AGENCE DE DÉVELOPPEMENT WEB

Lançons votre application web en un temps record.

Depuis 2019, notre culture Lean nous permet de mettre en production 98% des applications web de nos clients en moins de 3 mois, le tout avec un code de grande qualité.

Garantie

Améliorons votre expérience client ou collaborateur

Notre objectif n'est pas simplement de développer une liste de fonctionnalités. Nous visons l'adoption des utilisateurs et l'atteinte de vos objectifs business (augmentation de la productivité ou de la satisfaction clients, augmentation des ventes, ...).

Là où certaines agences suivent strictement le processus de développement et considèrent les besoins des utilisateurs ou le socle technique comme des contraintes, nous chez Yield Studio, on fait l'inverse.

Discutons de votre projet web dès maintenant
Confiance

Bénéficiez de notre recul pour vous challenger

Construire une application web performante est un levier stratégique essentiel pour accélérer votre transformation digitale. Son objectif ? Vous permettre de gagner en productivité, d'améliorer l'expérience utilisateur, ou encore de moderniser vos processus métiers pour booster votre croissance.

Avec plus de 6 ans d'expérience et 110 projets web développés, nous avons acquis une expertise solide pour anticiper les défis techniques, concevoir des architectures évolutives et garantir la scalabilité de vos projets.

Plus de 110 projets

web développés ou refondus par nos équipes pour des clients de toutes tailles.

Déjà 6 ans

que Yield Studio est un partenaire reconnu dans le développement d'applications web sur mesure.

Plus d'1 million

d'utilisateurs touchés chaque mois par les applications web que nous avons développées pour nos clients.

Dizaines de millions

de requêtes API sont faites chaque jour sur les applications de nos clients que nous maintenons

Pourquoi Yield Studio ?

Code de qualité

Nous écrivons un code de qualité dès le départ pour aller plus vite ensuite

Focus utilisateur

Nous identifions les fonctionnalités différenciantes pour les utilisateurs finaux

Time To Market

Nous mettons très rapidement en production les fonctionnalités grâce à notre Lean Lab’ ®

Compétence n°1

Création d’application web

Lancer une application web performante va bien au-delà du simple développement d’interface. Chez Yield Studio, nous vous accompagnons dès la conception pour créer des applications web sur mesure, qu’il s’agisse d’applications web métier pour automatiser vos processus internes et améliorer votre productivité, d’applications SaaS évolutives pensées pour répondre aux besoins spécifiques de vos utilisateurs, ou encore de sites web complexes offrant une expérience utilisateur optimisée grâce à une architecture robuste et une conception sur mesure.

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Compétence n°2

Refonte d’applications web

Une application vieillissante ou un site web obsolète peut freiner votre croissance. Nous vous aidons à moderniser vos applications en repensant leur architecture technique, en améliorant leurs performances, leur design et leur scalabilité. Notre approche se concentre sur la mise à jour de vos outils pour offrir une expérience utilisateur optimale tout en garantissant une maintenance simplifiée et une capacité d’évolution sur le long terme.

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Compétence n°3

Tierce Maintenance Applicative (TMA)

Un code mal structuré entraîne des bugs, des lenteurs et des dettes techniques qui peuvent nuire à l’efficacité de votre application. Nos experts réalisent des audits complets pour évaluer l’état de votre application, identifier les goulots d’étranglement, et proposer des améliorations concrètes.

Notre objectif : Vous garantir un code fiable, maintenable et prêt à évoluer sans friction. Grâce à une maintenance rigoureuse et proactive, nous veillons à ce que votre application reste performante et sécurisée au fil du temps.

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Cas Clients

Découvrez nos réalisations clients

Média Participations

Renfort de la DSI afin de permettre au groupe d'accélérer sa delivery et de former ses équipes à une nouvelle stack technique
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JPB Systeme

Création d'un SaaS ioT pour gérer les capteurs disposés sur des équipements
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Greenscope

Conception & Développement d'un Module IA au sein d'un SaaS
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Mémo de Vie

Refonte d'une plateforme web pour aider les victimes de violence afin d'augmenter le nombre d'utilisateurs (vue au JT de 20h TF1)
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BTP Consultants

DSI externalisée en charge de la création d’un socle applicatif et d'une application métier afin de réduire les coûts de maintenance et d'augmenter la productivité des équipes
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Fonctionnalités

Focus sur quelques fonctionnalités phares développées pour nos clients

Nous créons des fonctionnalités sur-mesure qui répondent aux besoins spécifiques de chaque projet web, qu’il s’agisse de plateformes SaaS, de logiciels métiers ou de sites complexes.

Portails client personnalisés : espaces sécurisés offrant des dashboards interactifs, accès aux données en temps réel, et outils de collaboration dédiés.
Systèmes de reporting avancés : génération de rapports dynamiques, visualisations de données complexes et exports personnalisés.
Automatisation de processus métiers : développement de workflows sur-mesure pour simplifier et optimiser vos processus internes.
Intégrations d’API & webhooks : connexion fluide avec vos ERP, CRM, solutions de paiement ou services tiers pour une interopérabilité totale.
Sécurité & Performance : systèmes de gestion des permissions, cryptage des données, monitoring des performances et maintenance proactive.
Franck JOUSSE
Directeur des Systèmes d'Information
Ce qui nous a intéressé chez Yield Studo c'est la vision qu'ils ont des transformations de l'entreprise et le mix entre la rigueur et la souplesse. Historiquement chez BTP Consultants la gestion de projet en mode agile a été compliquée, ils ont eu cette faculté et nous ont prouvé qu'eux y parvenaient avec leur approche. La collaboration au quotidien se passe super bien, les développeurs voient nos utilisateurs finaux. On a beaucoup d'intéractions au quotidien, on est dans une relation super saine et de confiance ! Les collaborateurs sont bienveillants et purement smarts dans leurs solutions, discussions, ... Et c'est rare sur le marché. Je recommande Yield Studio pour cette capacité à imaginer les produits, à être très concentré sur l'utilisateur final, à chercher le gain business ! Ils nous font vraiment progresser au quotidien.
Fonctionnement

Une approche en 5 phases

ETAPE 1

Compréhension utilisateur

Identification des problématiques de vos utilisateurs, de vos enjeux clés à travers l'écoute active et l'analyse de marché pour cadrer le projet.

1 à 3 semaines
ETAPE 2

Conception & Prototypage

Création de maquettes et prototypes interactifs, testés et améliorés grâce aux retours des utilisateurs pour garantir une solution répondant à leurs attentes.

2 à 4 semaines
ETAPE 3

Développement agile

Codage de votre application web en sprints d’une semaine, permettant des ajustements flexibles basés sur des tests en conditions réelles. A la fin de chaque sprint une revue est organisée ensemble.

6 à 12 semaines
ETAPE 4

Tests & améliorations

Assurer la qualité et la performance de l'application par des tests rigoureux en conditions réelles, en prenant en compte des retours pour des ajustements.

1 à 3 semaines
ETAPE 5

Itérations

Mettre votre produit en ligne et effectuer des itérations basées sur les retours, les datas et les évolutions du marché. Retour à l’étape 1 pour focus une autre problématique !

Nos experts en développement web

Alexandre
Développeur sénior
Timothée
Développeur sénior
Alexandre
Développeur sénior
Arthur
Développeur sénior
Adrien
Développeur sénior
Alexis
Développeur sénior
Jonathan
Lead Développeur
Louis
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Thibaut
Lead Développeur
Sergio
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Mathieu
Développeur sénior
Gabriel
Développeur sénior
James
Chief Technical Officer & Co-founder
Cyrille
Chief Product Officer & Co-Founder
David
Développeur sénior
Excellence

Engagés sur vos produits digitaux les plus critiques

Pourquoi tant d’applications sont livrées… mais jamais vraiment utilisées ?
On a créé Yield Studio en 2019 pour y répondre : un bon produit digital, c’est d’abord un usage, un impact, une adoption.
Oui, on aime le code de qualité — nos développeurs seniors y veillent chaque jour — mais toujours au service d’un objectif clair et mesurable.

+150

Produits digitaux construits pour des besoins B2B, B2C et internes

9,8/10

de NPS client depuis 2019. Nous construisons un partenariat sur la durée.

Expertises

Développement web & mobile

Product Management

Data & IA

Découvrez Cyrille ADAM
Co-fondateur & CPO

Blog

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Migration vers le Cloud : Le Guide Complet (AWS, Azure, GCP)
“Migrer vers le cloud”, ça sonne simple. En réalité, c’est là que beaucoup de projets se plantent. On ne déplace pas juste des serveurs : on change d’architecture, de gouvernance, et parfois… de culture technique.
David
28/11/2025

“Migrer vers le cloud”, ça sonne simple. En réalité, c’est là que beaucoup de projets se plantent. On ne déplace pas juste des serveurs : on change d’architecture, de gouvernance, et parfois… de culture technique.

Ce qu’on voit chez Yield :

  • des migrations “rapides” qui doublent la facture faute de FinOps ; 
  • des IAM ingérables qui ouvrent des failles ;
  • des architectures on-prem copiées-collées dans AWS, Azure ou GCP… et impossibles à maintenir.

👉Le cloud n’améliore pas un système fragile. Il en amplifie les défauts.

Dans ce guide, on remet de l’ordre : pourquoi migrer en 2025, comment choisir entre AWS/Azure/GCP, quelles approches fonctionnent vraiment, et comment migrer sans casser la prod ni exploser le budget.

Pourquoi migrer vers le Cloud en 2025 (et pourquoi ce n’est plus un sujet tech)

On migre rarement vers AWS, Azure ou GCP“pour “faire moderne”.
On migre parce que le système actuel limite le produit : trop lent, trop rigide, trop cher à faire évoluer - ou incapable d’absorber la croissance.

En 2025, les vraies raisons ressemblent à ça :

Scalabilité sans travaux forcés

Le cloud ne scale pas pour vous, mais il vous donne les outils pour absorber une montée en charge sans réécrire la moitié du système.

Auto-scaling, stockage distribué, réseaux globaux : ça change la trajectoire d’un produit qui croit vite.

Sécurité et conformité intégrées à la plateforme

Chiffrement, IAM granulaire, logs centralisés, rotation automatique : les fondations sont là, prêtes, auditables.

Le cloud ne sécurise pas à votre place, mais il vous permet d’atteindre un niveau qu’il est quasiment impossible de reproduire on-prem.

Résilience native, sans bricolage

Multi-AZ, redémarrage automatique, snapshots, reprise après incident : le “toujours-on” devient réaliste même pour une PME. Rien à voir avec les clusters bricolés qu’on voit encore on-prem.

Coûts pilotables (pas forcément plus bas, mais maîtrisables)

Le vrai avantage du cloud, ce n’est pas l’économie.
C’est le contrôle : on paie ce qu’on utilise, on surveille, on ajuste.
Le coût devient une variable du produit, pas un bloc fixe impossible à optimiser.

Accès immédiat aux briques modernes

C’est souvent la raison la plus sous-estimée : data pipelines, serverless, IA managée, edge, stockage distribué… Toutes ces capacités transforment la manière de concevoir un produit.

Pas besoin de monter une équipe “infra + ML + ops” : le cloud fournit des briques prêtes, fiables, intégrées.

📌 À retenir

Le cloud n’est pas magique.
C’est un amplificateur :

  • d’agilité si votre architecture est saine,
  • de dette si elle ne l’est pas.

C’est pour ça que la migration n’est plus un sujet tech.
C’est un sujet produit + architecture + gouvernance.

AWS, Azure, GCP : lequel choisir (et pour qui) ?

En 2025, les trois clouds se valent… sur le papier.
Dans la pratique, leurs forces ne sont pas les mêmes - et vos contraintes d’équipe, d’architecture et d’existant pèsent bien plus que le catalogue de services.

AWS - La boîte à outils la plus complète (et la plus exigeante)

AWS, c’est le couteau suisse du cloud :

  • services matures ;
  • documentation massive ;
  • intégrations solides partout.

Parfait si votre équipe a déjà une culture DevOps / IaC et veut tirer parti de briques avancées : Lambda, S3, ECS/EKS, DynamoDB, EventBridge…

Les plus : puissance, granularité, écosystème.
Les moins : pricing complexe, IAM très strict (et facile à mal configurer), learning curve rude.

👉 Le bon fit : scale-up tech-driven, SaaS moderne, produits data-heavy.

Azure - Le choix naturel des organisations Microsoft

Si votre SI tourne déjà autour de Microsoft (AD, Office 365, Teams, Intune…), Azure simplifie tout : gestion des identités, intégration réseau, sécurité centralisée, monitoring unifié.

C’est le cloud préféré des DSI “corporate”, avec un bon équilibre entre gouvernance, services managés et conformité.

Les plus : continuité Microsoft, IAM intégré, bon support entreprise.
Les moins : UX parfois inégale, catalogue riche mais moins homogène.

👉 Le bon fit : entreprises déjà Microsoft, apps métiers, organisations avec forte gouvernance interne.

GCP - Simplicité, data & ML en mode premium

GCP n’a pas le volume d’AWS, mais il excelle dans ce qui compte pour les produits modernes :

  • BigQuery pour l’analyse ;
  • Pub/Sub pour les architectures événementielles ;
  • Vertex AI pour l’IA managée ;
  • une ergonomie de console bien au-dessus des autres.

Les plus : data/ML, pricing lisible, DX agréable.
Les moins : écosystème plus réduit, moins d’intégrations “enterprise”.

👉 Le bon fit : produits data-centric, apps en temps réel, équipes qui veulent aller vite sans se noyer dans l’architecture.

💡 Règle Yield

Le bon cloud, c’est celui que vos devs, vos ops et votre DSI peuvent réellement opérer.

  • Si votre équipe est full JS/TS → AWS ou GCP fonctionnent très bien.
  • Si vous vivez dans Microsoft depuis 10 ans → Azure sera plus simple.
  • Si la data est votre cœur de valeur → GCP sera imbattable.

La migration se gagne sur la soutenabilité, pas sur le catalogue.

“Dans 80 % des migrations qu’on reprend, le problème ne vient pas du cloud choisi. Il vient d’un provider imposé sans regarder les compétences internes.Quand une équipe JS se retrouve à opérer Azure “parce que la DSI préfère”, la migration est déjà compromise.”
— Simon, Cloud Architect @ Yield Studio

Les 4 modèles de migration (et les pièges derrière chaque approche)

Dans la plupart des missions qu’on reprend chez Yield, le problème n’est pas AWS, Azure ou GCP : c’est le modèle choisi au départ.

Voici les quatre approches possibles… et leur réalité.

Lift & Shift : la tentation du “vite fait”

C’est l’approche la plus vendue, la plus rapide, et la plus risquée : déplacer l’infrastructure telle quelle.

En théorie, ça marche.
En pratique, on copie les mauvaises habitudes, on multiplie les coûts, et on ajoute de la dette technique dans un environnement plus complexe.

On l’a vu plusieurs fois :

  • une architecture monolithique copiée dans AWS ;
  • zéro optimisation réseau, zéro autoscaling, zéro rationalisation ;
  • et une facture x2 en trois mois.

🚨 Red flag

Si le principal argument pour un Lift & Shift, c’est “on n’a pas le temps”, c’est que vous allez payer l’addition plus tard - et plus cher.

Re-platforming : moderniser juste ce qu’il faut

C’est le modèle le plus sain pour 70 % des projets : on garde l’architecture générale, mais on remplace les briques sensibles par du managé. 

Pas de rupture, mais un vrai gain : bases SQL managées, stockage objet cloud, CI/CD automatisé, load balancer propre.

Ce qu’on constate à chaque fois :

  • moins d’ops ;
  • plus de stabilité ;
  • un terrain propre pour faire évoluer le produit après migration.

C’est la bonne approche quand le produit fonctionne… mais souffre d’un socle vieillissant.

Re-factoring : la migration qui sert la roadmap

Ici, l’objectif n’est plus “déplacer”, mais améliorer : découper un service, isoler une brique critique, introduire de l’event-driven, revoir la persistance ou la mise à l’échelle.

C’est un investissement, oui. Mais sur des produits qui évoluent vite, c’est la seule façon d’arrêter de se battre contre la dette technique.

“Un refactoring cloud réussi, ça se voit dans la maintenance : si vos coûts n’ont pas commencé à baisser au bout de 3 mois, c’est que vous avez juste déplacé le problème dans AWS.”
— Hugo, Engineering Manager @ Yield Studio

Re-build : quand continuer coûte plus cher que repartir

Parfois, la vérité est brutale : le legacy n’est plus rattrapable.
Trop de dépendances, trop de code mort, trop d’effets de bord.

Dans ces cas-là, repartir de zéro n’est pas un caprice technique, mais la seule décision rationnelle.

Mais on le dit clairement : c’est rare. Et ça ne fonctionne que si le cadrage est serré, la dette identifiée et la roadmap maîtrisée.

Ce qu’on voit sur le terrain

Dans les migrations qu’on accompagne, la répartition est presque constante :

  • le Lift & Shift fonctionne uniquement quand l’existant est déjà propre ;
  • le Re-platforming est le meilleur compromis dans la majorité des cas ;
  • le Re-factoring est rentable quand la roadmap est ambitieuse ;
  • le Re-build ne s’impose que pour les systèmes en fin de vie.

👉 Le modèle n’est jamais “technique”. C’est un choix stratégique : quelle valeur la migration doit créer, et à quel horizon ?

Préparer la migration : la phase la plus sous-estimée

Chez Yield, on insiste toujours sur un point : la migration se gagne en amont, pas dans Terraform ni dans les consoles AWS/Azure/GCP.

Et quand on récupère un projet qui a dérapé, les mêmes symptômes reviennent systématiquement.

On ne sait pas ce qu’on migre

Ça paraît absurde, mais c’est la cause numéro 1 des dérives.
Des services oubliés.
Des jobs cron cachés quelque part.
Des endpoints qui servent encore “un vieux client”.
Des secrets dans des fichiers qu’on pensait morts.

Une migration cloud, c’est d’abord une cartographie honnête : flux réseau, dépendances, volumes data, jobs planifiés, logs, certificats, environnements parallèles.

👉 Tant que tout ça n’est pas clair, chaque étape devient un pari.

La dette technique reste sous le tapis

Migrer un système fragile dans le cloud ne le rend pas plus robuste : ça le rend juste plus cher. Et plus difficile à diagnostiquer.

On fait toujours un tri avant de migrer :

  • code mort ;
  • configurations dupliquées ;
  • modules inutilisés ;
  • logs illimités ;
  • scripts bricolés.

Rien de glamour. Mais c’est ce qui fait la différence entre une infra cloud maîtrisée et un monolithe sous perfusion.

🚨 Red flag

Si vous “n’avez pas le temps” de nettoyer, la migration prendra deux fois plus longtemps et coûtera deux fois plus cher.

Le réseau est mal défini (et c’est souvent le premier mur)

VPC, subnets, NAT, règles inbound/outbound, peering, VPN, bastions…
Le réseau cloud n’a rien de magique : il est juste plus strict et plus explicite que l’on-prem.

Toutes les migrations douloureuses qu’on a vues avaient un point commun :

  • réseau bricolé dès le départ ;
  • IAM ouvert “provisoirement” ;
  • accès admin laissé trop longtemps.

On pose d’abord le squelette : isolation stricte, comptes séparés, permissions minimales, rotation automatique des credentials. Tout le reste s’appuie dessus.

L’infrastructure n’est pas décrite (IaC) → dette immédiate

Terraform, Pulumi, CDK… peu importe l’outil.
Mais sans Infrastructure-as-Code, une migration cloud devient ingérable.
Impossible de rejouer un environnement, impossible de tester, impossible d’auditer.

On met toujours toute l’infra cible en IaC avant de migrer un premier service.
C’est la base d’un cloud maintenable sur 3 à 5 ans.

Avant de migrer, il faut déjà observer

On ne migre pas un système qu’on ne mesure pas.
On installe l’observabilité (logs, métriques, traces) avant la migration.
L’objectif : connaître l’état normal du système pour savoir si quelque chose casse côté cloud.

Sur un projet logistique qu’on a migré vers Azure, la simple mise en place du monitoring avant migration a révélé :

  • 17 endpoints non utilisés ;
  • 2 scripts planifiés oubliés ;
  • une charge CPU x3 le lundi matin ;
  • un batch qui mettait 22 minutes de plus que prévu.

Tous ces points auraient explosé dans Azure… mais ce n’est plus une surprise quand on les voit venir.

Conclusion - Le cloud amplifie ce qui existe déjà

Migrer vers AWS, Azure ou GCP peut changer la trajectoire d’un produit… ou l’alourdir durablement. Le cloud ne corrige pas les faiblesses : il les rend plus visibles, plus rapides et souvent plus coûteuses.

Ce qui fait la différence, c’est la clarté de l’intention, la qualité de la préparation, et la capacité de l’équipe à opérer un système plus strict, plus explicite, plus exposé.

Une migration réussie tient en trois idées simples :

  1. comprendre pourquoi on migre ;
  2. choisir un modèle cohérent avec sa dette et sa roadmap ;
  3. exécuter progressivement, en observant tout ce qui bouge.

Chez Yield, c’est exactement ce qu’on construit : des migrations cloud propres, mesurables, et soutenables dans le temps.

👉 Vous préparez une migration vers AWS, Azure ou GCP ? On peut vous aider à cadrer vos choix, sécuriser votre architecture et éviter les pièges qui coûtent cher.

Pourquoi choisir un logiciel sur-mesure plutôt qu’un SaaS ?
Un SaaS, c’est parfait… tant que votre métier rentre dans son cadre. Dès que vos process deviennent spécifiques, il vous ralentit : rigidité, dépendance, coûts cachés, contournements.
Cyrille
25/11/2025

On connaît tous ce scénario : on a un besoin métier, on cherche “le meilleur SaaS”, on teste deux démos… et on choisit un outil qui fait 80 % du job. Au début, tout va bien.

Puis arrivent les 20 % restants : des workflows bricolés, des exports Excel pour contourner les limites, des intégrations cassées faute d’API, et une roadmap éditeur qui ne bougera pas dans votre sens.

Un SaaS, c’est parfait… tant que votre métier rentre dans son cadre. Dès que vos process deviennent spécifiques, il vous ralentit : rigidité, dépendance, coûts cachés, contournements.

Le sur-mesure, lui, fait souvent peur : plus engageant, plus coûteux au démarrage.
Mais sur un métier central, c’est parfois la seule façon de retrouver de l’efficacité, de s’intégrer proprement au SI, de maîtriser la donnée… et de créer un vrai avantage concurrentiel.

Chez Yield, on voit la bascule tous les jours : les entreprises passent au sur-mesure non par luxe, mais parce qu’elles n’avancent plus avec un SaaS générique.

👉 Dans cet article, on clarifie le vrai arbitrage : quand acheter, quand construire… et comment décider sans se tromper.

Les situations où un SaaS atteint ses limites

Le SaaS est parfait… tant que votre organisation rentre dans son cadre.
Mais dès que votre métier se complexifie, que vos process se singularisent ou que votre SI devient critique, le SaaS montre vite ses limites.

Voici 5 signaux faibles qui doivent vous alerter.

Votre métier évolue plus vite que le SaaS

Les éditeurs avancent selon leur roadmap, pas la vôtre.

Quand votre process change mais que la feature attendue n’arrive pas, vous compensez avec des Excel, des bypass et des bricolages internes.

👉 Si votre organisation avance plus vite que votre outil, vous êtes déjà contraint.

Vos process ne rentrent pas dans le moule

Les workflows spécifiques (multi-rôles, exceptions métier, règles complexes) déraillent vite sur un SaaS standard.

Résultat ? Vous adaptez votre façon de travailler à l’outil… au lieu de l’inverse.

Vos intégrations cassent ou deviennent impossibles

API limitées, endpoints manquants, quotas, connecteurs instables : le SaaS n’est jamais pensé pour votre SI. Dès que vous avez besoin d’un flux métier critique, vous découvrez que “ce n’est pas prévu par le produit”.

“Dans 30 % des projets qu’on récupère, l’éditeur SaaS avait promis une API ouverte. En réalité, on découvre trois endpoints et aucune garantie de stabilité. Tant que l’API n’est pas testée en condition réelle, vous n’avez aucune visibilité.”
— Hugo, Engineering Manager @ Yield Studio

Vous devenez dépendant de l’éditeur

Hausse de prix, stockage limité, roadmap opaque, restrictions d’export ou nouvelles conditions d’usage : vous ne maîtrisez rien.

👉 Un SaaS stratégique sans contrôle = un risque business, pas juste un irritant.

Vous atteignez les limites techniques (SLA, perf, sécurité)

Votre métier demande du temps réel, de la volumétrie forte ou des contraintes sectorielles (santé, finance, industrie). Un SaaS généraliste ne suit pas - parce qu’il n’a pas été conçu pour ça.

Le vrai coût d’un SaaS vs celui d’un sur-mesure

Le SaaS paraît économique : un abonnement clair, une mise en route rapide.
Mais le vrai coût n’est jamais celui indiqué sur le site. C’est tout ce qui gravite autour.

Dans la réalité, le SaaS est bon marché à l’entrée, et souvent très cher à l’usage.
Et le sur-mesure est plus cher à l’entrée, mais rarement le plus cher sur cinq ans.

Le coût récurrent vs le coût amorti

Avant même de comparer les modèles, il faut comprendre comment l’argent circule dans un SaaS versus un logiciel sur-mesure :

1 - SaaS : abonnement par utilisateur, par module ou par volume.
Une équipe qui passe de 20 à 80 personnes = x4 sur la facture, sans créer plus de valeur.
Beaucoup d’éditeurs augmentent leurs tarifs annuellement (entre +10 % et +30 %/an dans certains secteurs B2B).

2 - Sur-mesure : investissement initial + maintenance.
Le coût / utilisateur baisse mécaniquement à mesure que l’entreprise grandit.
Vous amortissez l’outil comme un actif (2 à 4 ans).

👉 Le SaaS scale en coût. Le sur-mesure scale en valeur.

Le coût des contournements (le poste que tout le monde sous-estime)

Chaque workaround pour rentrer dans le cadre du SaaS a un prix :

  • double saisie ;
  • étapes manuelles ajoutées ;
  • reporting bricolé en dehors du système ;
  • perte de temps opérationnelle.

C’est souvent le premier poste où les entreprises perdent plusieurs milliers d’euros par mois… sans s’en rendre compte.

“Ce qui coûte le plus cher, ce n’est jamais l’abonnement du SaaS : ce sont les heures perdues à contourner ses limites. Une équipe qui passe 10 h/semaine en Excel… c’est déjà un budget de sur-mesure sans s’en rendre compte.”
— Clara, Product Strategist @ Yield Studio

Le coût technique des limites

API partielle → devs additionnels
Fonction manquante → outils tiers à payer
Intégration impossible → middleware complexe
Export restreint → dépendance totale

👉 Ce n’est pas l’abonnement qui coûte : ce sont les conséquences.

Le coût du changement d’outil (le vrai killer)

Changer de SaaS coûte :

  • extraction facturée ;
  • migration complexe ;
  • perte d’historique ;
  • nouvel onboarding des équipes ;
  • coexistence temporaire des deux outils.

Un sur-mesure évolutif, lui, ne se remplace pas : il se fait grandir.

Ce que permet le sur-mesure que le SaaS ne permettra jamais

Un SaaS peut être excellent pour standardiser. Mais personne ne gagne un avantage concurrentiel avec le même outil que ses concurrents.

Le sur-mesure, lui, crée un écart. Un fossé. Parfois même une barrière à l’entrée.

Voici ce que le SaaS ne fera jamais pour vous, et que le sur-mesure rend possible.

Transformer votre workflow en avantage concurrentiel

Un SaaS impose un fonctionnement “moyenne du marché”.
Le sur-mesure, c’est l’inverse : il épouse votre métier.

Vous pouvez :

  • automatiser exactement vos process internes ;
  • supprimer des étapes (pas “configurer des bypass”) ;
  • créer une UX taillée pour vos users, pas pour 10 000 entreprises.

👉 Moins d’erreurs, plus de vitesse, et un savoir-faire incorporé dans votre outil - pas copiable.

Faire évoluer l’outil au rythme du métier

Un SaaS suit la roadmap de l’éditeur.
Le sur-mesure suit la vôtre.

Nouveau besoin ? Nouvelle règle métier ? Nouveau produit ?
Pas besoin d’attendre un “Q3 Release Notes”. Vous faites évoluer quand et comme vous voulez.

S’intégrer parfaitement à votre SI

Un SaaS vous dit : “Voilà l’API. Débrouillez-vous.”
Le sur-mesure : “Quelles sont vos contraintes SI ? On s’adapte.”

Vous contrôlez :

  • les flux ;
  • les environnements ;
  • les dépendances ;
  • les accès ;
  • la logique d’intégration.

👉 C’est ce qui permet d’éviter les tunnels Excel, les exports sauvages, les contournements bricolés.

Posséder votre code. Posséder vos données.

Le SaaS → vous êtes invité chez quelqu’un.
Le sur-mesure → vous êtes chez vous.

Propriété du code =

  • pas de verrouillage éditeur ;
  • pas de migration forcée ;
  • pas d’augmentation de prix subie ;
  • un actif qui prend de la valeur dans votre bilan.

Scaler sur mesure

Un SaaS doit être rentable pour tout le monde → limitations, plans tarifaires, plafond d’usage.
Un sur-mesure scale comme vous : plus d’utilisateurs, plus de charge, plus de pays → l’outil suit sans renégocier un abonnement.

Comment choisir entre SaaS et sur-mesure (la méthode Yield en 5 questions)

La plupart des entreprises tranchent entre SaaS et sur-mesure… au feeling.
Ou en comparant un abonnement à un budget projet (ce qui revient à comparer des pommes et des serveurs).

Chez Yield, on utilise toujours la même grille d’analyse.
En 5 questions, on voit très vite si un SaaS va tenir la route… ou si le sur-mesure vous évitera trois ans de contournements et de dette organisationnelle.

1) Votre process est-il standard… ou différenciant ?

C’est la question la plus stratégique. Avant de parler techno, on parle métier : votre workflow est-il commun… ou votre valeur vient-elle justement de la façon dont vous travaillez ?

👉 Si votre process est standard, un SaaS fait le job. Simple, rapide, économique.
👉 Si votre process vous rend unique, le SaaS devient un frein : il vous uniformise.

💡 Règle simple : 

Plus votre métier est spécifique, plus le sur-mesure protège votre avantage concurrentiel.

2) Votre SI peut-il absorber les contraintes du SaaS ?

Chaque SaaS arrive avec son package : modèle de données, API plus ou moins ouvertes, règles d’accès, logique d’onboarding, limites RGPD, etc.

Avant de choisir, demandez-vous : qui s’adapte à qui ?

👉 Si c’est votre SI qui doit se tordre pour rentrer dans le moule du SaaS, le coût invisible explose : migrations forcées, flux bricolés, sécurité bancale.
👉 Si votre SI peut accueillir le SaaS sans violence, alors le match est jouable.

⚠️ Attention 

Si c’est le SaaS qui dicte votre architecture, c’est non.

3) Votre métier demande flexibilité… ou stabilité ?

Un SaaS évolue au rythme de l’éditeur.
Un sur-mesure évolue au rythme de votre métier.

La vraie question : votre outil devra-t-il bouger tous les mois ?

👉 Si oui, un SaaS devient vite trop lent, trop rigide.
👉 Si non, un sur-mesure n’apportera pas plus de valeur qu’il n’en coûte.

En clair : SaaS pour les métiers stables ; sur-mesure pour les métiers en mouvement permanent.

4) Votre coût total d’usage explose-t-il ?

Beaucoup d’entreprises comparent uniquement l’abonnement SaaS au coût de développement custom.
C’est une erreur.

Le vrai critère, c’est le coût réel de l’usage, qui inclut :

  • les licences ;
  • les contournements ;
  • les exports à la main ;
  • les limitations d’API ;
  • les pertes de productivité ;
  • les intégrations impossibles ou instables.

Quand les licences passent de 500 €/mois à 4 000 € en 18 mois, ou que vos équipes passent 10 h/semaine à compenser les limites, c’est que vous payez trois fois : en argent, en temps, en irritants.

👉 Si le TCO (total cost of ownership) grimpe, le sur-mesure devient vite l’option la plus rentable.

5) Votre avantage métier dépend-il (au moins en partie) de votre outil ?

C’est la question que très peu d’entreprises osent se poser.

Si votre outil structure votre savoir-faire, votre offre, votre qualité de service, votre efficacité opérationnelle… alors ce n’est pas une dépense IT.
C’est un actif stratégique.

Et un actif stratégique ne se loue pas.
Il se construit, il s’adapte, il se possède.

👉 Si votre valeur passe par votre outil, le sur-mesure est un investissement - pas un coût.

Conclusion - Le sur-mesure n’est pas un luxe, c’est un levier

Choisir entre SaaS et sur-mesure, ce n’est pas choisir entre simple et compliqué.
C’est choisir entre subir un outil… ou en faire un avantage métier.

Le SaaS reste imbattable quand votre besoin est standard, stable, bien balisé.
Mais dès que votre valeur dépend de votre manière de travailler, dès que les contournements s’accumulent, dès que les intégrations coincent, le SaaS devient un plafond de verre.

Le sur-mesure, lui, ne remplace pas tout : il remplace ce qui compte.
C’est ce qui vous permet d’aligner votre outil sur votre métier, pas l’inverse.
Et dans beaucoup d’entreprises, c’est ce qui fait la différence entre un process qui patine… et un process qui crée de la valeur.

👉 Vous hésitez entre SaaS et sur-mesure pour un outil métier ? Parlons-en.
On vous aide à analyser votre contexte, vos contraintes, vos coûts cachés… et à choisir la solution qui sert vraiment votre business, pas celle qui semble la plus simple sur le papier.

Comment choisir une agence de développement web ?
Dans cet article, on met les mains dans le cambouis : comment éviter les mauvaises agences, repérer les bonnes, comparer deux propositions sans être dev… et surtout choisir un partenaire qui ne fera pas exploser votre budget (ni votre produit).
Cyrille
21/11/2025

Vous avez un projet. Un vrai. Pas un site vitrine cloné sur un template. Et là, l’aventure commence : vous tapez “agence développement web”... et vous découvrez 200 prestataires qui disent tous la même chose.

Résultat ? Vous choisissez au feeling, au prix, au portfolio… et parfois vous découvrez trop tard que l’agence ne challenge rien, ne comprend pas votre métier, sous-traite tout, ou vous vend ce qu’elle sait faire - pas ce dont vous avez besoin.

Chez Yield, on récupère souvent des projets mal embarqués : specs floues, dette technique, refonte trop tôt ou trop tard, livrables impossibles à maintenir.

👉 Dans 80 % des cas, le problème n’était pas le projet… mais le choix de l’agence web.

Dans cet article, on met les mains dans le cambouis : comment éviter les mauvaises agences, repérer les bonnes, comparer deux propositions sans être dev… et surtout choisir un partenaire qui ne fera pas exploser votre budget (ni votre produit).

Les erreurs qui font dérailler 70 % des projets

Avant de chercher “la bonne agence web”, il faut surtout éviter les mauvaises.
Celles qui mettent votre projet dans le mur - parfois avant même la signature.

Voici les red flags qu’on voit encore trop souvent :

L’agence qui dit oui à tout

Vous présentez votre idée, et…
“Oui c’est faisable.”
“Oui on tient le délai.”
“Oui, oui, oui.”

👉 Une bonne agence challenge, priorise, recadre.
Si tout est validé sans question, c’est que personne ne réfléchit au vrai besoin.

Aucun cadrage avant devis

Un devis posé sans comprendre :

  • votre métier ;
  • vos utilisateurs ;
  • vos contraintes internes ;
  • vos flux, données, dépendances.

C’est un devis… au hasard.
Et derrière, ce sont des dépassements budgétaires inévitables.

La techno imposée sans justification

“On fait ça en Laravel / Symfony / React / Next, parce qu’on maîtrise.”
Oui, et ?

👉 Une agence doit expliquer pourquoi cette stack est adaptée à VOTRE contexte, pas au leur.

Une équipe opaque

On vous parle d’un lead dev senior… et vous découvrez trois mois plus tard que tout est sous-traité à l’autre bout du monde.

Si vous ne savez pas qui va coder, rien n’est maîtrisé.

Pas de vision produit

Une agence qui développe ce qu’on lui demande = dette technique assurée.
Vous ne cherchez pas un bras, vous cherchez un cerveau.

Comment reconnaître une bonne agence dès la première discussion

Le premier rendez-vous révèle 80 % de ce que l’agence vaut réellement.
Pas avec son portfolio. Avec sa façon de réfléchir.

Voici les signaux qui ne trompent pas.

Elle cherche à comprendre votre métier avant vos fonctionnalités

Une agence faible commence par : “Vous voulez quoi dans votre application ?”

Une bonne agence commence par :

  • “Quel problème on doit résoudre ?”
  • “Qui va utiliser le produit ?”
  • “Qu’est-ce qui bloque aujourd’hui ?”
  • “Qu’est-ce qu’une réussite représente pour vous ?”

👉 Si on ne parle pas usage, irritants, process… c’est un mauvais départ.
Une agence qui ne comprend pas le métier développe à l’aveugle.

Elle challenge vos idées (avec des arguments, pas des opinions)

Un bon partenaire dit non quand c’est nécessaire.

Et surtout, il explique :

  • pourquoi une feature est inutile ;
  • pourquoi une complexité est disproportionnée ;
  • pourquoi un découpage est dangereux ;
  • pourquoi une intégration est risquée.

👉 Si l’agence ne vous oppose rien → elle vous laisse vous tromper.

Elle pose les bonnes questions techniques (celles que vous ne voyez pas venir)

Les vraies questions d’une agence solide portent sur :

  • les dépendances (API, SI, data) ;
  • les contraintes légales ou métier ;
  • l’onboarding des utilisateurs ;
  • les flux critiques et les exceptions ;
  • l’existant technique (et ses limites).

👉 Une agence qui ne cherche pas les dépendances construit un château de cartes.

“Quand une agence ne pose aucune question sur les dépendances - API, authentification, dataflows - c’est un warning massif. Sur un projet, on a repris une intégration CRM… qui n’avait jamais été testée en amont. Résultat : 40 % du budget parti en correctifs. Une bonne agence identifie ces bombes avant même le devis.”
Hugo, Engineering Manager @ Yield Studio

Elle parle risques avant de parler prix

Une agence mature dit : “Voici ce qui peut coincer. Voici comment on le réduit. Voici les zones d’incertitude.”

Une agence dangereuse dit : “Tout est faisable.”

👉 Le risque assumé est un signe de sérieux.
L’absence de risque ? Un signe d’incompétence.

Elle parle valeur avant de parler livrables

La mauvaise agence : “On vous développe A, B, C.”

La bonne agence : “On isole ce qui crée le plus d’impact pour la V1, et on dépriorise le reste.”

Elle cherche le résultat, pas la liste de courses.

Comment les départager après coup (sans être développeur)

Une fois les rendez-vous passés, tout le monde semble bon, tout le monde “comprend votre besoin”, tout le monde “a l’habitude”. C’est là que 90 % des entreprises se trompent : elles comparent les prix, pas les signaux faibles.

Voici ce que les bonnes agences révèlent… et que les mauvaises ne peuvent pas cacher.

La capacité à réduire l’incertitude

Demandez-vous : “Est-ce que cette agence a rendu mon projet plus clair… ou juste moins cher ?”

Les bonnes agences :

  • identifient les points flous ;
  • vous disent ce qu’il manque pour cadrer ;
  • posent les questions que personne n’avait vues venir ;
  • transforment un périmètre flou en choix tranchés.

Les autres ? Elles retirent des blocs dans le devis pour s’aligner sur le budget.

Le degré de précision

Un bon devis ne cherche pas à être joli. Il cherche à être opérationnel.

À regarder :

  • Est-ce qu’on comprend exactement ce qui sera livré ?
  • Est-ce qu’on voit les zones d’incertitude ?
  • Est-ce qu’on connaît ce qui est hors scope ? (indispensable)
  • Est-ce qu’il y a une logique dans la découpe fonctionnelle ?

⚠️ À savoir

Tout ce qui n’est pas écrit… n’existe pas.
Beaucoup de conflits viennent de “mais on pensait que…”.

La cohérence techno-produit

Ne vous demandez pas “est-ce une bonne techno ?”

Demandez-vous : “Est-ce une techno cohérente avec mon contexte ?”

Critères à passer au crible :

  • Vos compétences internes peuvent-elles maintenir la stack ?
  • La techno est-elle standard ou exotique ?
  • L’agence explique-t-elle les limites de la solution, pas seulement ses avantages ?
  • La techno permet-elle d’évoluer ? ou vous enferme-t-elle ?

Le niveau de rigueur dans la gestion du risque

La vraie différence entre deux agences se voit ici : qu’est-ce qu’elles identifient comme risques, et qu’est-ce qu’elles proposent pour les contenir ?

Les bonnes agences :

  • listent les risques ;
  • donnent un plan d’atténuation ;
  • chiffrent l’impact potentiel ;
  • expliquent les dépendances (API, data, infra, métier).

Les mauvaises : “On verra en avançant.” (= ça va piquer.)

La vision post-livraison

Votre projet ne s’arrête jamais à la mise en prod.
Une bonne agence le sait et l’intègre dès le devis.

À vérifier :

  • comment sont gérés les correctifs ;
  • comment ils assurent la continuité si un dev quitte l’équipe ;
  • comment ils documentent ;
  • comment ils préparent les évolutions ;
  • comment ils suivent la dette technique.

👉 Une agence qui ne parle pas maintenance pense court terme, pas produit.

Comment décrypter une proposition d’agence web

Une proposition révèle tout : la compréhension réelle de votre besoin… et les angles morts. Voici comment la lire pour savoir si l’agence va vous mener loin (ou droit dans le mur).

Le périmètre : ce qui est écrit… et ce que ça veut dire en vrai

Ce que vous lisez dans une proposition : “Développement d’un espace client avec tableau de bord, gestion des utilisateurs, notifications, et back-office.”

👉 Ce que vous devez vous demander : “OK, mais comment ils définissent ces fonctionnalités ?”

Concrètement, vérifiez s’il y a :

  • une définition concrète de l’usage (pas juste un titre de module) ;
  • les limites de chaque fonctionnalité ;
  • les prérequis techniques (qui fait quoi ?) ;
  • les exclusions.

💡 Comment interpréter ?

  • Si tout tient en 10 lignes → périmètre flou → explosion de budget.
  • Si les exclusions sont absentes → l’agence facturera en avenants.
  • S’il n’y a pas de prérequis → ils n’ont pas compris votre SI.

La découpe projet : valeur ou packaging ?

Beaucoup d’agences découpent comme ça : “Sprint 1 : login / Sprint 2 : dashboard / Sprint 3 : notifications / Sprint 4 : back-office.”

Ça, c’est une découpe par pages, signe d’une agence exécutante.

👉 Ce que vous devez chercher :

  1. Une découpe par scénarios d’usage (“Créer un compte et se connecter”, “Gérer une action critique”)
  2. Un MVP clairement identifié : “Ce qu'on doit absolument livrer pour que le produit fonctionne réellement”.

⚠️ Interprétation si ce n’est pas là :

  • l’agence n’a pas challengé vos besoins ;
  • la roadmap ne permettra pas de tester tôt ;
  • vous découvrirez trop tard que des flows critiques manquent.

Les hypothèses : la zone qui trahit tout

C’est la partie la plus importante, et 80 % des agences ne la mettent pas.

Exemple d’hypothèse que vous devriez voir :

  • “Les API du CRM exposent bien les endpoints X et Y.”
  • “La gestion des rôles se limite à admin / user.”
  • “Les données historiques ne sont pas à migrer.”
  • “La validation métier est faite sous 48h côté client.”

⚠️ Ce n’est pas écrit ? Le budget repose sur des hypothèses secrètes. Et les surprises arrivent… en plein sprint.

“L’hypothèse non dite, c’est le vrai coût caché. On a déjà vu un devis basé sur “les données sont propres et migrables”. En réalité : 12 ans d’historique, formats incohérents, doublons… 6 semaines de travail imprévues. Une proposition saine doit écrire noir sur blanc ce que l’agence suppose.”
Thomas, Lead Product Manager @ Yield Studio

Les dépendances : est-ce qu’ils ont compris votre SI ?

Si votre proposition ne mentionne aucune dépendance, posez-vous une question simple : “Ils l’intègrent où, exactement, leur produit ?”

👉 Vous devez absolument voir apparaître :

  • API tierces
  • outils existants
  • identités / SSO
  • RGPD / dataflows
  • limitations techniques actuelles
  • modules impactés

💡 Comment lire ça ?

  • Liste précise → ils ont analysé votre contexte.
  • Liste inexistante → ils ont imaginé un produit en laboratoire.
  • Liste floue → ils n’ont pas posé les bonnes questions lors du call.

Les risques : la section où vous devez voir leur courage

Une proposition mature inclut un tableau clair :

  • Risque identifié ;
  • Impact ;
  • Plan de mitigation.

🔍 Exemples de risques qu’on voit dans les vraies propositions Yield :

  • “API instable → prévoir retry + monitoring.”
  • “Spécifications partielles → cadrage à sécuriser avant dev.”
  • “Front existant vétuste → risque de compatibilité.”

Votre proposition ne parle d’aucun risque ? L’agence n’a pas assez d’expérience… ou préfère que vous découvriez les problèmes après signature.

Le budget : comment savoir si c’est cohérent

Ne regardez pas le montant. Regardez la logique du montant.

Un budget maîtrisé comporte :

  • une granularité raisonnable (ni trop vague, ni à la ligne de code) ;
  • un lien clair entre lots / coûts ;
  • les postes de coûts séparés (design, dev, QA, gestion) ;
  • ce qui n’est pas compris (hébergement, monitoring, maintenance).

💡Comment interpréter ?

  • Pas de ventilation → devis commercial, pas un budget réel.
  • Granularité excessive → ils vendent des jours, pas un produit.
  • Montant trop bas → ils comptent se rattraper en avenants.

Le post-livraison : la partie que 50 % des agences escamotent

Pourtant, c’est là que 90 % des problèmes apparaissent.

Vous devez voir apparaître :

  • phase de stabilisation (bugfix post prod) ;
  • modalités de maintenance ;
  • plan de monitoring / logs ;
  • transfert de connaissances ;
  • documentation.

Si rien n’est prévu, vous allez vous retrouver seul avec un produit instable.

Conclusion - Choisir une agence, c’est choisir la trajectoire de votre produit

Une agence de développement web, ce n’est pas une “boîte à devs”. C’est un partenaire qui influence votre budget, votre time-to-market, votre dette technique et, au final, la réussite de votre produit.

La bonne agence, ce n’est pas la moins chère, ni la plus bavarde : c’est celle qui comprend votre métier, challenge vos choix, sécurise les risques et construit avec vous - pas pour vous.

👉 Si vous voulez cadrer un projet, sécuriser votre roadmap ou simplement vérifier si votre besoin est bien compris, parlons-en. Chez Yield, on accompagne les entreprises pour construire des produits solides, utiles et qui tiennent dans le temps.

Échangeons sur votre projet !

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La réponse à vos questions

Pourquoi faire appel à une agence de développement web ?
Créer un bon logiciel, ce n’est pas juste une affaire de code. C’est une affaire de compréhension métier, d’arbitrages stratégiques et d’exécution sans faux pas.
Faire appel à une agence de développement web, c’est s’entourer d’une équipe capable de transformer un besoin business en produit numérique robuste, scalable et réellement utilisé. Chez Yield Studio, on ne se contente pas de livrer une app fonctionnelle. On co-construit un outil qui crée de la valeur dès le jour 1.
Concrètement, une agence spécialisée vous aide à :
- Cadrer le projet (objectifs, usages, contraintes) avant d’écrire une ligne de code.
- Concevoir des interfaces testées, validées, et adaptées aux vrais utilisateurs.
- Choisir les bonnes technos pour éviter la dette technique et favoriser l’évolutivité.
- Développer rapidement sans sacrifier la qualité, grâce à une organisation Lean & Agile.
Vous avez un projet SaaS à lancer ? Un outil interne à moderniser ? Une plateforme métier à créer from scratch ? Une agence de dev, c’est plus qu’un prestataire. C’est un partenaire produit.
Et quand 98 % des logiciels qu’on lance arrivent en production en moins de 3 mois, ce n’est pas un hasard. C’est une méthode.
Pourquoi votre application web doit-elle soutenir vos objectifs business ?
Une appli web qui ne sert pas votre business, c’est juste un budget cramé.
Chez Yield, on ne développe pas pour cocher des cases. On conçoit des outils qui résolvent un vrai problème métier. Gagner du temps. Générer du chiffre. Améliorer l’expérience utilisateur. Créer un avantage concurrentiel. Si l’outil ne sert pas ça, il ne sert à rien.
Trop d’applications sont pensées comme des projets IT. Résultat : peu d’usage, peu d’impact, beaucoup de frustration.
Notre approche ? Aligner le produit sur vos objectifs business dès le départ :
- Quel est le problème à résoudre ?
- Quel indicateur doit bouger ?
- Comment mesurer le succès du produit ?
Sans cet alignement, vous risquez de construire un outil lourd, mal utilisé, vite contourné. Avec lui, vous priorisez mieux, vous itérez plus vite, vous construisez une base solide.
Une bonne appli, ce n’est pas juste un code propre. C’est un outil qui pousse votre business dans la bonne direction.
Combien de temps pour créer une application web ?
Tout dépend de ce qu’on construit. Un outil interne avec peu d’écrans ? Quelques semaines. Une plateforme SaaS avec paiement, dashboard, et gestion des droits ? Plutôt 3 à 6 mois.
Chez Yield, on distingue trois phases clés :
- Cadrage & prototypage (2 à 4 semaines) : comprendre vos besoins, prioriser les fonctionnalités, prototyper, tester.
- Développement agile (6 à 12 semaines) : livraison itérative du produit avec feedback utilisateur en continu.
- Stabilisation & itérations (2 à 4 semaines) : débogage, optimisations, évolutions mineures.
Résultat : un MVP fonctionnel en production en moins de 3 mois dans 98 % des projets. Et surtout : pas de “tunnel de dev”, chaque sprint apporte de la valeur visible. Le bon réflexe ? Penser par itérations. Un projet web, ça ne s’arrête pas à la V1.
Combien coûte une application web ?
La vraie question, ce n’est pas combien ça coûte. C’est : combien ça rapporte ?
Une application bien pensée, c’est un gain de productivité, une meilleure expérience client, un relais de croissance. Le budget n’est pas une dépense, c’est un levier.
Chez Yield, on vous accompagne à partir de 40k€. Pourquoi ce seuil ? Parce qu’en dessous, on ne peut pas garantir la qualité, l’impact et la vitesse de livraison qui font notre force.
Le coût dépend de plusieurs facteurs :
-Complexité fonctionnelle : un MVP simple ou un outil métier sur-mesure ?
-Nombre d’utilisateurs : 50 personnes en interne ou une plateforme ouverte au public ?
- Intégrations : l’application doit-elle se connecter à votre ERP, votre CRM, des APIs externes ?
Notre approche : cadrer rapidement votre besoin avec un Product Design Sprint. En une semaine, vous repartez avec une vision claire, un prototype testable… et un devis argumenté.
Pas de promesse floue, pas de dérapage budgétaire. Juste un produit qui tient ses promesses – et son budget.
Quelles solutions de développement pour une application web ?
Tout dépend de ce que vous voulez construire. Et surtout : pourquoi.Vous créez un outil interne ? On privilégie la simplicité, la robustesse, la rapidité de dev.
Un SaaS à fort volume ? Place à l’architecture scalable, aux API bien pensées, à la perf serveur. Un portail B2B ? Sécurité, accès hiérarchisé, gestion fine des droits.
Les technos, on les adapte à l’usage.
On ne pousse pas une stack “parce qu’elle est à la mode”. On part de vos objectifs. On choisit ce qui tient dans le temps. Et on évite le syndrome de l’usine à gaz.Chez Yield, chaque ligne de code est alignée avec une contrainte réelle. Pas de techno gadget. Juste ce qu’il faut pour livrer vite, bien, et durable.
Comment rédiger un cahier des charges efficace pour son développement web ?
Un cahier des charges classique, c’est souvent 40 pages de specs figées… pour un projet qui évolue dès la première semaine. Résultat : perte de temps, incompréhensions, et refontes inutiles.
Chez Yield, on préfère cadrer autrement.
Un bon cahier des charges, c’est un point de départ stratégique, pas un document figé. Il doit répondre à trois questions clés :
- Quel problème métier doit-on résoudre ?
- Quelles sont les contraintes (techniques, juridiques, organisationnelles) ?
- Quel est le budget-cible pour créer de la valeur ?
Notre méthode ? Le Product Design Sprint. En 5 jours, on transforme votre idée en un prototype testé par de vrais utilisateurs, avec un backlog fonctionnel priorisé. Pas de superflu, juste l’essentiel. Vous repartez avec une vision claire, testée, validée, prête à être développée. Et ça, ça vaut tous les cahiers des charges du monde.
Quelle est votre méthodologie de développement ?
Pas de tunnel de dev de 6 mois. Pas de specs figées gravées dans le marbre. Notre approche est itérative, structurée… et orientée impact.

1. Comprendre les vrais besoins (1 à 3 semaines)
On part du terrain. Utilisateurs, enjeux métier, objectifs business : rien ne se code sans être compris.

2. Prototyper vite, tester tôt (2 à 5 semaines)
Un prototype cliquable, pas une maquette figée. Pour valider les parcours clés avec les bons utilisateurs.

3. Développer en sprint agile (7 à 15 semaines)
On priorise, on livre vite, on itère. Chaque sprint livre une version testable.

4. Améliorer et fiabiliser (1 à 3 semaines)
Tests utilisateurs, tests techniques, suivi analytique. On peaufine jusqu’à la mise en production.

👉 Résultat : un produit qui colle au besoin réel, mis en ligne rapidement, et prêt à évoluer.
Comment garantissez-vous la satisfaction de vos utilisateurs ?
On ne se contente pas de livrer des fonctionnalités. On construit des produits utiles, utilisés et adoptés.
Tout commence par une compréhension fine des usages. On mène des entretiens terrain, on observe les irritants, on challenge les besoins métiers.
Ensuite, on prototype vite pour tester les parcours avant même d’écrire une ligne de code.
Pendant le développement, on intègre les retours en continu. Chaque sprint est l’occasion d’ajuster, simplifier, améliorer.
Après la mise en ligne, on mesure l’usage réel : taux d’activation, frictions, comportements utilisateurs. Et on itère.
Qu’est-ce qui différencie votre code ?
Un bon produit, c’est aussi un bon code. Chez Yield, la qualité n’est pas une option, c’est un levier de vitesse.
On suit des standards stricts dès la première ligne : architecture modulaire, naming clair, tests automatisés, revues croisées systématiques.
Chaque projet est piloté par les DORA Metrics : fréquence de déploiement, délai de mise en prod, taux d’échec…
Résultat ? Un code propre, maintenable, scalable.
Pas de dette technique cachée. Pas de refonte dans 6 mois. Un bon code, c’est moins de bugs, plus de fluidité, et des évolutions qui ne cassent rien.
Comment assurez-vous un Time To Market rapide ?
Un bon logiciel livré trop tard… ne sert à rien.Chez Yield, on réduit le délai entre idée et mise en prod grâce à notre Lean Lab'® : design sprint express, cycles courts, itérations rapides. On priorise les fonctionnalités à forte valeur dès le départ, pour livrer un MVP en quelques semaines, pas en plusieurs mois. Le tout porté par une méthodologie agile, des feedbacks utilisateurs intégrés en continu et une automatisation des tests/déploiements. Moins d’allers-retours, plus d’impact. Vous avancez vite, sans sacrifier la qualité.
Quelles sont vos spécialités techniques ?
Pas de stack imposée. On choisit les bonnes technos pour les bons usages, selon votre produit, vos équipes et vos enjeux de scalabilité.
Nos technos phares :
- Next.js pour le SEO et les apps performantes côté front.
- Node.js pour les traitements temps réel et APIs légères.
- Laravel & Symfony pour des backends solides, structurés et maintenables.
- React & Vue.js pour des interfaces fluides, modulables, évolutives.Rust, Go ou Python selon les besoins spécifiques (performance, IA, scripting…).
Mais au-delà des outils, c’est la cohérence d’architecture et la qualité du code qui font la différence. On pense produit avant de penser techno.

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