PHP
Langage incontournable soutenu par ces deux frameworks Laravel & Symfony
Depuis 2019, notre culture Lean nous permet de mettre en production 98% des applications web de nos clients en moins de 3 mois, le tout avec un code de grande qualité.
Notre objectif n'est pas simplement de développer une liste de fonctionnalités. Nous visons l'adoption des utilisateurs et l'atteinte de vos objectifs business (augmentation de la productivité ou de la satisfaction clients, augmentation des ventes, ...).
Là où certaines agences suivent strictement le processus de développement et considèrent les besoins des utilisateurs ou le socle technique comme des contraintes, nous chez Yield Studio, on fait l'inverse.
Construire une application web performante est un levier stratégique essentiel pour accélérer votre transformation digitale. Son objectif ? Vous permettre de gagner en productivité, d'améliorer l'expérience utilisateur, ou encore de moderniser vos processus métiers pour booster votre croissance.
Avec plus de 6 ans d'expérience et 110 projets web développés, nous avons acquis une expertise solide pour anticiper les défis techniques, concevoir des architectures évolutives et garantir la scalabilité de vos projets.
web développés ou refondus par nos équipes pour des clients de toutes tailles.
que Yield Studio est un partenaire reconnu dans le développement d'applications web sur mesure.
d'utilisateurs touchés chaque mois par les applications web que nous avons développées pour nos clients.
de requêtes API sont faites chaque jour sur les applications de nos clients que nous maintenons
Nous écrivons un code de qualité dès le départ pour aller plus vite ensuite
Nous identifions les fonctionnalités différenciantes pour les utilisateurs finaux
Nous mettons très rapidement en production les fonctionnalités grâce à notre Lean Lab’ ®
Lancer une application web performante va bien au-delà du simple développement d’interface. Chez Yield Studio, nous vous accompagnons dès la conception pour créer des applications web sur mesure, qu’il s’agisse d’applications web métier pour automatiser vos processus internes et améliorer votre productivité, d’applications SaaS évolutives pensées pour répondre aux besoins spécifiques de vos utilisateurs, ou encore de sites web complexes offrant une expérience utilisateur optimisée grâce à une architecture robuste et une conception sur mesure.
Une application vieillissante ou un site web obsolète peut freiner votre croissance. Nous vous aidons à moderniser vos applications en repensant leur architecture technique, en améliorant leurs performances, leur design et leur scalabilité. Notre approche se concentre sur la mise à jour de vos outils pour offrir une expérience utilisateur optimale tout en garantissant une maintenance simplifiée et une capacité d’évolution sur le long terme.
Un code mal structuré entraîne des bugs, des lenteurs et des dettes techniques qui peuvent nuire à l’efficacité de votre application. Nos experts réalisent des audits complets pour évaluer l’état de votre application, identifier les goulots d’étranglement, et proposer des améliorations concrètes.
Notre objectif : Vous garantir un code fiable, maintenable et prêt à évoluer sans friction. Grâce à une maintenance rigoureuse et proactive, nous veillons à ce que votre application reste performante et sécurisée au fil du temps.
Nous créons des fonctionnalités sur-mesure qui répondent aux besoins spécifiques de chaque projet web, qu’il s’agisse de plateformes SaaS, de logiciels métiers ou de sites complexes.
Identification des problématiques de vos utilisateurs, de vos enjeux clés à travers l'écoute active et l'analyse de marché pour cadrer le projet.
Création de maquettes et prototypes interactifs, testés et améliorés grâce aux retours des utilisateurs pour garantir une solution répondant à leurs attentes.
Codage de votre application web en sprints d’une semaine, permettant des ajustements flexibles basés sur des tests en conditions réelles. A la fin de chaque sprint une revue est organisée ensemble.
Assurer la qualité et la performance de l'application par des tests rigoureux en conditions réelles, en prenant en compte des retours pour des ajustements.
Mettre votre produit en ligne et effectuer des itérations basées sur les retours, les datas et les évolutions du marché. Retour à l’étape 1 pour focus une autre problématique !
Yield Studio aide les entreprises à devenir plus productives et identifier des leviers de croissance. Agacés de travailler sur des projets sans impact réel, c’est en 2019 que James et Cyrille créent Yield Studio. Notre objectif est d’utiliser la tech pour créer des innovations qui apportent de la valeur à la fois à l’utilisateur final et à la fois au business
Produits digitaux construits pour des besoins B2B, B2C et internes
de NPS client depuis 2019. Nous construisons un partenariat sur la durée.
Développement web & mobile
Product Management
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Tu en as assez de travailler avec du code désorganisé qui ralentit ton développement ? Le refactoring est sans doute la clé pour révéler tout le potentiel de ton base code.
Dans cet article, on va plonger dans le monde du refactoring (ou refactorisation) de code :
À la fin, tu auras une vision claire de ce qu’est le refactoring et de comment l’appliquer pour améliorer la qualité, la maintenabilité et les performances de ton code.
Le refactoring, ou refactorisation, c’est le fait d’optimiser et réorganiser du code existant pour le rendre plus efficace sans modifier ce qu’il fait.
C’est une pratique essentielle pour les développeurs qui veulent :
Exemple concret : renommer une méthode pour que son rôle soit plus explicite, sans rien changer à ce qu’elle exécute.
👉 Le refactoring se fait par petites étapes, idéalement avant d’ajouter une nouvelle fonctionnalité.
Chaque modification doit être testée avec des méthodes modernes comme le Test-Driven Development (TDD) ou l’intégration continue (CI), pour s’assurer que le comportement du code reste inchangé.
Le refactoring joue un rôle crucial pour transformer un code désordonné en code propre et lisible. Il permet de réduire la dette technique sans toucher au fonctionnement du logiciel.
L’objectif principal du refactoring, c’est d’améliorer la qualité, la performance et la maintenabilité du code. Un code clair est plus facile à lire, comprendre, faire évoluer et maintenir — ce qui facilite le travail des équipes, accélère les livraisons et augmente les chances d’obtenir un produit final robuste.
Dans la pratique, cela signifie :
Bref, on évite que le code se dégrade au fil du temps.
En résumé, le refactoring agit comme une mesure préventive contre la dette technique, la perte de productivité et la complexité croissante du projet.
Il y a trois bons moments pour faire du refactoring :
👉 Dans tous les cas, l’idée est de ne pas changer le comportement du produit, mais de s’assurer que les modifications rendent le code plus propre et plus stable à long terme.
Le refactoring ne sert pas juste à “faire joli” : ses effets sont profonds et durables. Voici les avantages les plus notables :
Un code plus clair, c’est un code qu’on comprend plus vite — que ce soit toi dans 6 mois ou un collègue qui débarque sur le projet.
En divisant les longues méthodes, en supprimant les duplications, on rend le code plus simple et plus logique.
Le refactoring permet de structurer le code en objets, modules ou composants bien séparés, facilitant la réutilisation et les évolutions futures.
Un code refactoré est plus facile à tester, modifier, déboguer, et donc à faire évoluer sereinement.
Toute l’équipe peut travailler sur une base saine, sans avoir besoin d’interpréter des “hacks” ou des “bricolages”.
En réduisant la dette technique, tu gagnes du temps sur chaque sprint, car tu avances sans blocages inutiles.
En clair : le refactoring, c’est un investissement. Il permet de livrer plus vite, plus proprement, et de garder le contrôle sur un projet qui grossit.
Même si le refactoring apporte de nombreux bénéfices, il n’est pas sans difficultés. Voici les principaux obstacles à anticiper :
C’est le frein numéro un. Quand les délais sont serrés, refactorer peut paraître secondaire. Résultat : on repousse, et la dette technique s’accumule.
Mais ne pas le faire, c’est souvent payer plus cher plus tard.
Modifier du code, c’est toujours prendre le risque de casser quelque chose. Le refactoring mal maîtrisé peut introduire :
Savoir où et comment refactorer n’est pas toujours évident. Il faut savoir détecter les schémas de code douteux (méthodes trop longues, duplication, classes trop grosses…).
Sans tests automatisés, il est difficile de garantir que ton refactoring n’a rien cassé. Le processus peut devenir long et risqué, surtout s’il manque de couverture de tests ou de revues de code.
Il existe de nombreuses approches pour refactorer du code efficacement. Voici les principales :
Les “code smells” (ou “mauvaises odeurs de code”) sont des signes que quelque chose cloche dans la structure du code.
Ce ne sont pas des bugs en soi, mais des indices qu’une amélioration est nécessaire.
Quelques exemples :
Une fois repérés, ces problèmes permettent de cibler où intervenir en priorité pour assainir le code.
C’est une approche issue du développement agile, en 3 étapes :
Cette méthode garantit que chaque refactoring conserve le comportement attendu, tout en rendant le code plus propre.
Cette méthode repose sur la hiérarchie de classes, l’héritage et l’extraction de comportements communs.
Deux techniques typiques :
Idéal pour les applications complexes, avec beaucoup de classes et de logique métier partagée.
Deux techniques clés :
L’objectif est d’avoir des méthodes courtes, claires et lisibles, orientées sur une seule responsabilité.
Cette technique consiste à réduire la complexité du code en :
L’idée est de rendre le code :
C’est aussi un moyen d’optimiser les interactions entre classes, en clarifiant les rôles de chacun.
Quand une classe devient trop chargée ou que ses responsabilités sont floues, on peut :
Par exemple, une classe qui gère à la fois l’affichage et la logique métier peut être scindée en deux.
Cela allège le code, clarifie la logique métier, et facilite les tests.
Une variante courante est le lazy loading, qui consiste à ne charger un objet que lorsqu’il est nécessaire, pour économiser de la mémoire.
C’est le fait de refactorer avant d’ajouter une nouvelle fonctionnalité.
Le but ?
Ne pas ajouter une fonctionnalité sur du code bancal.
On prépare donc le terrain :
Cela permet :
De nombreux IDE modernes offrent des outils pour faciliter le refactoring :
Ces outils permettent :
L’automatisation permet :
Voici les clés pour que ton refactoring se passe bien :
Le refactoring, c’est une discipline : bien fait, il rend le code plus robuste, plus agile, plus durable.
Le refactoring est une pratique incontournable pour maintenir un code :
Il ne change pas ce que fait ton logiciel, mais il améliore radicalement la manière dont il le fait.
Bien utilisé, il évite les bugs, les ralentissements, et les dettes techniques. Il soutient la croissance de ton produit sur le long terme.
GitHub et GitLab sont deux plateformes incontournables lorsqu’on parle de collaboration autour du code. Toutes deux reposent sur Git, le système de versioning le plus utilisé au monde. Mais quelle solution est la plus adaptée à ton organisation ? On fait le point.
Ces trois noms se ressemblent, mais ils ne désignent pas la même chose.
Git est un système de contrôle de version open source. Il permet aux développeurs de sauvegarder des “snapshots” (états) de leur code à différents moments du projet. Tu peux ainsi revenir en arrière à tout moment, sans rien perdre. Il gère aussi très bien le travail en branche, ce qui facilite la collaboration en parallèle sur plusieurs fonctionnalités, sans risque de conflit.
Git est aujourd’hui utilisé par quasiment toutes les entreprises tech, des startups aux grandes entreprises.
GitHub et GitLab sont deux dépôts Git en ligne. Ils permettent de collaborer à plusieurs sur un projet Git, via des interfaces web complètes. Tu peux y stocker ton code, suivre des issues, gérer des branches, déployer automatiquement ton projet… Bref, ce sont de véritables hubs collaboratifs.
Les deux plateformes partagent de nombreuses fonctionnalités :
Même si leurs bases sont similaires, leurs philosophies diffèrent.
Chez Yield Studio, on accompagne nos clients sur des stacks modernes avec Git, GitHub ou GitLab selon leurs préférences et besoins techniques. Dans tous les cas, bien maîtriser ces outils, c’est garantir un développement logiciel plus fluide, mieux organisé et plus fiable.
Quand on s’est lancé dans la compilation des 100 langages de programmation les plus importants, on avait comme un pressentiment : ce ne serait pas une mince affaire. Car même si une grande partie des développeurs dans le monde utilisent une vingtaine de langages principaux, il en existe des centaines d’autres — et nombre d’entre eux sont toujours utilisés activement.
Alors, comment s’y retrouver ? Comment catégoriser les langages ? Existe-t-il une hiérarchie ? Et surtout, quels critères adopter pour sélectionner les plus pertinents ?
Pour établir cette liste, nous avons dû faire quelques choix :
L’objectif : découvrir les langages les plus utilisés, les plus utiles, les plus prometteurs — ou parfois simplement les plus surprenants.
Beaucoup le considèrent comme le langage le plus influent de l’histoire. Il a posé les bases de C++, C#, Objective-C, Java, Python, JavaScript… C est à l’origine d’une énorme partie des concepts fondamentaux de la programmation moderne.
Encore aujourd’hui, C est utilisé pour développer :
Ce qui fait sa force : le principe “Write once, run anywhere”. Le code Java compilé peut s’exécuter sur toute plateforme disposant d’une machine virtuelle Java (JVM).
C’est un langage polyvalent, utilisé pour :
Ultra populaire, Python est souvent le premier langage conseillé aux débutants. Il brille par :
Python est utilisé dans presque tous les domaines : data, IA, automation, web, jeux, etc.
C++ est né de la volonté d’ajouter des paradigmes haut niveau à C. Résultat :
C++ est souvent utilisé pour :
Langage développé par Microsoft, C# est l’un des piliers de la plateforme .NET.
Il est utilisé pour :
C# combine la puissance de C avec la simplicité de Java.
Impossible d’imaginer un site moderne sans JavaScript.
Il permet :
Avec Node.js, JavaScript est aussi utilisé côté serveur. Il est omniprésent dans le développement web.
Mal aimé… mais toujours là !
PHP reste le langage serveur le plus utilisé pour créer des pages web dynamiques.
Il permet aussi :
Gentille courbe d’apprentissage + communauté massive = langage encore très pertinent.
R est le langage favori des data scientists et des statisticiens.
Il propose :
R est massivement utilisé dans les milieux académiques, médicaux et scientifiques.
Langage de requêtage des bases de données relationnelles.
Il permet :
SQL est un outil fondamental dans presque tous les projets tech où la donnée est structurée.
Créé par Google, Go combine :
Il est utilisé pour :
Le langage officiel d’Apple. Si tu veux coder pour iOS, macOS, watchOS ou tvOS : c’est Swift qu’il te faut.
Inspiré de C et Objective-C, mais modernisé, Swift est :
Surnommé le couteau suisse du scripting, Perl existe depuis les années 80.
Il est utilisé pour :
Perl est extrêmement souple, multi-plateforme, et toujours actif.
Langage bas niveau, très proche du langage machine.
Utilisé pour :
Chaque architecture a sa propre syntaxe. Complexe mais redoutablement puissant.
Langage événementiel de Microsoft, avec une syntaxe accessible.
Grâce à l’IDE Visual Studio et à son intégration dans .NET, il permet de développer rapidement :
Souvent utilisé par des développeurs "non techniques" dans les entreprises.
Langage équilibré entre productivité et élégance.
Il brille particulièrement avec son framework Ruby on Rails, très populaire pour les apps web.
Ruby est apprécié pour :
Langage spécialisé pour les ingénieurs et scientifiques.
Il permet :
C’est une plateforme propriétaire avec un environnement riche et graphique.
Le prédécesseur de Swift chez Apple. Basé sur C, avec des ajouts objet à la Smalltalk.
Il reste utilisé dans :
Langage système centré sur la sécurité mémoire et les performances.
Grâce à son compilateur ultra strict, il évite les fuites mémoire, les erreurs de pointeur, etc.
Parfait pour :
Langage RAD (développement rapide d’applications), particulièrement répandu pour les apps Windows.
Il allie :
Il reste très utilisé dans certaines industries (industrie, logistique, ERP sur Windows…).
Langage abandonné par Microsoft en 2008… mais encore très utilisé dans des projets legacy.
Il permettait de créer des apps 32-bit sous Windows avec les composants VB natifs.
On l’inclut par respect, car beaucoup d’anciens systèmes en dépendent encore.
Un langage spécialisé pour l’analyse de données statistiques à partir de bases et de feuilles de calcul. Très utilisé dans les milieux académiques, gouvernementaux et médicaux. Il compile les données, les analyse, puis génère des rapports ou visualisations.
Pensé pour initier les enfants de 8 à 16 ans à la programmation. Basé sur Smalltalk, il fonctionne par blocs visuels que l’on assemble. Très utile pour comprendre les concepts de base (boucles, conditions, événements…).
Un langage qui cherche à corriger les faiblesses de C/C++. Orienté objet, moderne, mais non rétrocompatible avec C++, ce qui permet d’éliminer pas mal d’héritages indésirables.
Créé par Google, Dart est le langage utilisé pour développer avec Flutter, le framework de développement mobile cross-platform. Il compile en JavaScript pour le web, ou en natif pour Android/iOS.
Langage procédural développé par Oracle, qui étend SQL avec des fonctionnalités comme les boucles, conditions, fonctions, types…. Il est conçu pour interagir avec les bases de données Oracle.
Langage éducatif emblématique avec la petite “tortue” qui dessine. Un des premiers langages utilisés pour apprendre les bases du code dans les années 80 et 90.
Langage vieux de plus de 60 ans, toujours utilisé dans la banque, la finance, et l’administration. Bien que considéré comme obsolète, il est encore actif sur de nombreux systèmes mainframe.
Langage moderne, concis, sécurisé, et totalement interopérable avec Java. Il est aujourd’hui le langage recommandé par Google pour le développement Android.
Un langage conçu pour le calcul scientifique et numérique. Très rapide, il combine la facilité d’écriture de Python avec la performance du C. Parfait pour l’analyse de données complexes.
Langage propriétaire développé par SAP, utilisé pour écrire des programmes sur les systèmes SAP (ERP, CRM…). Il est essentiel dans l’écosystème SAP.
Considéré par certains comme un Java modernisé, avec une syntaxe plus concise, et des concepts fonctionnels. Scala compile vers la JVM et reste totalement interopérable avec Java.
Extension de SQL développée par Microsoft, utilisée avec SQL Server. Elle ajoute des fonctionnalités procédurales (boucles, conditions, variables…) à SQL.
Un dialecte minimaliste de Lisp, souvent utilisé pour l’enseignement, ou pour des systèmes embarqués. Sa simplicité en fait un bon langage pour apprendre les concepts de programmation fonctionnelle.
Langage de programmation logique, basé sur des faits et des règles. Il est surtout utilisé dans des projets en intelligence artificielle et en traitement du langage naturel (NLP).
Langage sécurisé, structuré, développé à l’origine pour le Département de la Défense américain. Ada est toujours utilisé dans les systèmes critiques (aéronautique, spatial, défense…).
L’un des plus anciens langages haut niveau encore utilisé aujourd’hui. Lisp est la base de nombreuses idées modernes comme la récursivité, les fonctions d’ordre supérieur, ou le typage dynamique. Très utilisé dans les projets d’intelligence artificielle.
Langage orienté objet propriétaire de Salesforce. Permet d’écrire des règles métier, automatisations, et API dans l’écosystème Salesforce.
Langage léger, rapide, multi-plateforme, très utilisé pour étendre des logiciels (scripts dans des jeux vidéo, par exemple). Il est simple, modulaire et parfait pour les petits systèmes embarqués.
Langage vieux de 1957 (!), toujours utilisé en calcul scientifique intensif : mécanique des fluides, géophysique, simulations numériques… Il reste performant et très optimisé.
Langage fonctionnel pur, académique, avec une forte orientation vers l’immutabilité et la pureté des fonctions. Utilisé à la fois dans la recherche et certains projets industriels très exigeants.
Développé par Meta (ex-Facebook), Hack est une extension de PHP qui ajoute le typage statique optionnel. Il permet une transition en douceur entre code dynamique et typé.
Version simplifiée de Visual Basic, utilisée principalement pour automatiser des tâches sous Windows (scripts d’administration, macros…). Supplanté par PowerShell dans de nombreux cas.
Surcouche de JavaScript avec typage statique optionnel. Très utilisé dans les projets front-end modernes (React, Angular, Vue…). Il facilite le refactoring et la scalabilité.
Langage de traitement de texte en ligne de commande, très utile pour extraire ou transformer des données dans des fichiers plats. Un classique dans le monde Unix/Linux.
Langage orienté objet proche de JavaScript, utilisé dans les apps Flash. Il a aujourd’hui disparu avec la fin d’Adobe Flash, mais reste utilisé dans quelques apps héritées.
Langage simple et très flexible, où tout est commande. Utilisé dans le prototypage rapide, les scripts système, ou les outils d’automatisation.
Langage qui a influencé la POO moderne (et le design MVC). Très innovant, mais aujourd’hui marginalisé. Encore utilisé par quelques communautés dans des environnements très visuels.
Langage orienté base de données, conçu pour des applications métiers desktop. Bien que Microsoft ait arrêté son support, il est encore utilisé dans des systèmes internes d’entreprise.
Langage principal pour créer des smart contracts sur Ethereum. Inspiré de JavaScript, il est utilisé dans le développement d’apps décentralisées (dApps), NFT, DeFi…
Langage de script développé par Microsoft pour l’administration système et l’automatisation. Très puissant pour manipuler fichiers, registres, processus, et configurer des serveurs à grande échelle.
Langage généraliste utilisé pour l’enseignement et le prototypage rapide. Il a grandement influencé la création de Python.
Développé dans les années 50, Algol est à l’origine de la programmation structurée et a influencé C, Pascal et bien d’autres.
Langage très original, basé sur des symboles mathématiques spéciaux. Utilisé pour le calcul scientifique et commercial.
Shell par défaut sous Linux, Bash est à la fois un interpréteur de commandes et un langage de script pour l’automatisation système.
Langage en cours de développement par Google pour succéder à C++, avec un focus sur la sécurité mémoire et la compatibilité.
Langage de balisage pour le web, orienté base de données. Utilisé dans des applications d’entreprise pour générer des pages dynamiques.
Langage des années 80 conçu pour les systèmes de télécommunications. Fiable, structuré, mais désormais peu utilisé.
Langage logique basé sur des règles, développé par la NASA pour créer des systèmes experts (IA, diagnostic, prise de décision…).
Langage fonctionnel moderne basé sur Lisp, tourné vers la programmation concurrente et très apprécié dans le monde Java.
Langage de recherche du MIT, qui a introduit des concepts clés comme l’abstraction de données et l’héritage structuré.
Langage compilé inspiré de Ruby, avec les performances du C. Il vise à combiner expressivité et rapidité.
Langage hybride mêlant balisage, scripts et POO, pour créer des applications web riches et interactives.
Langage orienté business pour les systèmes de gestion : comptabilité, facturation, inventaire. Utilisé sur les mini-ordinateurs.
Langage orienté objet basé sur le Design by Contract, très structurant pour développer des systèmes fiables et réutilisables.
Langage fonctionnel moderne basé sur la VM d’Erlang (BEAM), conçu pour des systèmes distribués, tolérants aux pannes et scalables.
Langage fonctionnel compilant en JavaScript, conçu pour le front-end web. Il offre une expérience sans runtime errors.
Langage utilisé dans les télécoms, célèbre pour sa capacité à gérer des milliers de connexions simultanées de manière fiable.
Langage fonctionnel de Microsoft, multi-paradigme, utilisé en data science, finance, cloud computing.
Langage très bas niveau, utilisé dans l’embarqué et les systèmes interactifs, avec exécution immédiate des commandes.
Langage d’optimisation mathématique utilisé en logistique, finance, énergie. Parfait pour résoudre des modèles linéaires complexes.
Langage dynamique pour la JVM, très utilisé pour le scripting, les tests, et l’automatisation CI/CD (ex : Jenkins pipelines).
Langage très haut niveau orienté vers le traitement de texte et la manipulation de structures de données.
Langage orienté objet et narratif, utilisé pour créer des fictions interactives et jeux textuels.
Langage inspiré de Smalltalk et Lua, explorant les paradigmes dynamiques et unifiés dans une structure ultra minimaliste.
Successeur d’APL, J est un langage fonctionnel et vectoriel utilisé pour le traitement de données en finance et recherche.
Version Microsoft de JavaScript, utilisée principalement dans Internet Explorer pour le scripting côté client.
Langage graphique orienté dataflow, utilisé pour le contrôle d’appareils de mesure sans écrire de code textuel.
Langage graphique utilisé dans l’automatisation industrielle (PLC), qui reproduit les schémas de circuits logiques.
Langage fonctionnel typé, utilisé en recherche sur les langages de programmation. Précurseur d’OCaml et F#.
Successeur de Pascal, conçu pour la programmation système modulaire. Utilisé dans les OS et systèmes embarqués.
Langage très récent qui combine la syntaxe de Python avec la performance du C++. Conçu pour le machine learning et la data science.
Langage utilisé pour écrire des robots de trading et des indicateurs techniques sur MetaTrader 5.
Langage propriétaire orienté business, utilisé avec la base de données Adabas pour des systèmes d’entreprise.
Langage moderne et performant, alliant la concision de Python à la vitesse de C. Utilisé en systèmes, jeux, web.
Langage fonctionnel puissant avec inférence de types. Utilisé dans la finance, les compilateurs, les outils d’analyse statique.
Langage conçu pour la programmation parallèle sur des architectures Transputer. Ultra minimaliste et déterministe.
Framework + langage pour la programmation parallèle sur GPU, CPU, FPGA… Très utilisé en calcul intensif.
Langage impératif ancien, utilisé historiquement dans l’industrie et les sciences. Encore en place dans des systèmes legacy.
Langage purement fonctionnel compilant vers JavaScript, fortement inspiré de Haskell. Parfait pour les apps front-end fiables.
Langage propriétaire utilisé avec la base de données kdb+ (fintech), pour le traitement de données temporelles massives.
Langage très polyvalent qui supporte de nombreux paradigmes. Utilisé pour des projets en web, mobile, jeux…
Langage orienté business, utilisé sur les systèmes IBM iSeries. Encore actif dans la comptabilité ou la facturation industrielle.
Langage statistique, prédécesseur direct de R. Fonctionnel, extensible, lisible. Toujours utilisé pour l’analyse de données.
Version sécurisée d’Ada, utilisée dans les systèmes critiques (aviation, spatial…). Permet des vérifications formelles de la logique.
Plateforme logicielle avec langage intégré pour la statistique avancée et la recherche scientifique. Permet d’automatiser les traitements.
Langage de description et vérification matérielle. Utilisé pour simuler, tester et valider les circuits électroniques complexes.
Autre langage de description hardware, utilisé pour modéliser, concevoir, et simuler des composants numériques (FPGAs, CPU…).
Langage symbolique développé par Wolfram Research. Puissant en calcul mathématique, data science, visualisation.
Langage utilisé pour le développement dans Microsoft Dynamics AX / 365. Spécialisé dans les applications de gestion d’entreprise.
Langage bas niveau moderne, avec contrôle total de la mémoire et une syntaxe claire. Utilisé pour les OS, les moteurs de jeux, et la performance extrême.
Il n’existe pas un seul langage parfait — chacun a son domaine d’application, ses forces, ses limites. Ce qui rend la programmation fascinante, c’est cette capacité à choisir l’outil adapté au bon contexte.
Que tu sois développeur web, ingénieur systèmes, data scientist ou créateur d’algorithmes de trading, tu trouveras dans cette liste au moins une douzaine de langages clés pour ton métier.
👉 Le plus important : choisis un langage selon ce que tu veux créer. Maîtrise ses bases, explore ses possibilités… et amuse-toi à coder.