mises à jour régulières. Cela garantira la satisfaction des utilisateurs et la compatibilité avec les dernières versions d'Android.

  1. Le monde d'Android évolue sans cesse. Intégrez de nouvelles fonctionnalités et tendances pour que votre application reste au goût du jour.

  1. Comme tout produit, une application nécessite des réajustements. Analysez régulièrement les performances de votre application et effectuez les modifications qui s’imposent.

Chez Yield Studio, nous sommes conscients de l'importance de chaque étape. C'est pourquoi nous accompagnons nos clients bien au-delà du simple développement. La publication et la mise à jour sont des phases essentielles pour que votre application Android reste pertinente et appréciée de sa communauté.

Le développement d'applications Android a grandement évolué ces dernières années, poussé par des innovations et des technologies comme React Native ou Flutter. Si vous envisagez de développer une application Android, il est essentiel de comprendre les bases, mais aussi d'embrasser les nouvelles tendances qui façonnent l'avenir de la conception d’applications mobiles.

Chez Yield Studio, grâce à notre expertise en React Native, nous sommes prêts à transformer votre idée en une application fluide, performante et adaptée à la fois pour Android et iOS. En se tournant vers le futur tout en maîtrisant les fondamentaux du développement Android, nous vous assurons une présence mobile solide et durable. 

🚀 Alors, prêt à créer la prochaine application révolutionnaire ? Nous sommes là pour vous accompagner.

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