AGENCE DE DÉVELOPPEMENT WEB

Lançons votre application web en un temps record.

Depuis 2019, notre culture Lean nous permet de mettre en production 98% des applications web de nos clients en moins de 3 mois, le tout avec un code de grande qualité.

Garantie

Améliorons votre expérience client ou collaborateur

Notre objectif n'est pas simplement de développer une liste de fonctionnalités. Nous visons l'adoption des utilisateurs et l'atteinte de vos objectifs business (augmentation de la productivité ou de la satisfaction clients, augmentation des ventes, ...).

Là où certaines agences suivent strictement le processus de développement et considèrent les besoins des utilisateurs ou le socle technique comme des contraintes, nous chez Yield Studio, on fait l'inverse.

Discutons de votre projet web dès maintenant
Confiance

Bénéficiez de notre recul pour vous challenger

Construire une application web performante est un levier stratégique essentiel pour accélérer votre transformation digitale. Son objectif ? Vous permettre de gagner en productivité, d'améliorer l'expérience utilisateur, ou encore de moderniser vos processus métiers pour booster votre croissance.

Avec plus de 6 ans d'expérience et 110 projets web développés, nous avons acquis une expertise solide pour anticiper les défis techniques, concevoir des architectures évolutives et garantir la scalabilité de vos projets.

Plus de 110 projets

web développés ou refondus par nos équipes pour des clients de toutes tailles.

Déjà 6 ans

que Yield Studio est un partenaire reconnu dans le développement d'applications web sur mesure.

Plus d'1 million

d'utilisateurs touchés chaque mois par les applications web que nous avons développées pour nos clients.

Dizaines de millions

de requêtes API sont faites chaque jour sur les applications de nos clients que nous maintenons

Pourquoi Yield Studio ?

Code de qualité

Nous écrivons un code de qualité dès le départ pour aller plus vite ensuite

Focus utilisateur

Nous identifions les fonctionnalités différenciantes pour les utilisateurs finaux

Time To Market

Nous mettons très rapidement en production les fonctionnalités grâce à notre Lean Lab’ ®

Compétence n°1

Création d’application web

Lancer une application web performante va bien au-delà du simple développement d’interface. Chez Yield Studio, nous vous accompagnons dès la conception pour créer des applications web sur mesure, qu’il s’agisse d’applications web métier pour automatiser vos processus internes et améliorer votre productivité, d’applications SaaS évolutives pensées pour répondre aux besoins spécifiques de vos utilisateurs, ou encore de sites web complexes offrant une expérience utilisateur optimisée grâce à une architecture robuste et une conception sur mesure.

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Compétence n°2

Refonte d’applications web

Une application vieillissante ou un site web obsolète peut freiner votre croissance. Nous vous aidons à moderniser vos applications en repensant leur architecture technique, en améliorant leurs performances, leur design et leur scalabilité. Notre approche se concentre sur la mise à jour de vos outils pour offrir une expérience utilisateur optimale tout en garantissant une maintenance simplifiée et une capacité d’évolution sur le long terme.

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Compétence n°3

Tierce Maintenance Applicative (TMA)

Un code mal structuré entraîne des bugs, des lenteurs et des dettes techniques qui peuvent nuire à l’efficacité de votre application. Nos experts réalisent des audits complets pour évaluer l’état de votre application, identifier les goulots d’étranglement, et proposer des améliorations concrètes.

Notre objectif : Vous garantir un code fiable, maintenable et prêt à évoluer sans friction. Grâce à une maintenance rigoureuse et proactive, nous veillons à ce que votre application reste performante et sécurisée au fil du temps.

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Cas Clients

Découvrez nos réalisations clients

Média Participations

Renfort de la DSI afin de permettre au groupe d'accélérer sa delivery et de former ses équipes à une nouvelle stack technique
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Mémo de Vie

Refonte d'une plateforme web pour aider les victimes de violence afin d'augmenter le nombre d'utilisateurs réguliers
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BTP Consultants

DSI externalisée en charge de la création d’un socle applicatif et d'une application métier afin de réduire les coûts de maintenance et d'augmenter la productivité des équipes
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Fonctionnalités

Focus sur quelques fonctionnalités phares développées pour nos clients

Nous créons des fonctionnalités sur-mesure qui répondent aux besoins spécifiques de chaque projet web, qu’il s’agisse de plateformes SaaS, de logiciels métiers ou de sites complexes.

Portails client personnalisés : espaces sécurisés offrant des dashboards interactifs, accès aux données en temps réel, et outils de collaboration dédiés.
Systèmes de reporting avancés : génération de rapports dynamiques, visualisations de données complexes et exports personnalisés.
Automatisation de processus métiers : développement de workflows sur-mesure pour simplifier et optimiser vos processus internes.
Intégrations d’API & webhooks : connexion fluide avec vos ERP, CRM, solutions de paiement ou services tiers pour une interopérabilité totale.
Sécurité & Performance : systèmes de gestion des permissions, cryptage des données, monitoring des performances et maintenance proactive.
Franck JOUSSE
Directeur des Systèmes d'Information
Ce qui nous a intéressé chez Yield Studo c'est la vision qu'ils ont des transformations de l'entreprise et le mix entre la rigueur et la souplesse. Historiquement chez BTP Consultants la gestion de projet en mode agile a été compliquée, ils ont eu cette faculté et nous ont prouvé qu'eux y parvenaient avec leur approche. La collaboration au quotidien se passe super bien, les développeurs voient nos utilisateurs finaux. On a beaucoup d'intéractions au quotidien, on est dans une relation super saine et de confiance ! Les collaborateurs sont bienveillants et purement smarts dans leurs solutions, discussions, ... Et c'est rare sur le marché. Je recommande Yield Studio pour cette capacité à imaginer les produits, à être très concentré sur l'utilisateur final, à chercher le gain business ! Ils nous font vraiment progresser au quotidien.
Fonctionnement

Une approche en 5 phases

ETAPE 1

Compréhension utilisateur

Identification des problématiques de vos utilisateurs, de vos enjeux clés à travers l'écoute active et l'analyse de marché pour cadrer le projet.

1 à 3 semaines
ETAPE 2

Conception & Prototypage

Création de maquettes et prototypes interactifs, testés et améliorés grâce aux retours des utilisateurs pour garantir une solution répondant à leurs attentes.

2 à 4 semaines
ETAPE 3

Développement agile

Codage de votre application web en sprints d’une semaine, permettant des ajustements flexibles basés sur des tests en conditions réelles. A la fin de chaque sprint une revue est organisée ensemble.

6 à 12 semaines
ETAPE 4

Tests & améliorations

Assurer la qualité et la performance de l'application par des tests rigoureux en conditions réelles, en prenant en compte des retours pour des ajustements.

1 à 3 semaines
ETAPE 5

Itérations

Mettre votre produit en ligne et effectuer des itérations basées sur les retours, les datas et les évolutions du marché. Retour à l’étape 1 pour focus une autre problématique !

Nos experts en développement web

Alexandre
Développeur sénior
Timothée
Développeur sénior
Alexandre
Développeur sénior
Arthur
Développeur sénior
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Chief Product Officer & Co-Founder
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Découvrez le mot de notre co-fondateur

Yield Studio aide les entreprises à devenir plus productives et identifier des leviers de croissance. Agacés de travailler sur des projets sans impact réel, c’est en 2019 que James et Cyrille créent Yield Studio.  Notre objectif est d’utiliser la tech pour créer des innovations qui apportent de la valeur à la fois à l’utilisateur final et à la fois au business

+150

Produits digitaux construits pour des besoins B2B, B2C et internes

9,8/10

de NPS client depuis 2019. Nous construisons un partenariat sur la durée.

Expertises

Développement web & mobile

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Data & IA

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Co-fondateur & CPO

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Clean Code : comment écrire un code qu’on relit sans souffrir ?
Dans cet article, pas de dogme. Juste ce qu’on a retenu après des dizaines de projets, et ce qu’on applique (ou pas) quand on veut écrire du code propre qui tourne.
James
8/7/2025

Une fonction bien typée. Un fichier découpé. Un linter qui passe au vert. Et pourtant : impossible de comprendre ce que ça fait. Difficile à tester. Inutile côté usage.

👉 Ce n’est pas rare. On croit écrire du clean code. Mais on produit juste du code joli, complexe, ou hors sol.

Aujourd’hui, le vrai sujet, ce n’est pas “est-ce que ce code est élégant ?” C’est : est-ce qu’on peut le reprendre dans 6 mois ? Est-ce qu’un dev comprend ce qu’il fait sans relire 4 fichiers ? Est-ce qu’on peut le tester sans douleur ? Est-ce qu’il raconte ce que le produit fait dans la vraie vie ?

Et ce n’est pas qu’un sujet de confort : 42 % du temps de développement est perdu à cause de dette technique évitable — du code pas clair, pas aligné, trop complexe. Autrement dit : du faux clean code.

Chez Yield, studio de développement, on travaille sur des produits qui vivent : MVP à faire évoluer, app métier en run, code repris par d’autres équipes. Ce qu’on cherche, ce n’est pas un style. C’est une base de code sobre, lisible, testable, utile — même quand l’équipe tourne, même quand la deadline presse.

Dans cet article, pas de dogme. Juste ce qu’on a retenu après des dizaines de projets, et ce qu’on applique (ou pas) quand on veut écrire du code propre qui tourne.

Clean Code : de quoi on parle vraiment ? (et ce que ça n’est pas)

Le Clean Code, ce n’est pas une “forme idéale” du code. Ce n’est pas “ce que dit Uncle Bob”. Ce n’est pas un débat sur les tabs ou les espaces. Et surtout : ce n’est pas un label que vous posez une fois le projet terminé.

👉 Ce qu’on appelle “code propre”, chez Yield, c’est un code :

  • Lisible : un·e dev peut comprendre sans effort ce que ça fait — et pourquoi.
  • Prévisible : pas de side effects planqués, pas de logique implicite.
  • Sobre : pas de feature inutile, pas de surcouche décorative.
  • Facile à tester : isolable, sans dépendances non maîtrisées.
  • Ancré dans le métier : les noms, les structures, les cas reflètent la réalité produit.

Autrement dit : du code que l’on comprend, que l’on teste, que l’on fait évoluer — sans douleur.

Ce que ce n’est pas :

  • Un code “joli” qui ne tourne pas.
  • Une règle de style copiée-collée d’un blog US.
  • Un fichier “bien organisé” mais incompréhensible.
  • Une suringénierie pour appliquer un pattern à la mode.

💡Un bon Clean Code, ce n’est pas celui qui respecte toutes les règles. C’est celui qu’on peut faire évoluer sans trembler — et sans re-réexplorer tout le projet.

Nos 6 règles de Clean Code (et pourquoi on les applique — ou pas)

Selon McKinsey, 40 % du budget IT part chaque année en dette technique — souvent causée par du code sale laissé “temporairement”.

Nos règles ? Elles viennent du terrain. Parce qu’elles évitent les bugs, la dette, et les tickets qu’on ne veut pas relire à S+12.

Voici celles qu’on applique systématiquement — sauf quand on a une bonne raison de ne pas le faire.

1. Un fichier = une responsabilité claire

Pas de “utils.js” fourre-tout. Pas de “UserService” qui gère 12 use cases.
Chaque fichier a un rôle net. Et son nom l’explique sans commentaire.

Pourquoi ? Pour que n’importe quel dev puisse naviguer dans l’archi… sans poser 15 questions.

💡Un code propre contient jusqu’à 15x moins de bugs. Et corriger une erreur dans un fichier bien structuré prend 124 % de temps en moins.

2. Des noms qui disent ce que ça fait (vraiment)

parseData() ? Trop flou. parseOrderLinesFromCSV() ? Là, on comprend.
On nomme pour le prochain dev — pas pour le clavier.
Et quand on nomme bien, on commente moins.

Une bonne variable, c’est un mini brief à elle seule.

3. La logique métier, isolée et testable

Pas de logique métier dans un controller, un resolver, ou une vue React.
Ce qui concerne le produit est dans un use case. Point.
Et ce use case peut être testé sans contexte, sans setup tordu.

Sinon, vous testez du glue code — pas votre produit.

4. Le code doit lire comme une phrase, pas un puzzle

On vise du code “narratif” : facile à suivre, indentation légère, blocs courts.
Un fichier trop long ? Il planque sûrement deux intentions.
Un if imbriqué dans un switch dans un map ? Refacto immédiat.

Un bon code, c’est celui qu’un·e dev lit sans scroller frénétiquement.

5. Les cas d’erreur sont gérés dès le départ

Pas d’if (!user) return null planqué en bas.
On gère l’erreur en haut du fichier, explicitement.
On loggue ce qui compte. Et on ne laisse pas une exception planter une feature silencieusement.

Les apps qui plantent à cause d’un undefined, on a donné. Plus jamais.

6. Le code mort ou “temporaire” est supprimé (vraiment)

Un TODO vieux de 3 mois n’est pas temporaire.
Une branche non mergée depuis 6 semaines est un risque.
On supprime, on archive, ou on documente — mais on ne laisse pas traîner.

Du code mort, c’est une dette silencieuse. Jusqu’au jour où quelqu’un le fait tourner sans le vouloir.

Retour d’XP — dette technique subie, vélocité perdue
“Sur un projet SaaS relancé par Yield, l’équipe précédente avait empilé du JS sans règles claires. Chaque évolution cassait l’existant.
On a posé une convention stricte, des revues de code et un vrai plan de refacto. Résultat : vélocité multipliée par 1,6 dès le 3ᵉ sprint.”

— Clément, Lead Dev @Yield

💡 Et surtout : on n’applique jamais une règle “par principe”.

  • Si un naming plus flou est plus rapide et lisible pour tous ? On le garde.
  • Si un fichier un peu long rend la logique plus claire ? Tant mieux.

Clean Code, oui. Clean dogme, non.

4. Les dérives classiques qu’on voit encore

Le Clean Code, sur le papier, c’est carré. Mais dans la vraie vie de projet ?
Entre pression delivery, turnover, specs mouvantes… on a vu (et fait) des choses qu’on ne referait plus.

Voici 4 dérives fréquentes — à éviter si on veut un code qui tient la route à S+6.

Le Clean Code dogmatique (et lent)

"On ne merge pas tant que tout n’est pas parfait."

Résultat : des PR bloquées 10 jours, des refactos sans fin, et un projet qui stagne.

💥 Vu en audit : 5 features “presque finies”… mais aucune en prod. Parce qu’on optimisait pour l’élégance, pas pour l’usage.

👉 Un code clean qui n’est pas livré ne sert à personne.

Le Clean Code jeté à la poubelle au premier rush

Tout est propre… jusqu’à ce que le client dise “on doit livrer demain”.
Et là, plus de tests, plus d’abstractions, plus de lisibilité.
Une “urgence temporaire” qui devient le nouveau standard.

👉 Le piège : croire qu’on pourra “repasser derrière”. On ne repasse jamais.

Et à force de laisser la dette s’accumuler, on use les équipes : 58 % des développeurs prêts à quitter leur poste citent un code base “trop legacy” comme principal facteur de lassitude.

Le “refacto permanent” comme excuse

“Je reprends tout, c’est pas clean.”

En réalité : on évite de livrer, de se confronter à l’usage.
Refactorer sans objectif, c’est coder pour soi. Pas pour le produit.

👉 La bonne question : est-ce que ça améliore l’impact ou la maintenabilité ? Sinon, on ship.

L’archi overkill “pour être clean”

Des layers, des patterns, des dossiers… mais une feature qui met 8 fichiers à modifier.

Vu sur une app simple : CQRS, event sourcing, DDD — pour une todo-list interne.
👎 Résultat : ramp-up trop long, bugs planqués, devs juniors perdus.

👉 Clean = simple à lire, pas complexe à expliquer.

Ce qu’on retient : un bon Clean Code, c’est pas un trophée — c’est un accélérateur.

Une grille simple pour juger la propreté d’un code

Un code “clean”, ce n’est pas juste “joli”. C’est un code qu’un autre dev peut lire, modifier, tester — sans le casser.

Chez Yield, on ne parle pas de “code parfait”. On pose une grille simple, en 5 questions. Si vous répondez “non” à plus de 2… le code n’est pas propre.

✅ Est-ce que je comprends ce que fait ce fichier en 30 secondes ?

Pas besoin de lire tout le code ligne à ligne.
Une structure claire, un nom explicite, une logique apparente — c’est le minimum.

✅ Est-ce que je peux modifier un comportement métier… sans tout casser ?

Un code clean isole les responsabilités.
Je touche une règle RH ? Je ne dois pas aller bidouiller les appels API ou la base.

✅ Est-ce qu’un test pète quand je fais une bêtise ?

Un bon code s’appuie sur des tests simples, ciblés, rapides.
Pas 200 tests E2E. Juste de quoi couvrir les cas critiques… et éviter les surprises.

✅ Est-ce que j’ai confiance pour shipper ?

Si on croise les doigts à chaque mise en prod, ce n’est pas clean.
Un code propre permet de livrer sans sueur froide. Parce qu’on sait ce qu’on modifie.

✅ Est-ce qu’un dev qui débarque peut reprendre la main en 2 jours ?

Pas besoin de tuto YouTube ou de session de 4h.
Si le code est clair, testé, découpé : l’onboarding est rapide, et le projet respire.

💡 Cette grille, on l’utilise en audit, en peer review, en refacto. Pas pour juger. Pour savoir si le code est une aide… ou un futur frein.

Conclusion — Un bon Clean Code, c’est du code qui se rend invisible

Le vrai Clean Code, ce n’est pas un dogme. Ce n’est pas une religion d’espaces vs. tabulations, ni un concours de purisme.

C’est du code qui ne ralentit pas l’équipe. Un code qu’on lit sans effort, qu’on modifie sans crainte, qu’on fait évoluer sans dette cachée.

👉 Ce qu’on voit chez Yield : les projets qui tiennent, ce ne sont pas ceux avec “le plus beau code”. Ce sont ceux où le code aide le produit à avancer — pas l’inverse.

Alors oui, parfois on contourne. Parfois on coupe les coins ronds. Mais quand on le fait, on sait pourquoi. Et surtout : on sait revenir dessus.

Un bon Clean Code, ce n’est pas celui qu’on remarque. C’est celui qui laisse la place… au produit, à l’équipe, à l’impact.

Symfony en 2025 : la techno que les grands comptes n’ont (vraiment) jamais quittée
Dans cet article, on explique ce qui fait revenir Symfony dans les grandes boîtes, les cas où il reste imbattable, et les erreurs à ne pas refaire.
James
8/7/2025

Un produit métier à maintenir. Une app connectée au SI. Un back-office sur-mesure qu’il faut faire évoluer sans tout casser. Et là, au moment de choisir la stack, le nom revient : Symfony.

Souvent écarté ces dernières années — trop “entreprise”, trop verbeux, trop lourd —, il revient dans les appels d’offres, les comités d’archi, les projets sensibles. Pas pour faire du buzz. Pour faire tourner des logiciels critiques.

👉 En 2025, on ne choisit plus un framework comme une tendance. On choisit une base qu’on pourra maintenir à 12 mois. Intégrer au SI. Monitorer. Faire évoluer proprement.

Chez Yield, on construit des applications web qui tournent longtemps : extranets RH, portails clients, interfaces métier. Symfony n’est pas toujours le bon choix. Mais sur les projets structurants, il revient comme une évidence.

Dans cet article, on explique ce qui fait revenir Symfony dans les grandes boîtes, les cas où il reste imbattable, et les erreurs à ne pas refaire.

Symfony, longtemps boudé… pourquoi ?

Pendant des années, Symfony a traîné une image : un framework carré, mais lent à poser. Avec une doc touffue, une config verbeuse, et une courbe d’apprentissage raide pour les juniors.

En face, Laravel cartonnait : plus simple, plus rapide à lancer, plus “cool dev”. Puis est arrivé Node.js, avec la promesse d’un full JS sexy, modulaire, rapide — surtout sur les projets API-first.

Résultat : entre 2017 et 2022, beaucoup de SI sont sortis de Symfony. Pour des stacks plus jeunes. Plus souples. Plus attractives.

Mais une fois le projet en run, le tableau a changé : 

  • Stack Laravel difficile à découpler proprement.
  • Projet Node.js qui devient spaghetti au 3ᵉ pivot.
  • Des apps rapides à shipper… mais dures à maintenir.
  • Et surtout : des équipes qui peinent à recruter ou structurer quand le produit grossit.

Symfony, lui, n’a pas cherché à plaire. Il a continué à faire ce pour quoi il excelle : une archi robuste, un cadre modulaire, et une longévité rare dans l’écosystème web.

Retour d’XP — Revenir sur Symfony pour remettre à plat
“Un client était parti sur Laravel en 2020 : lancement rapide, équipe junior-friendly.
Mais au bout de 2 ans : dette partout, métier couplé à la technique, scalabilité impossible.
On a tout repris sur Symfony. En 6 mois : architecture propre, tests en place, vélocité retrouvée.”

Maxime, Lead Dev @Yield

Ce qui fait revenir Symfony en 2025

Aujourd’hui, Symfony revient dans les grandes entreprises. Pas par nostalgie. Par nécessité.

Ce qu’on voit sur le terrain ? Des projets métiers complexes, à faire tenir dans le temps. Et pour ça, il faut un cadre solide — pas juste une stack sympa en onboarding.

Voici ce qui fait la différence en 2025, quand il faut construire un SI qui vit.

Une architecture qui résiste à la complexité

Sur un logiciel métier, il y a :

  • des règles produit mouvantes ;
  • des flux data croisés (ERP, CRM, API interne) ;
  • des enjeux de scalabilité, de permission, de traçabilité.

Symfony ne cache pas la complexité. Il vous oblige à la structurer.
➡️ Framework modulaire, découplé, pensé pour poser une archi propre : hexagonale, DDD, CQRS, peu importe — Symfony ne bride rien.

Un vrai cadre pour des équipes tech distribuées

Sur un projet à plusieurs équipes, une stack permissive devient vite un cauchemar.
On merge des patterns différents. On réinvente l’auth. On empile du code dur à maintenir.

Avec Symfony :

  • les conventions sont claires ;
  • la structure du projet est guidée dès le départ ;
  • les bonnes pratiques sont portées par l’écosystème (Doctrine, API Platform, Messenger…).

Résultat : une codebase cohérente même quand l’équipe change, scale ou tourne.

Un écosystème mature (et outillé pour le run)

Symfony, ce n’est pas “juste du PHP”. C’est une boîte à outils industrielle :

  • API Platform pour des APIs REST ou GraphQL bien posées ;
  • Messenger pour gérer les jobs asynchrones proprement ;
  • Symfony UX si besoin de réactivité côté front, sans usiner du JS.

C’est robuste, versionné, documenté — pas des packages en bêta tous les 6 mois.

Retour d’XP — Un socle stable, même quand le projet explose
“Sur une app RH, les besoins ont doublé en un an.
On avait une archi Symfony claire, des tests, des jobs bien dispatchés.
Résultat : +3 modules, +4 devs onboardés, +0 dette.
Le projet a grossi. Pas la dette technique.”

— Pierre, CTO client @Yield

Symfony ou pas Symfony ? Posez-vous ces 7 questions.

  1. Votre app contient beaucoup de logique métier imbriquée ?
  2. Il y a plusieurs types d’utilisateurs, avec des droits différents ?
  3. L’outil doit s’intégrer proprement à un SI existant (CRM, SSO, LDAP…) ?
  4. Votre équipe backend est plutôt senior, à l’aise avec PHP ?
  5. Le produit devra être maintenu pendant plusieurs années, par plusieurs équipes ?
  6. L’exigence sécurité est forte (données sensibles, audit, RGPD) ?
  7. L’objectif, c’est la robustesse, pas un MVP livré en 3 semaines ?

👉 Si vous cochez 5 cases ou plus, Symfony est probablement le bon choix.

Et si vous hésitez encore, posez-vous la vraie question : Est-ce que je cherche à livrer un prototype vite — ou à poser les fondations d’un logiciel qui tiendra dans 3 ans ?

🛠 Besoin de trancher sur une stack, cadrer un socle technique, ou challenger une archi ?

Chez Yield, on accompagne les équipes produit qui veulent construire solide.

Parlez-nous de votre projet →

Les cas d’usage où Symfony reste imbattable

Tous les frameworks peuvent faire un “CRUD”. Mais certains contextes exigent plus que du code qui tourne. Ils demandent une base modulaire, outillée, et une gouvernance technique forte.

👉 En 2025, Symfony reste la référence sur ces cas d’usage exigeants — là où d’autres stacks finissent en refacto sous pression.

Une logique métier dense, imbriquée, évolutive

Règles de gestion mouvantes, cas par client, workflows à étapes multiples…
Symfony brille quand il faut isoler, tester, étendre. Pas “hacker une feature” dans un contrôleur, mais poser des use cases clairs — et les faire tenir dans 2 ans.

🔍 Vu sur une plateforme assurance : 14 règles métier combinées dans un seul parcours utilisateur → Symfony + tests fonctionnels + archi hexagonale = 0 régression en 9 mois.

Des exigences de sécurité fortes

Multi-rôles, permissions fines, audit trail, gestion d’auth SSO…
Quand le produit touche à des données sensibles, pas question de tout coder à la main. Symfony embarque les briques qu’il faut (security bundle, firewall, encodage, guards…), testées, éprouvées.

👉 SSO, LDAP, ACL complexes, logs certifiés ? On est dans son terrain de jeu.

Une intégration profonde au SI

Vous devez dialoguer avec SAP, récupérer des données d’un CRM, faire du provisioning utilisateur, gérer une messagerie interne ou automatiser des tâches back-office ? Symfony s’intègre — sans tout casser.

Pas une stack “plug & play”. Une stack plug & maîtrisable.

Une équipe backend senior, un besoin de gouvernance

Quand vous avez des devs expérimentés, ce qu’il leur faut, c’est un cadre puissant, pas limitant.

Avec Symfony, ils peuvent structurer, factoriser, anticiper. Sans brider leur expertise.

Un bon outil entre de bonnes mains — c’est ça, le pari Symfony.

Mais Symfony n’est pas la réponse à tout

Oui, Symfony est puissant. Mais non, ce n’est pas toujours le bon choix.
On l’adore pour sa robustesse. On sait aussi reconnaître quand il freine plus qu’il n’accélère.

Voici 3 cas où on ne pose pas Symfony — ou plus rarement.

Un MVP à sortir vite, avec un périmètre simple

Vous avez 8 semaines. Un scope clair. Peu de logique métier.
L’objectif : sortir une version testable, pas poser une archi modulaire.

👉 Dans ce cas, Laravel (plus rapide à configurer) ou Node.js (en full JS) permettent de livrer plus vite, sans se noyer dans la config.

Ce qu’on regarde : est-ce que la structure Symfony apporte une vraie valeur… ou juste de la friction ?

Un produit en test marché, destiné à pivoter

Vous êtes au stade de l’exploration. Hypothèses mouvantes. Parcours en évolution chaque semaine.

Symfony est solide. Mais sa rigidité naturelle peut freiner un MVP encore instable.

👉 Mieux vaut une stack légère, malléable, quitte à renforcer plus tard (et c’est ce qu’on fait souvent : MVP en Laravel ou Express, refonte clean en Symfony au moment du scale).

Une équipe jeune ou peu staffée

Symfony demande du senior. Pas parce que le code est compliqué. Mais parce que le cadre est exigeant : gestion des services, injection, config, testing, découpage propre…

Une équipe junior ou en sous-effectif risque de se perdre — ou de tordre le framework au lieu d’en tirer parti.

👉 Dans ce cas, poser Symfony trop tôt, c’est créer une dette déguisée.

💡 Ce qu’on retient : le bon choix technique, c’est celui qui tient dans le contexte réel. Pas sur le papier. Pas sur Stack Overflow. Dans votre équipe, votre planning, vos contraintes.

Conclusion — En 2025, Symfony n’a pas disparu. Il a juste été mal compris.

Symfony a longtemps été vu comme un framework de dinosaures. Trop lourd. Trop complexe. Trop rigide.

Mais en 2025, beaucoup d’équipes reviennent. Parce qu’en réalité, ce n’est pas un frein. C’est un cadre.Et dans un SI complexe, un logiciel critique, ou une app qui doit vivre 5 ans… ce cadre, il protège plus qu’il ne ralentit.

👉 Ce qu’on voit chez Yield : les produits qui tiennent dans la durée sont rarement ceux qui vont “le plus vite”. Ce sont ceux où le bon choix a été fait au bon moment — en alignant techno, équipe, et réalité projet.

Symfony n’est pas la stack du passé. C’est un socle solide — à condition de savoir pourquoi on le choisit. Et surtout : de savoir quand ne pas le poser.

Piloter un projet web avec l’agile : oui, mais pas n’importe comment
Dans cet article, on vous partage notre méthode terrain — pour vraiment faire de l’agile. Pas pour coller des post-its.
Cyrille
4/7/2025

Tout le monde parle d’agilité. Scrum, Kanban, daily, backlog, sprints… En 2025, rares sont les projets digitaux qui n’en revendiquent pas l’étiquette.

Et pourtant, 70 % des projets dits “agiles” échouent à tenir leurs objectifs de délai, de périmètre ou de valeur livrée. Pas à cause d’un mauvais framework. Mais parce que l’agilité est mal comprise — ou mal pilotée.

Faire “du Scrum” au sens théorique ne garantit rien. Enchaîner les cérémonies ne suffit pas. L’agilité n’est pas une to-do list processée : c’est une façon de penser le produit, de s’organiser pour livrer vite, et d’impliquer l’équipe… et les utilisateurs.

Chez Yield, on pilote chaque projet web complexe comme un produit. Cadré. Priorisé. Livré par petites itérations, testables, utiles.

Dans cet article, on vous partage notre méthode terrain — pour vraiment faire de l’agile. Pas pour coller des post-its.

👉 Cet article s’adresse à celles et ceux qui pilotent (ou s’apprêtent à piloter) un projet digital en contexte agile — que vous soyez PM junior, lead métier embarqué dans un projet web, ou CTO qui en a marre des “projets agiles” qui n’en ont que le nom.

Commencer par une phase de cadrage agile

L’agilité ne commence pas avec un sprint. Elle commence par un bon cadrage.

Trop de projets “agiles” lancent directement le développement sans avoir clarifié le problème à résoudre. Résultat : une backlog floue, des itérations peu utiles, et un produit final qui n’adresse pas le vrai irritant terrain.

Chez Yield, chaque projet démarre par une phase de Product Discovery, même en refonte ou en V2. C’est là qu’on aligne les fondamentaux :

  • Problème utilisateur : qu’est-ce qui bloque vraiment sur le terrain ?
  • Cap produit : quel objectif business veut-on atteindre ?
  • North Star Metric : comment va-t-on mesurer l’impact utile de ce qu’on construit ?
Retour d’XP – cadrer pour construire juste
“Sur un portail RH multisites, on pensait que les douleurs venaient du manque de fonctionnalités. Mais les interviews terrain ont révélé que 80 % des frictions venaient d’un seul flux : la validation des justificatifs.
En ciblant ce parcours, la V1 a réduit de 35 % les sollicitations manuelles dès la 4e semaine.”


Juliette, Product Manager chez Yield.

👉 L’agilité, ce n’est pas aller vite pour livrer “du code”. C’est aller vite dans la bonne direction. Et ça commence dès le cadrage.

Un backlog bien conçu, c’est 80 % du pilotage agile

Le backlog, ce n’est pas une “liste de fonctionnalités”. C’est la traduction vivante de la vision produit en actions concrètes. Il doit guider chaque sprint, chaque arbitrage.

Premier réflexe : écrire des user stories, pas des specs. Une bonne story, c’est un irritant utilisateur clairement formulé, un contexte, un objectif.
Exemple : “En tant que gestionnaire RH, je veux visualiser les absents de mon équipe pour planifier les remplacements.”
Pas : “Afficher un tableau des absences triables”.

Ensuite, on priorise. Pas à l’intuition, mais avec méthode. Chez Yield, on utilise souvent le scoring RICE : Reach, Impact, Confidence, Effort. Ce cadre évite les biais. Et surtout, il permet de dire non aux “fausses urgences” (ou à la roadmap du CEO).

💡Selon ProductBoard, les équipes qui priorisent avec RICE livrent 25 % plus de valeur perçue à 3 mois. Un backlog bien pensé, c’est un projet qui avance pour de vrai.

Structurer l’équipe projet : éviter les silos, créer une team produit

Une méthode agile ne tient pas sans une équipe bien structurée. Pas une addition de profils isolés, mais une vraie task force orientée produit.

Au centre, un trio de co-pilotage : Product Manager, Lead Dev, UX Designer. Ensemble, ils arbitrent, priorisent, tranchent.
Autour, l’équipe projet : développeurs, QA, UI, parfois le client côté métier. Chacun a un rôle clair, mais la responsabilité est partagée. Pas de “je fais ma partie, puis je passe le relai”.

👉 Ce qui compte : la capacité à décider ensemble, vite, sur la base d’un cap commun.

La logique studio appliquée chez Yield repose sur 3 principes :

  • Ownership collectif : pas de passivité, chaque profil porte le produit.
  • Transparence : tous les arbitrages sont visibles, compréhensibles.
  • Proximité client : le client n’est pas “invité” au projet, il en fait partie.

Et ça change tout : moins de frictions, moins de specs mortes, plus de décisions utiles.

Ce qu’on voit (encore) trop souvent : les anti-patterns de l’agilité

Même en 2025, certaines dérives freinent encore les projets :

  • Un backlog figé pour 6 mois
    L’agilité, c’est justement d’ajuster le cap au fil des retours terrain. Un backlog gelé devient un cahier des charges déguisé.
  • Aucun vrai utilisateur impliqué
    Sans feedback réel, vous avancez dans le flou. L’agilité ne vaut rien sans confrontation rapide à l’usage.
  • Des daily meetings devenus des réunions de reporting Le daily n’est pas un statut pour le chef de projet. C’est un point d’alignement entre pairs pour avancer ensemble.
  • Une équipe silotée (PO qui rédige, devs qui exécutent)
    L’agilité exige de la collaboration. Pas une chaîne de transmission figée, mais une équipe produit qui pense et décide ensemble.

Installer les rituels agiles : créer du rythme, pas de la réunionite

Une équipe agile ne fonctionne pas “à l’instinct”. Elle avance par petits incréments, structurés par des rituels précis — et utiles.

Pas besoin de tout le manuel Scrum. Juste ce qui permet d’aligner, prioriser, livrer sans se disperser :

  • Sprint planning : qu’est-ce qu’on livre cette semaine ? Qu’est-ce qui a de la valeur ?
  • Refinements : on prépare les prochains sprints, ensemble.
  • Sprint review : on montre ce qui est prêt, pas ce qui est “en cours”.
  • Sprint rétro : on prend 30 min pour s’améliorer. À chaque fois.
  • Et si l’équipe est distribuée : un daily court et ciblé, pour garder le cap.

👉 Objectif : créer du rythme, détecter les blocages tôt, et embarquer tout le monde dans une logique produit.

Retour d’XP - ritualiser pour mieux arbitrer
Sur un outil de planification logistique déployé sur 15 sites industriels, l’équipe client refusait au départ “de perdre du temps en réunions”.
En 3 semaines, le sprint review est devenu un rendez-vous clé : c’est là que les retours terrain arrivaient. Résultat : un ajustement critique identifié dès le Sprint 2, qui a évité 3 semaines de dev inutile. Et un client qui ne rate plus une démo.”


Juliette, Product Manager chez Yield.

Livrer vite, apprendre, ajuster : l’agilité, c’est du concret

L’agilité, ce n’est pas “faire des post-its”. C’est livrer rapidement une version utilisable, même partielle, pour apprendre avec les vrais utilisateurs.

La clé : le slicing vertical. Plutôt qu’un module entier (ex : “comptabilité”), on découpe un parcours utilisateurprioritaire (ex : “déclarer une dépense”).

Ce qui est livré doit être testable, utile, mesurable. Pas une maquette cliquable, un vrai bout de produit. Et à chaque itération, on réinjecte du feedback métier.

👉 Résultat : moins d’effet tunnel, plus d’apprentissage réel.

Retour d’XP – sortir une V1 utile, pas parfaite
“Sur un outil de suivi des non-conformités en industrie, on aurait pu passer deux mois à tout couvrir.
Mais le vrai irritant, c’était la déclaration initiale par les opérateurs.
On a découpé ce seul parcours, livré une V1 en 3 semaines — testée dès la 2e journée sur ligne de prod.
Résultat : 40 % de saisies manuelles en moins dès la première semaine.”


Clément, Lead Dev chez Yield.

Sécuriser la qualité tout au long du projet

Livrer vite, oui. Mais jamais au détriment de la fiabilité. En agile, la qualité n’est pas un sprint final : c’est un fil rouge.

Dès le départ, on installe les bons leviers :

  • Tests automatisés (unitaires, fonctionnels, end-to-end) pour fiabiliser les livraisons ;
  • CI/CD pour déployer en continu, sans stress ;
  • Feature flags pour activer/désactiver une fonctionnalité à la volée ;
  • Canary releases pour tester à petite échelle avant un déploiement global.

👉 L’objectif : détecter tôt, corriger vite, livrer souvent.

C’est aussi ce qui réduit les risques structurels. Moins d’effet tunnel, moins de dette, moins de bugs critiques en production.
Et surtout : plus de confiance dans l’équipe, dans le produit, dans le process.

💡 Selon GitLab, les équipes qui pratiquent l’intégration continue détectent et corrigent les bugs 60 % plus rapidement que les autres.

L’après MVP : piloter l’amélioration continue

Un MVP livré, ce n’est pas une fin. C’est un début.
En méthode agile, la vraie valeur se construit après la V1 — en écoutant le terrain, en priorisant les bons retours, en gardant un rythme soutenable.

On met en place :

  • des KPIs de suivi (adoption, usage, satisfaction) ;
  • des rituels réguliers : feedbacks utilisateurs, revues de roadmap, arbitrages fonctionnels ;
  • une équipe toujours en alerte pour livrer les bonnes évolutions, pas juste “la suite du backlog”.

🎯 Objectif : garder une logique produit vivante, en lien direct avec la réalité métier.

Retour d’XP – apprendre vite, itérer mieux
“Sur un outil de gestion d’interventions techniques, la première V1 a mis en lumière un problème inattendu : les techniciens n’avaient souvent pas de réseau.
On a itéré en 2 semaines avec un mode offline partiel. Résultat : +48 % d’usage terrain dès la mise à jour.”

Julien, Lead Dev chez Yield.

💡 Selon Pendo, 80 % des fonctionnalités ne sont jamais ou rarement utilisées. L’agile, bien pilotée, permet d’en éviter une bonne partie.

Conclusion — L’agilité, ce n’est pas une posture. C’est une méthode qui délivre.

Piloter un projet web en agile, ce n’est pas “faire des dailies” ou “travailler en sprint”.
C’est poser une méthode claire, aligner une équipe soudée, et livrer vite — pour apprendre, ajuster, construire un produit qui tient.

👉 Les clés :

  • cadrer avec une vraie discovery orientée usage ;
  • prioriser ce qui compte (pas ce qui brille) ;
  • avancer par incréments testables ;
  • livrer une V1 rapide, utile, utilisable ;
  • garder un cap produit… même après le MVP.

C’est exactement ce qu’on fait chez Yield : on n’implémente pas l’agile pour faire joli, on s’en sert pour sortir des produits qui marchent — vite, bien, et en équipe.

L’agilité n’est pas une mode. C’est une méthode redoutablement efficace pour livrer des projets complexes avec sérénité. Et surtout, pour construire des produits web qui ont de l’impact.

Échangeons sur votre projet !

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La réponse à vos questions

Pourquoi faire appel à une agence de développement web ?
Créer un bon logiciel, ce n’est pas juste une affaire de code. C’est une affaire de compréhension métier, d’arbitrages stratégiques et d’exécution sans faux pas.
Faire appel à une agence de développement web, c’est s’entourer d’une équipe capable de transformer un besoin business en produit numérique robuste, scalable et réellement utilisé. Chez Yield Studio, on ne se contente pas de livrer une app fonctionnelle. On co-construit un outil qui crée de la valeur dès le jour 1.
Concrètement, une agence spécialisée vous aide à :
- Cadrer le projet (objectifs, usages, contraintes) avant d’écrire une ligne de code.
- Concevoir des interfaces testées, validées, et adaptées aux vrais utilisateurs.
- Choisir les bonnes technos pour éviter la dette technique et favoriser l’évolutivité.
- Développer rapidement sans sacrifier la qualité, grâce à une organisation Lean & Agile.
Vous avez un projet SaaS à lancer ? Un outil interne à moderniser ? Une plateforme métier à créer from scratch ? Une agence de dev, c’est plus qu’un prestataire. C’est un partenaire produit.
Et quand 98 % des logiciels qu’on lance arrivent en production en moins de 3 mois, ce n’est pas un hasard. C’est une méthode.
Pourquoi votre application web doit-elle soutenir vos objectifs business ?
Une appli web qui ne sert pas votre business, c’est juste un budget cramé.
Chez Yield, on ne développe pas pour cocher des cases. On conçoit des outils qui résolvent un vrai problème métier. Gagner du temps. Générer du chiffre. Améliorer l’expérience utilisateur. Créer un avantage concurrentiel. Si l’outil ne sert pas ça, il ne sert à rien.
Trop d’applications sont pensées comme des projets IT. Résultat : peu d’usage, peu d’impact, beaucoup de frustration.
Notre approche ? Aligner le produit sur vos objectifs business dès le départ :
- Quel est le problème à résoudre ?
- Quel indicateur doit bouger ?
- Comment mesurer le succès du produit ?
Sans cet alignement, vous risquez de construire un outil lourd, mal utilisé, vite contourné. Avec lui, vous priorisez mieux, vous itérez plus vite, vous construisez une base solide.
Une bonne appli, ce n’est pas juste un code propre. C’est un outil qui pousse votre business dans la bonne direction.
Combien de temps pour créer une application web ?
Tout dépend de ce qu’on construit. Un outil interne avec peu d’écrans ? Quelques semaines. Une plateforme SaaS avec paiement, dashboard, et gestion des droits ? Plutôt 3 à 6 mois.
Chez Yield, on distingue trois phases clés :
- Cadrage & prototypage (2 à 4 semaines) : comprendre vos besoins, prioriser les fonctionnalités, prototyper, tester.
- Développement agile (6 à 12 semaines) : livraison itérative du produit avec feedback utilisateur en continu.
- Stabilisation & itérations (2 à 4 semaines) : débogage, optimisations, évolutions mineures.
Résultat : un MVP fonctionnel en production en moins de 3 mois dans 98 % des projets. Et surtout : pas de “tunnel de dev”, chaque sprint apporte de la valeur visible. Le bon réflexe ? Penser par itérations. Un projet web, ça ne s’arrête pas à la V1.
Combien coûte une application web ?
La vraie question, ce n’est pas combien ça coûte. C’est : combien ça rapporte ?
Une application bien pensée, c’est un gain de productivité, une meilleure expérience client, un relais de croissance. Le budget n’est pas une dépense, c’est un levier.
Chez Yield, on vous accompagne à partir de 40k€. Pourquoi ce seuil ? Parce qu’en dessous, on ne peut pas garantir la qualité, l’impact et la vitesse de livraison qui font notre force.
Le coût dépend de plusieurs facteurs :
-Complexité fonctionnelle : un MVP simple ou un outil métier sur-mesure ?
-Nombre d’utilisateurs : 50 personnes en interne ou une plateforme ouverte au public ?
- Intégrations : l’application doit-elle se connecter à votre ERP, votre CRM, des APIs externes ?
Notre approche : cadrer rapidement votre besoin avec un Product Design Sprint. En une semaine, vous repartez avec une vision claire, un prototype testable… et un devis argumenté.
Pas de promesse floue, pas de dérapage budgétaire. Juste un produit qui tient ses promesses – et son budget.
Quelles solutions de développement pour une application web ?
Tout dépend de ce que vous voulez construire. Et surtout : pourquoi.Vous créez un outil interne ? On privilégie la simplicité, la robustesse, la rapidité de dev.
Un SaaS à fort volume ? Place à l’architecture scalable, aux API bien pensées, à la perf serveur. Un portail B2B ? Sécurité, accès hiérarchisé, gestion fine des droits.
Les technos, on les adapte à l’usage.
On ne pousse pas une stack “parce qu’elle est à la mode”. On part de vos objectifs. On choisit ce qui tient dans le temps. Et on évite le syndrome de l’usine à gaz.Chez Yield, chaque ligne de code est alignée avec une contrainte réelle. Pas de techno gadget. Juste ce qu’il faut pour livrer vite, bien, et durable.
Comment rédiger un cahier des charges efficace pour son développement web ?
Un cahier des charges classique, c’est souvent 40 pages de specs figées… pour un projet qui évolue dès la première semaine. Résultat : perte de temps, incompréhensions, et refontes inutiles.
Chez Yield, on préfère cadrer autrement.
Un bon cahier des charges, c’est un point de départ stratégique, pas un document figé. Il doit répondre à trois questions clés :
- Quel problème métier doit-on résoudre ?
- Quelles sont les contraintes (techniques, juridiques, organisationnelles) ?
- Quel est le budget-cible pour créer de la valeur ?
Notre méthode ? Le Product Design Sprint. En 5 jours, on transforme votre idée en un prototype testé par de vrais utilisateurs, avec un backlog fonctionnel priorisé. Pas de superflu, juste l’essentiel. Vous repartez avec une vision claire, testée, validée, prête à être développée. Et ça, ça vaut tous les cahiers des charges du monde.
Quelle est votre méthodologie de développement ?
Pas de tunnel de dev de 6 mois. Pas de specs figées gravées dans le marbre. Notre approche est itérative, structurée… et orientée impact.

1. Comprendre les vrais besoins (1 à 3 semaines)
On part du terrain. Utilisateurs, enjeux métier, objectifs business : rien ne se code sans être compris.

2. Prototyper vite, tester tôt (2 à 5 semaines)
Un prototype cliquable, pas une maquette figée. Pour valider les parcours clés avec les bons utilisateurs.

3. Développer en sprint agile (7 à 15 semaines)
On priorise, on livre vite, on itère. Chaque sprint livre une version testable.

4. Améliorer et fiabiliser (1 à 3 semaines)
Tests utilisateurs, tests techniques, suivi analytique. On peaufine jusqu’à la mise en production.

👉 Résultat : un produit qui colle au besoin réel, mis en ligne rapidement, et prêt à évoluer.
Comment garantissez-vous la satisfaction de vos utilisateurs ?
On ne se contente pas de livrer des fonctionnalités. On construit des produits utiles, utilisés et adoptés.
Tout commence par une compréhension fine des usages. On mène des entretiens terrain, on observe les irritants, on challenge les besoins métiers.
Ensuite, on prototype vite pour tester les parcours avant même d’écrire une ligne de code.
Pendant le développement, on intègre les retours en continu. Chaque sprint est l’occasion d’ajuster, simplifier, améliorer.
Après la mise en ligne, on mesure l’usage réel : taux d’activation, frictions, comportements utilisateurs. Et on itère.
Qu’est-ce qui différencie votre code ?
Un bon produit, c’est aussi un bon code. Chez Yield, la qualité n’est pas une option, c’est un levier de vitesse.
On suit des standards stricts dès la première ligne : architecture modulaire, naming clair, tests automatisés, revues croisées systématiques.
Chaque projet est piloté par les DORA Metrics : fréquence de déploiement, délai de mise en prod, taux d’échec…
Résultat ? Un code propre, maintenable, scalable.
Pas de dette technique cachée. Pas de refonte dans 6 mois. Un bon code, c’est moins de bugs, plus de fluidité, et des évolutions qui ne cassent rien.
Comment assurez-vous un Time To Market rapide ?
Un bon logiciel livré trop tard… ne sert à rien.Chez Yield, on réduit le délai entre idée et mise en prod grâce à notre Lean Lab'® : design sprint express, cycles courts, itérations rapides. On priorise les fonctionnalités à forte valeur dès le départ, pour livrer un MVP en quelques semaines, pas en plusieurs mois. Le tout porté par une méthodologie agile, des feedbacks utilisateurs intégrés en continu et une automatisation des tests/déploiements. Moins d’allers-retours, plus d’impact. Vous avancez vite, sans sacrifier la qualité.
Quelles sont vos spécialités techniques ?
Pas de stack imposée. On choisit les bonnes technos pour les bons usages, selon votre produit, vos équipes et vos enjeux de scalabilité.
Nos technos phares :
- Next.js pour le SEO et les apps performantes côté front.
- Node.js pour les traitements temps réel et APIs légères.
- Laravel & Symfony pour des backends solides, structurés et maintenables.
- React & Vue.js pour des interfaces fluides, modulables, évolutives.Rust, Go ou Python selon les besoins spécifiques (performance, IA, scripting…).
Mais au-delà des outils, c’est la cohérence d’architecture et la qualité du code qui font la différence. On pense produit avant de penser techno.

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