AGENCE DE DESIGN UX/UI

Créons des expériences uniques grâce au Product Design.

Nos experts UX/UI vous aident à construire des interfaces engageantes et des parcours utilisateurs optimisés afin d’assurer la performance et l'élégance de votre produit digital.

Méthodologie

Impliquer les utilisateurs dès le départ pour un produit qui fait la différence.

Chez Yield Studio, nous croyons qu'un bon produit se construit main dans la main avec ses utilisateurs. Dès les premières étapes de conception, nous les intégrons pour comprendre leurs besoins réels, valider nos hypothèses, et affiner chaque fonctionnalité.

En itérant constamment avec eux, nous réduisons considérablement les risques d'erreur et garantissons un développement centré sur la valeur ajoutée. Le résultat ? Un produit qui répond aux attentes dès sa sortie et qui maximise votre retour sur investissement.

Discutons de votre projet UX/UI dès maintenant
Confiance

Product Design orienté résultats, dès le départ

Chez Yield Studio, on ne se contente pas de faire du beau design. On conçoit des produits qui performent vraiment. Pour ça, on commence par définir des KPIs clairs et mesurables qui vont guider tout le processus : de la recherche utilisateur aux prototypes testés sur le terrain, jusqu’aux itérations qui garantissent un produit qui marche vraiment.

Que ce soit pour une application web, mobile ou un logiciel métier complexe, chaque décision est prise dans l’optique d’optimiser l’adoption, améliorer l’expérience utilisateur et maximiser votre retour sur investissement. Notre approche, c’est du concret : des solutions qui vous apportent des résultats tangibles, dès leur déploiement, et qui évoluent avec vos besoins.

Plus de 110 projets

conçus grâce à notre Design System interne, qui réduit significativement le temps de développement.

Déjà 6 ans

que Yield Studio travaille sur des applications web, mobiles et logiciels conçus avec une approche centrée sur les KPIs.

Plus d'1 million

d'utilisateurs qui éprouvent des parcours optimisés, testés et validés par eux-mêmes.

Dizaines de millions

d'intéractions chaque jour sur des solutions scalables qui garantissent performance et fluidité.

Pourquoi Yield Studio ?

Code de qualité

Nous écrivons un code de qualité dès le départ pour aller plus vite ensuite

Focus utilisateur

Nous identifions les fonctionnalités différenciantes pour les utilisateurs finaux

Time To Market

Nous mettons très rapidement en production les fonctionnalités grâce à notre Lean Lab’ ®

Compétence n°1

Recherche & Stratégie UX

Comprendre vos utilisateurs est la base de tout projet réussi. Chez Yield Studio, nous débutons chaque mission par une recherche utilisateur approfondie : interviews, tests exploratoires, analyses de données… Notre objectif ? Identifier précisément les attentes, besoins et comportements de vos utilisateurs pour construire une stratégie UX solide qui guide toutes les décisions de conception. Cette phase critique permet de garantir des interfaces pertinentes, centrées sur l'utilisateur et alignées avec vos objectifs business.

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Compétence n°2

Conception d’interfaces

Créer des interfaces qui allient esthétique, performance et ergonomie, c’est notre spécialité. Grâce à notre Design System interne, nous concevons des interfaces modulaires, cohérentes et facilement évolutives. Chaque prototype est testé et affiné en fonction des retours utilisateurs avant d’être validé. Que ce soit pour une application web, mobile ou un logiciel métier, nous garantissons une expérience utilisateur fluide, intuitive et engageante qui maximise l’adoption.

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Compétence n°3

Tests utilisateurs & optimisations

L’itération est au cœur de notre méthode. Nous croyons fermement que chaque projet doit être testé, ajusté et perfectionné en continu. À chaque étape, nous recueillons des retours utilisateurs concrets pour affiner les interfaces, corriger les frictions et améliorer l’expérience globale. Cette démarche garantit un produit qui évolue efficacement avec ses utilisateurs et répond parfaitement à vos attentes stratégiques.

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Cas Clients

Découvrez nos réalisations clients

Média Participations

Renfort de la DSI afin de permettre au groupe d'accélérer sa delivery et de former ses équipes à une nouvelle stack technique
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Tkcare

Refonte d'une application mobile pour une agence d'intérim dans la santé
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Chronos Jobs

Création d'une application mobile et d'un back-office pour réseau d'agences d'intérim afin de réduire les temps de gestion administratifs
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Mémo de Vie

Refonte d'une plateforme web pour aider les victimes de violence afin d'augmenter le nombre d'utilisateurs réguliers
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BTP Consultants

DSI externalisée en charge de la création d’un socle applicatif et d'une application métier afin de réduire les coûts de maintenance et d'augmenter la productivité des équipes
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Travaux & Environnement

Création d'une application de gestion des équipes sur les chantiers afin de réduire le temps de gestion administratif
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CPZou

Création d’une application mobile pour Zou, acteur majeur du transport urbain et interurbain, afin d'augmenter le NPS voyageur
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Exemples

Enjeux stratégiques abordés

Nous avons accompagné nos clients sur des projets stratégiques où l’UX/UI faisait la différence :

Optimisation de l’expérience utilisateur — Simplifier les parcours complexes pour améliorer l’adoption et l’engagement.
Conception d’interfaces évolutives — Créer des designs modulaires adaptés aux évolutions produits.
Amélioration des taux de conversion — Affiner les interfaces pour maximiser l’efficacité des actions utilisateurs.
Rationalisation des processus métiers — Développer des interfaces qui fluidifient les opérations internes.
Amélioration continue par l’itération — Tester, ajuster, et perfectionner les designs en fonction des retours utilisateurs.
Félix BOLE
CTO
Extrêmement satisfait du travail effectué et du professionnalisme de votre prestation Product & Design. Félicitations pour ce résultat exceptionnel 🙂
Fonctionnement

Une approche en 5 phases

ETAPE 1

Récupération des besoins

Nous débutons par une analyse stratégique approfondie, où chaque besoin utilisateur est scruté à travers le prisme de vos objectifs business. C'est une quête rigoureuse de données qualitatives et quantitatives pour définir les user stories et les critères de succès de votre produit.

1 à 3 jours
ETAPE 2

Élaboration des wireframes

Les wireframes sont notre langage de conception fonctionnelle. Ils sont le fruit d'une réflexion poussée sur l'architecture de l'information et sur la hiérarchie visuelle, conçus pour orchestrer une navigation fluide et une interaction utilisateur sans faille.

2 à 4 jours
ETAPE 3

Construction d’un Design System

Nous bâtissons un système de design qui va au-delà de la cohérence esthétique. Il s'agit d'un écosystème de composants modulaires, conçu pour évoluer avec votre marque et faciliter le développement cross-platform en respectant les principes d'atomic design. Nous réutilisons notre boilerplate interne pour gagner du temps.

1 à 3 jours
ETAPE 4

Réalisation des maquettes

Nos maquettes sont des incarnations visuelles et interactives de la vision du produit. Ils servent de véhicules pour la validation des hypothèses UX, offrant un aperçu tangible de l'expérience utilisateur finie pour des tests utilisateurs poussés.

1 à 3 semaines
ETAPE 5

Tests & Itérations

La phase de test est cruciale : elle est menée avec rigueur pour collecter des insights actionnables, utilisant des méthodes comme les tests A/B, les heatmaps ou encore les entretiens d'usabilité. Les itérations qui en découlent sont basées sur des données réelles, pour peaufiner chaque interaction jusqu'à l'excellence.

Nos experts en Product Design

Priscille
Product Designer sénior
Nithusha
Product Designer
Anaïs
Product Designer
James
Chief Technical Officer & Co-founder
Cyrille
Chief Product Officer & Co-Founder
Excellence

Engagés sur vos produits digitaux les plus critiques

Pourquoi tant d’applications sont livrées… mais jamais vraiment utilisées ?
On a créé Yield Studio en 2019 pour y répondre : un bon produit digital, c’est d’abord un usage, un impact, une adoption.
Oui, on aime le code de qualité — nos développeurs seniors y veillent chaque jour — mais toujours au service d’un objectif clair et mesurable.

+150

Produits digitaux construits pour des besoins B2B, B2C et internes

9,8/10

de NPS client depuis 2019. Nous construisons un partenariat sur la durée.

Expertises

Développement web & mobile

Product Management

Data & IA

Yield Studio logo blanc

Découvrez Cyrille ADAM
Co-fondateur & CPO

Blog

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Accessibilité Web & Mobile : intégrer ARIA dans vos apps
Dans cet article, on vous montre quand et comment intégrer ARIA dans vos apps web ou mobiles
Cyrille
23/7/2025

L’accessibilité, tout le monde est pour. Mais dans les faits ? Trop souvent repoussée à plus tard. Ou traitée comme un correctif après-coup. Résultat : une app qui “fonctionne”, mais seulement pour une partie des utilisateurs.

Chez Yield, on conçoit des apps sur-mesure. Et à chaque fois, la même question revient : “Est-ce que ça fonctionne au clavier ? Est-ce que c’est compréhensible par un lecteur d’écran ?”

Dans une interface moderne, avec du JavaScript, du contenu dynamique, des composants custom, les balises HTML natives ne suffisent plus. C’est là qu’ARIA entre en jeu. 

Pas “pour faire joli dans l’audit RGAA”. Mais pour permettre à une app d’être vraiment utilisable, même sans souris, même sans la vue, même sans pointer précisément du doigt une case dans un sélecteur.

👉 Dans cet article, on vous montre quand et comment intégrer ARIA dans vos apps web ou mobiles :

  • pourquoi c’est essentiel pour les interfaces dynamiques ;
  • ce que ça ne fait pas (et les erreurs fréquentes) ;
  • comment l’utiliser à bon escient — sans surcharger vos composants ;
  • et surtout : comment l’ancrer dans vos pratiques produit, sans friction.

Prêt à rendre vos apps vraiment accessibles — sans y passer 3 mois ni dégrader l’expérience ?

Pourquoi intégrer ARIA n’est pas une option — surtout en webapp sur-mesure

Un bouton <button>, c’est reconnu. Un champ <input>, pareil. Mais vos composants maison — menu déroulant en <div>, modale custom, switch interactif — eux, ils ne disent rien aux lecteurs d’écran.

Résultat ? Une app qui “marche” pour les yeux… mais pas pour tout le monde.

ARIA (Accessible Rich Internet Applications), c’est ce qui permet de rendre explicite ce que votre code fait — quand le HTML ne suffit plus.

Pas une rustine. Un vrai langage de rôles, d’états, de relations, pour que vos composants soient perçus comme interactifs, compréhensibles et utilisables par toutes et tous.

👉 Ce qu’ARIA permet :

  • Donner un rôle clair à vos composants : role="dialog", role="switch", etc.
  • Lier des éléments ensemble (label, description, erreur)
  • Exposer des états dynamiques : ouvert, sélectionné, invalide…
  • Notifier un changement d’état sans rechargement (via aria-live)
Retour d’XP
“Sur une interface métier avec beaucoup de filtres, on avait customisé tous les menus — visuellement nickel, mais illisibles pour un lecteur d’écran.
On a intégré ARIA role + label + keyboard navigation en 2 sprints. Résultat : conformité renforcée, mais surtout, un vrai usage fluide pour les profils non-voyants testés ensuite.”

— Clément, Lead Dev @Yield

💡 À retenir

Si vous développez une app sur-mesure, vous construisez vos propres composants. ARIA, c’est ce qui garantit qu’ils seront compris — pas juste cliqués.

Les erreurs fréquentes avec ARIA — et comment les éviter

Intégrer ARIA, ce n’est pas “ajouter des attributs”. C’est rendre l’interface compréhensible pour une autre modalité d’usage — souvent non visuelle. Et mal utilisé, ARIA peut nuire plus qu’il n’aide.

Voici ce qu’on voit (encore) trop souvent sur les projets custom :

❌ Ajouter des rôles inutiles ou redondants

<button role="button">, <h1 role="heading">… ça n’apporte rien. Pire : ça surcharge l’accessibilité.

Rappel : si l’élément HTML natif porte déjà un rôle, ne le doublez pas.

❌ Détourner ARIA pour styliser

aria-disabled="true" sans disabled… et l’élément reste cliquable ?

ARIA ne change pas le comportement natif. C’est déclaratif, pas fonctionnel. Un aria-disabled="true" sans effet visuel ou logique, c’est trompeur.

❌ Oublier les relations

Un champ d’erreur visuellement rouge mais non lié à son input ? Invisible pour un lecteur d’écran.

Liez avec aria-describedby ou aria-errormessage. Et assurez-vous que le focus passe bien par là.

❌ Ignorer le focus clavier

Un élément interactif avec tous les rôles ARIA, mais pas atteignable au clavier ?

L’attribut tabindex="0" est souvent oublié. Et sans gestion du focus dynamique, la navigation reste pénible.

❌ Utiliser ARIA comme rustine d’un mauvais design

Un menu déroulant non accessible qui devient “aria-menu” avec trois attributs ? Ça ne suffit pas.

L’accessibilité commence par le design UX et l’usage des bons éléments HTML. ARIA vient compléter — pas compenser.

Les composants qui méritent (vraiment) un traitement ARIA spécifique

Pas besoin de barder toute votre app d’attributs ARIA. Mais certains composants complexes ou non natifs doivent impérativement être enrichis — sinon, ils restent inaccessibles.

Voici ceux sur lesquels on insiste systématiquement en projet :

Modales (Dialogues)

Un div affiché en overlay n’est pas une modale.

👉 On lui applique role="dialog" (ou alertdialog), on gère le focus (piégé dans la modale), et on indique l’élément de titre avec aria-labelledby.

Chez Yield, on force toujours un aria-describedby sur les modales à validation critique, pour expliciter le contexte (“Cette action est irréversible”).

Menus personnalisés (dropdowns, megamenus)

Un ul stylé ne suffit pas. Il faut gérer :

  • role="menu" et role="menuitem"
  • aria-expanded, aria-haspopup
  • une gestion du focus cohérente (flèches, échap, tab, etc.)

Composants d’onglets (tabs)

Les div empilées, masquées/affichées ? Illisibles sans rôles.

👉 On applique :

  • role="tablist" sur le conteneur
  • role="tab" sur chaque onglet
  • role="tabpanel" sur chaque contenu affiché
  • les bons aria-controls, aria-selected, tabindex, etc.

Autocomplétion & champs enrichis

Typeahead, recherche instantanée, select custom… tout ça doit être :

  • annoncé (aria-autocomplete, aria-activedescendant)
  • pilotable au clavier
  •  lisible via aria-live si le résultat est dynamique

Alertes et notifications dynamiques

Une toast ou alerte importante ne sert à rien si elle n’est pas perçue.

👉 role="alert" ou aria-live="assertive" : le contenu est lu à l’arrivée.

Retour d’XP
“Sur une app d’inscription grand public, les erreurs de formulaire étaient visuelles… mais pas annoncées à l’utilisateur. On a juste ajouté des aria-describedby et des zones role="alert" — et les taux de finalisation ont augmenté de 12 % en deux semaines.”

— Antoine, lead dev @Yield

👉 Une bonne accessibilité, ce n’est pas de la magie. C’est juste un produit qui parle à tout le monde.

Comment intégrer ARIA dans une équipe produit (sans complexifier)

L’accessibilité, ce n’est pas une couche qu’on ajoute à la fin. C’est une rigueur à poser dans la chaîne produit — sans alourdir.

Voici comment on l’intègre chez Yield, sans ralentir les équipes :

Dès le design : penser interaction, pas juste esthétique

Un composant, ce n’est pas qu’un visuel. 

Chaque UI doit répondre à trois questions :

  • Quel rôle joue-t-il (bouton, dialogue, alerte…) ?
  • Comment s’y accède au clavier ?
  • Où va le focus après action ?

On sensibilise les designers dès les wireframes — avec des checklists simples (“est-ce navigable au tab ?”, “y a-t-il une annonce screen reader ?”).

En dev : coder les bons attributs dès le composant

Une modale, un menu, un champ dynamique ? On intègre les bons role, aria-*, gestion de focus… dès le build.

Pas besoin d’en faire trop — juste de suivre les patterns fiables (WAI-ARIA, composants accessibles, etc.).

En QA : tester clavier + screen reader + outils

Un test clavier (tab, enter, escape), un coup d’Axe DevTools, un passage VoiceOver : ça prend 10 min, et ça détecte 80 % des oublis.

En maintenance : surveiller les effets de bord

Refacto de composant = risque d’accessibilité cassée.

On garde un test clavier minimal dans la checklist de merge.

Retour d’XP
“Sur une app logistique, un refacto anodin du menu a cassé la structure ARIA. Juste un aria-hidden="true"oublié sur un overlay — et le focus clavier restait bloqué. On l’a détecté avec un simple test clavier, pas besoin d’outil lourd.”

— Clément, QA @Yield

👉 L’accessibilité, c’est pas une expertise rare. C’est une rigueur produit — simple, reproductible, utile.

Conclusion — L’accessibilité, c’est du produit, pas du bonus

ARIA, ce n’est pas “pour plus tard”. C’est ce qui fait qu’une app est utilisable — par tout le monde, dans toutes les situations.

Et la bonne nouvelle, c’est que ça ne demande pas une refonte ni une expertise inaccessible : juste un peu de méthode, et de rigueur produit.

👉 Ce qu’on retient chez Yield :

  • penser accessibilité dès les maquettes, pas après ;
  • coder des composants accessibles par défaut (modal, menu, toggle…) ;
  • vérifier à chaque refacto qu’on n’a rien cassé (test clavier, outil simple, lecture screen reader) ;
  • embarquer toute l’équipe — pas “un expert accessibilité” isolé.

Une app bien conçue, c’est une app qu’on peut utiliser… pas juste admirer.

Besoin d’un regard externe pour auditer l’accessibilité de votre app, poser des bases solides, ou rendre votre design system vraiment accessible ? On peut vous aider.

Trame proposée

1. Intro — L’accessibilité, c’est pas du bonus : c’est du produit (150–200 mots)

Rendre un produit utilisable par tou·te·s, ce n’est pas une option. Et ce n’est pas qu’une histoire de contraste ou de texte alternatif.
ARIA (Accessible Rich Internet Applications), c’est ce qui permet à une app dynamique — avec modals, boutons custom, sliders — d’être compréhensible pour un lecteur d’écran ou une navigation clavier.
👉 Chez Yield, on ne livre pas des features “belles sur Figma” : on conçoit des produits utilisables, testés, accessibles — même sans souris.

2. Pourquoi ARIA est indispensable dans les apps modernes (200–250 mots)

  • Une app JS moderne casse la navigation classique : ARIA restaure le sens pour les technologies d’assistance.
  • C’est ce qui permet d’expliquer qu’un bouton “★” est une action “ajouter aux favoris”.
  • Ça rend un toggle compréhensible (“ouvert” / “fermé”), un formulaire logique, un stepper navigable.
    💬 Exemple terrain : une app mobile B2B qui fonctionnait bien en tactile, inutilisable au clavier. Ajout de rôles et d’attributs ARIA → +40 % d’accessibilité selon Axe.

3. Ce qu’ARIA ne fait pas (et les erreurs courantes) (200–250 mots)

  • ARIA n’ajoute pas de comportement → elle décrit ce qui est là.
  • Trop de role="button" sans tabindex ni gestion clavier = inutile.
  • Attributs sur des balises natives (ex : role="navigation" sur une <nav>) → redondant.
  • “Aria everywhere” = piège. Il faut l’utiliser quand le natif ne suffit pas.
    💡 Rappel : First rule of ARIA: don’t use ARIA unless you have to (W3C)

4. Les attributs ARIA vraiment utiles (et quand les poser) (300–350 mots)

Un tableau ou une liste de cas concrets à structurer :

  • Rôles (role="dialog", role="alert", role="tablist"…) → pour expliciter la fonction
  • États (aria-checked, aria-expanded, aria-disabled) → pour refléter une UI dynamique
  • Labeling (aria-label, aria-labelledby, aria-describedby) → pour nommer ou décrire un élément
  • Landmarks (role="main", role="banner", etc.) → pour structurer la page

💬 Exemple Yield : sur un outil RH, des sélecteurs personnalisés ne renvoyaient rien aux lecteurs d’écran. Ajout de aria-activedescendant et aria-controls → test OK sur NVDA + VoiceOver.

5. Comment intégrer ARIA dans une équipe produit (sans complexifier) (200–250 mots)

  • Dès le design : penser en rôles, focus, navigation clavier
  • En dev : poser les bons attributs sur les composants (modal, toggle, form, menu)
  • En QA : intégrer les tests accessibilité (ex : Axe DevTools, Lighthouse, VoiceOver)
  • En maintenance : ne pas casser l’accessibilité en refacto

💡 Retour d’XP : “Sur une app logistique, le refacto du menu a cassé la structure ARIA — un simple aria-hidden=trueoublié sur le fond noir bloquait la navigation clavier. Détecté par un test clavier simple.”

6. Conclusion — ARIA, c’est du design invisible… mais critique (100–150 mots)

Une app qui fonctionne sans souris, sans vue, sans son : c’est possible — si on le pense dès le départ.
ARIA, ce n’est pas un patch. C’est un levier d’accessibilité simple, puissant, et souvent négligé.
Chez Yield, on ne vise pas des “notes d’audit” — on vise l’usage réel. Une app accessible, c’est une app qui marche pour tout le monde.

👉 Besoin d’un audit rapide, d’un appui sur un refacto ou d’un accompagnement accessibilité sur-mesure ? On peut vous aider.

Créer un prototype interactif et valider les parcours utilisateurs d’un logiciel métier
Attendre le développement pour découvrir des problèmes, c’est trop tard. Le prototype interactif permet de valider ces choix en conditions réelles, avant qu’ils ne deviennent des blocages.
Cyrille
24/2/2025

Attendre le développement pour découvrir des problèmes, c’est trop tard. Le prototype interactif permet de valider ces choix en conditions réelles, avant qu’ils ne deviennent des blocages. Il ne s’agit pas d’un simple exercice de mise en forme, mais d’un test grandeur nature des interactions, des enchaînements et de l’ergonomie.

Encore faut-il prototyper votre logiciel métier intelligemment. Tester des écrans figés, sans prise en compte des flux réels, c’est une perte de temps. Un bon prototype doit simuler les usages métiers, identifier les frictions et fournir aux développeurs un plan d’exécution clair.

Comment créer un prototype qui anticipe les problèmes et accélère le passage en production ? Comment s’assurer qu’il est réellement actionnable, et pas juste une version cliquable des maquettes ? Décryptage d’une étape clé trop souvent négligée.

Mais avant de prototyper, il faut savoir quoi modéliser. Définir les bons parcours utilisateurs, identifier les actions critiques, comprendre les besoins métier… Si cette étape n’a pas été menée correctement, il vaut mieux revenir aux fondamentaux : 

Prototyper un logiciel métier : simuler avant de coder

Trop d’étapes pour une tâche simple ? L’utilisateur abandonne ou trouve une solution de contournement. Un workflow pensé sans le terrain ? Il sera contourné dès le premier jour. Prototyper permet d’éliminer ces risques avant d’engager des semaines de développement.

Mais tout prototype n’a pas le même rôle. Un wireframe interactif ne valide pas les mêmes éléments qu’une maquette haute fidélité. L’enjeu, c’est d’utiliser les bons outils au bon moment pour tester ce qui compte vraiment.

D’ailleurs, un prototype interactif ne remplace pas l’étape essentielle des wireframes et maquettes UI, il vient la prolonger. Avant même d’ajouter de l’interactivité, il faut s’assurer que l’architecture des écrans et la hiérarchie de l’info sont solides.

Low-fidelity : valider la logique métier sans se perdre dans le design

Avant d’affiner l’UI, il faut s’assurer que le logiciel répond aux vrais besoins. Un prototype low-fidelity structure l’information, teste les parcours métier et ajuste les workflows sans fioriture graphique.

Prenons un outil de gestion des interventions techniques :

  • Un technicien doit voir ses missions prioritaires immédiatement.
  • Il doit consulter les détails sans perdre son contexte.
  • Son compte-rendu doit être rapide à enregistrer, même hors connexion.

Un prototype low-fidelity valide ces interactions : l’info clé est-elle accessible immédiatement ? Le parcours est-il fluide ? Faut-il des étapes en moins ?

À ce stade, inutile de sortir l’artillerie lourde. L’idée, c’est d’itérer vite, de faire tester aux équipes terrain, et de corriger avant d’aller plus loin.

Comment créer un bon prototype low-fidelity ?

  • Balsamiq : pour des wireframes simples et épurés, parfaits pour tester les flux.
  • Figma (avec composants wireframe) : utile si l’équipe travaille déjà sur cet outil.
  • Whimsical, Wireframe.cc : pour des esquisses rapides et collaboratives.
"Lorsqu'après 10 minutes de test, un utilisateur cherche encore où cliquer, c’est qu'on doit évidemment retravailler le prototype"

High-fidelity : peaufiner l’expérience et éviter l’effet “c’était mieux avant”

Une fois la structure validée, le prototype high-fidelity affine l’expérience utilisateur. Ici, on intègre les composants du design system métier, on teste la lisibilité, la hiérarchie des infos et la fluidité des interactions.

Toujours sur notre outil d’interventions :

  • Les infos critiques sont-elles bien mises en avant ?
  • L’interface est-elle compréhensible sans formation ?
  • Les boutons, icônes et feedbacks sont-ils cohérents ?

Un prototype high-fidelity bien conçu évite l’effet "c'était mieux avant". Si un technicien met trois fois plus de temps à remplir un rapport parce que les champs sont mal placés, il faut le détecter maintenant.

Comment rendre le prototype high-fidelity actionnable ?

  • Figma (avec design system intégré) : l’outil phare pour tester un rendu réaliste et cohérent.
  • Adobe XD : efficace pour simuler des interactions avancées.
  • Axure RP : pertinent si le prototype doit inclure des logiques complexes.

La bonne approche ? Ne pas brûler les étapes. Tester les parcours métier avec du low-fidelity, affiner l’ergonomie avec du high-fidelity, et s’assurer que chaque décision améliore réellement l’efficacité utilisateur.

Tester un prototype : traquer les frictions avant qu’elles ne coûtent cher

Un prototype n’a de valeur que s’il reflète la réalité du terrain. Trop souvent, les tests se limitent à vérifier que "ça fonctionne" au lieu de s’assurer que l’outil améliore réellement le travail des utilisateurs. 

L’enjeu des tests de prototype : garantir une adoption immédiate et éviter les allers-retours coûteux en développement.

Vérifier que les processus métier sont bien représentés

Un logiciel métier n’est pas une simple interface : c’est un outil qui s’intègre dans des workflows existants. Chaque interaction doit correspondre aux habitudes des utilisateurs et s’insérer naturellement dans leur façon de travailler.

Imaginons qu’un technicien enregistre une intervention. S’il doit passer par six écrans pour saisir une information clé, il abandonnera et notera ça sur un carnet ou dans une autre application. 

Tester le prototype, c’est s’assurer que chaque étape du processus est fluide et logique. Mais aussi que les données affichées dans le prototype sont réalistes, pour permettre aux utilisateurs de se projeter dans un cas concret.

Identifier les points de friction

Les tests doivent traquer les goulets d’étranglement : ces moments où l’utilisateur ralentit, hésite ou commet une erreur. Les zones critiques à surveiller :

  • Saisie de données : si remplir un formulaire prend trop de temps ou demande des informations inutiles, l’utilisateur trouvera un contournement.
  • Validation de tâches : doit-elle vraiment nécessiter trois clics et une confirmation ?
  • Navigation et accès aux infos : un tableau sans tri, des boutons mal placés ou une hiérarchie de l’information confuse forcent l’utilisateur à chercher au lieu d’agir.

Valider l’impact sur la productivité

Un bon prototype, c’est un logiciel qui fait gagner du temps. Objectif : réduire les clics, simplifier la navigation et accélérer les tâches récurrentes.

Si un utilisateur met 20 secondes de plus à accomplir une tâche clé, et qu’il la répète 50 fois par jour, c’est une heure perdue chaque semaine. Une interface métier doit être conçue pour la rapidité : raccourcis bien placés, auto-complétion intelligente, actions groupées.

Tester les contraintes spécifiques du métier

Un prototype testé sur un écran de bureau peut sembler parfait, mais qu’en est-il en mobilité ou avec une connexion instable ?

  • Compatibilité multi-écrans : un tableau lisible sur un grand écran l’est-il encore sur une tablette terrain ?
  • Intégration avec un ERP : les données du prototype sont-elles représentatives des vraies contraintes d’échange d’informations ?
  • Utilisation sur le terrain : un technicien peut-il interagir avec l’application sans devoir enlever ses gants ou zoomer pour cliquer sur un bouton trop petit ?
Un prototype efficace, c’est un prototype qui tient compte de la réalité d’usage et pas seulement d’une démonstration en environnement contrôlé.

Tester en conditions réelles : confronter l’interface à son vrai usage

Un prototype bien conçu ne vaut rien s’il n’a pas été testé avec les bonnes personnes, dans les bonnes conditions. Le pire piège ? Un test en vase clos, avec des équipes internes qui connaissent déjà le projet et ne voient pas les vrais obstacles du terrain.

L’objectif est simple : valider que le logiciel tient la route dans des situations réelles, avec les contraintes et habitudes des utilisateurs métier.

Sélectionner les bons testeurs : pas de biais, pas de faux positifs

Un test utilisateur ne sert à rien si les profils sélectionnés ne représentent pas la vraie diversité des usages. Trois critères clés pour choisir les testeurs :

  1. Des rôles variés
    Un opérateur terrain, un manager, un responsable administratif n’ont pas les mêmes besoins ni les mêmes priorités. Tester avec un seul profil utilisateur, c’est prendre le risque d’oublier des cas d’usage critiques.
  2. Différents niveaux de maturité digitale
    L’interface doit être fluide pour un utilisateur expérimenté, mais aussi intuitive pour quelqu’un qui découvre l’outil. Un technicien qui jongle entre une tablette et un carnet papier ne réagira pas comme un analyste habitué aux dashboards avancés.
  3. Des cas concrets, pas des tests biaisés
    Un test mené par l’équipe produit qui explique tout avant chaque interaction n’a aucun intérêt. Il faut que l’utilisateur découvre l’interface comme il le ferait en conditions réelles.

Tester avec des scénarios métier, pas avec un mode d’emploi

Un bon test ne doit pas ressembler à une démo guidée. Il doit mettre l’utilisateur face à une tâche précise, sans lui donner toutes les réponses. L’idée, c’est de voir comment il se débrouille, où il bloque et quelles erreurs il commet.

Mise en situation réelle : comment s’y prendre ?

  • Définir des tâches précises : l’utilisateur doit accomplir des actions clés : enregistrer une commande, valider une demande, suivre une intervention. Chaque étape doit être représentative d’un cas métier réel.
  • Ne pas guider l’utilisateur : lui dire quoi faire, mais pas comment. Si l’interface est bien conçue, il devrait trouver intuitivement. Si ce n’est pas le cas, c’est un signal d’alerte.
  • Observer et noter les frictions : où hésite-t-il ? Quelle action lui prend trop de temps ? Où s’attendait-il à trouver un bouton qui n’existe pas ?

Recueillir des feedbacks actionnables

Le pire retour utilisateur : "C’est bien" ou "C’est pas clair". Ces réponses ne servent à rien si elles ne sont pas traduites en actions concrètes.

Trois techniques pour obtenir du feedback utile :

  1. Demander ce qui a posé problème : "À quel moment avez-vous hésité ?" plutôt que "Avez-vous trouvé ça clair ?".
  2. Analyser les écarts entre attentes et réalité : "Comment pensiez-vous que ça allait fonctionner ?" permet de voir si l’interface correspond à l’intuition de l’utilisateur.
  3. Prioriser les retours selon leur impact métier : une friction sur une action récurrente (ex. valider une tâche) est plus critique qu’un détail graphique.

Itérer, tester, affiner

Un prototype n’est pas un livrable final, c’est une version évolutive. Après chaque test, des ajustements sont nécessaires :

  • Si une action est trop longue, comment la simplifier ?
  • Si une information manque, doit-elle être ajoutée ou mieux mise en avant ?
  • Si les retours sont contradictoires, faut-il tester une alternative ?

Chaque session de test doit permettre de peaufiner l’interface avant l’étape suivante : valider le prototype avec le groupe sponsor et s’assurer qu’il est prêt pour le développement.

Anticiper les biais et tester dans des conditions réelles

Un prototype interactif, aussi abouti soit-il, reste une simulation. Il ne reflète ni les contraintes techniques du terrain ni les aléas du quotidien des utilisateurs. Tester un parcours dans un environnement idéal ne garantit en rien son efficacité dans la vraie vie.

Sans prise en compte de ces variables, le risque est clair : une interface qui fonctionne parfaitement en salle de réunion, mais qui devient inutilisable dès qu’elle arrive sur le terrain.

Prendre en compte les contraintes du réel

Un test en conditions optimales ne dit rien sur la robustesse de l’interface face aux contraintes métier.

Quelques exemples typiques de biais :

  • Connexion instable ou inexistante : une appli qui charge vite en fibre optique, mais qui rame sur un réseau mobile en entrepôt.
  • Environnement bruyant et multitâche : un opérateur en logistique ne peut pas cliquer sur 15 menus déroulants quand il est en train de scanner des produits en parallèle.
  • Temps limité pour chaque action : un commercial sur le terrain a 5 secondes pour retrouver une info sur son mobile, pas 30.

Test en laboratoire ≠ réalité terrain. Une interface qui marche bien en interne doit encore prouver qu’elle tient la route face à ces contraintes.

Ne pas se fier uniquement au prototype : le passage au MVP est essentiel

Un prototype, c’est un test UX. Un MVP fonctionnel, c’est un test en conditions réelles.

Pourquoi ne pas s’arrêter au prototype interactif ?

  • Il ne permet pas de mesurer les performances réelles (temps de chargement, fluidité sur divers appareils).
  • Il n’anticipe pas toujours l’intégration avec les autres outils (ERP, bases de données existantes).
  • Il ne prend pas en compte les workflows multi-appareils (passer d’un écran desktop à une tablette terrain).

Un bon process consiste à enchaîner prototype interactif → MVP avec données réelles → validation finale avant dev.

Intégrer les retours des équipes IT dès la phase de test

Ne pas impliquer les équipes tech trop tôt, c’est prendre le risque de découvrir des problèmes en fin de course.

Si un prototype a été validé côté UX mais qu’il est impossible à développer dans l’environnement technique existant, on repart de zéro.

Trois questions à poser aux équipes IT dès la phase de prototypage :

  1. L’interface est-elle compatible avec les systèmes en place ? (authentification, bases de données, API internes).
  2. Les performances seront-elles acceptables dans l’environnement réel ? (temps de chargement, accessibilité en mobilité).
  3. Y a-t-il des limites techniques qui nécessitent des ajustements ? (gestion des accès, sécurité des données).

Détecter les faux positifs et les optimisations inutiles

Un bon test ne doit pas juste lister des feedbacks, il doit identifier les retours vraiment actionnables.

  • Un utilisateur dit qu’il veut plus d’options ? Peut-être qu’il a juste besoin d’un raccourci pour aller plus vite.
  • Un testeur demande un bouton supplémentaire ? Le problème vient peut-être de la navigation, pas du manque d’élément.
  • Un workflow semble trop long ? Il faut mesurer le nombre de clics et le temps réel d’exécution, plutôt que de se fier à des impressions subjectives.
L’enjeu n’est pas de collecter des opinions, mais de traduire les retours en décisions concrètes.

Mesurer, ajuster, et fiabiliser avant le développement

Il ne suffit pas d’observer les utilisateurs naviguer, il faut mesurer l’impact, comprendre où l’interface freine l’exécution et ajuster les parcours pour maximiser l’efficacité. 

Un bon prototype ne se contente pas d’être validé : il doit être optimisé avant d’atterrir dans les mains des développeurs.

Croiser données quantitatives et qualitatives

Observer où les utilisateurs bloquent, c’est bien. Mais chiffrer ces blocages, c’est mieux. Une amélioration UI a-t-elle réellement réduit le temps de saisie ? La suppression d’un écran intermédiaire a-t-elle diminué le taux d’erreur ?

Quelques métriques à suivre :

  • Temps moyen par action clé : combien de secondes pour valider une tâche courante ?
  • Nombre de clics pour une action fréquente : réduire chaque étape superflue.
  • Taux d'erreur utilisateur : combien de fois un utilisateur revient en arrière ou corrige une saisie ?
  • Feedback qualitatif : quelles irritations reviennent le plus dans les tests utilisateurs ?

Documenter les ajustements et itérer efficacement

Chaque test utilisateur doit se traduire en améliorations concrètes. Rien de pire qu’un prototype validé par habitude, sans challenge des flux critiques. Pensez à :

  • Lister et hiérarchiser les corrections à apporter : différencier les quick wins des changements plus structurels.
  • Valider les ajustements avec les testeurs : les utilisateurs doivent pouvoir confirmer que les corrections apportent réellement un gain d’efficacité.
  • Challenger la finalité métier : chaque ajustement doit répondre à un objectif précis, pas juste à une préférence esthétique.

Transmettre un prototype exploitable aux développeurs

Un prototype optimisé, c’est un passage fluide entre design et développement. Un bon livrable ne doit pas laisser place à l’interprétation :

  • Annotations précises : chaque interaction, état d’erreur, et comportement dynamique doit être documenté.
  • Alignement avec les besoins métiers : automatisations, raccourcis clavier, affichage des informations critiques – tout doit être réfléchi avant l’intégration.
  • Vérification technique : s’assurer avec les équipes IT que les composants validés sont bien intégrables sans friction.

Un prototype bien testé et bien ajusté, c’est un développement plus rapide, moins de retours correctifs, et une adoption fluide dès le premier jour.

Finaliser et valider avant le passage en développement

Une fois les ajustements effectués et le prototype stabilisé, il reste une dernière étape : la validation finale par les parties prenantes. Le but ? Éviter que des discussions de dernière minute viennent perturber un flow déjà optimisé par les tests utilisateurs.

Deux niveaux de validation sont généralement nécessaires :

  1. Le groupe métier, qui s’assure que les règles spécifiques à l’entreprise sont bien respectées (ex : conformité réglementaire, intégration aux workflows existants).
  2. Le groupe sponsor, qui valide l’alignement avec la vision produit et les objectifs business.

L’avantage d’avoir testé tôt avec les utilisateurs ? Les discussions ne portent plus sur l’ergonomie ou les parcours métiers, juste sur des arbitrages stratégiques ou réglementaires. L’adhésion est plus rapide, et les allers-retours réduits au minimum.

Un prototype bien conçu = un dev sans surprise

Un prototype bien mené, c’est un produit qui arrive en développement sans mauvaise surprise. Plus d’allers-retours interminables, plus de patchs de dernière minute. On ne passe pas des semaines à corriger ce qui aurait dû être anticipé.

L’objectif n’a jamais été de "faire un prototype". C’est d’éliminer les frictions avant qu’elles ne deviennent des problèmes. Si cette phase est bien exécutée, le logiciel n’est plus un pari, mais une valeur sûre.

Envie d’une approche qui transforme vos idées en un produit fluide et fonctionnel dès le premier jour ? Discutons-en.

Traduire les besoins logiciels en wireframes puis en maquettes UI
Un workflow pensé sur le papier, mais impraticable en réel. Un tableau surchargé qui oblige à scanner chaque ligne. Une action clé noyée sous six clics inutiles. Conséquences ? Perte de temps, erreurs à répétition et utilisateurs frustrés.
Cyrille
19/2/2025

Un workflow pensé sur le papier, mais impraticable en réel. Un tableau surchargé qui oblige à scanner chaque ligne. Une action clé noyée sous six clics inutiles. Conséquences ? Perte de temps, erreurs à répétition et utilisateurs frustrés.

Dans un logiciel métier, une mauvaise interface ne ralentit pas seulement l’adoption : elle impacte directement la productivité. Trop d’équipes plongent dans le design UI sans avoir testé les logiques d’interaction. Résultat : des écrans qu’on corrige après coup, une ergonomie bricolée en urgence et des semaines perdues en allers-retours inutiles.

La solution c’est de construire avant d’habiller. Un bon produit ne démarre pas par des choix esthétiques, mais par des wireframes solides qui cadrent la navigation et priorisent les actions essentielles. Ensuite, seulement, on applique un design efficace, aligné sur les usages métier.

Comment éviter les interfaces belles mais inutilisables ? Comment garantir une transition fluide entre conception et développement ? Entrons dans le concret.

Avant de concevoir, encore faut-il avoir cadré correctement. Une interface de logiciel métier bien pensée repose sur :

Construire les wireframes : structurer l’expérience utilisateur

Un bon logiciel métier ne commence pas avec une palette de couleurs, mais avec une architecture solide. Sans ça, on se retrouve avec des interfaces confuses, des flux mal pensés et des clics inutiles qui plombent la productivité.

Un wireframe bien conçu, c’est une structure claire, une navigation logique et des actions immédiates. C’est ici qu’on élimine les frictions avant qu’elles ne deviennent des bugs coûteux.

Avant de penser au design, il faut structurer les flux et organiser l’information. Cette étape passe par deux niveaux de wireframes : une première ébauche rapide pour cadrer les écrans, puis une version affinée pour tester les interactions clés.

Wireframes low-fidelity : structurer avant d’habiller

Un wireframe low-fidelity, c’est le squelette du produit : une ébauche rapide, sans fioritures graphiques. Ici, pas question de polices ou de couleurs, mais de valider la logique de navigation et l’organisation des écrans avant d’investir du temps dans l’UI.

Trois enjeux à garder en tête :

  1. Définir la structure des écrans
    Chaque interface doit suivre une cohérence métier. Dans un logiciel de gestion des interventions, un technicien doit voir immédiatement les demandes urgentes et les prochaines tâches assignées. Pas question qu’il passe trois écrans pour accéder aux infos critiques.
  1. Tester les logiques de navigation
    Si un utilisateur cherche constamment où cliquer, c’est raté. Un bon wireframe valide la fluidité des parcours : un commercial qui passe d’un prospect à une opportunité ne devrait pas avoir à recharger cinq écrans.
  1. Prioriser les informations clés
    Ce qui est essentiel doit être visible immédiatement. Un tableau de suivi d’expéditions affiche les commandes en retard en priorité. Pas besoin d’un filtre manuel, l’info vient directement à l’utilisateur.

Si ces bases sont bien posées, on obtient un wireframe qui sert réellement de fondation et évite les allers-retours inutiles.

👉 Pour un ERP métier, par exemple, les wireframes low-fidelity peuvent inclure un tableau de gestion des commandes avec filtres et actions rapides. L’objectif, c’est de permettre aux utilisateurs d’accéder directement aux commandes prioritaires sans surcharge visuelle.

Aller vite sans sacrifier la qualité

L’objectif du wireframe low-fidelity est d’avancer rapidement, sans perdre de temps sur du superflu. Pour ça, les bons outils font la différence :

  • Balsamiq, Wireframe.cc, Whimsical : idéal pour des croquis rapides et collaboratifs.
  • Figma (bibliothèques de wireframes préconstruites) : accélère la conception sans repartir de zéro.

Ne perdez pas de temps sur les détails : un wireframe efficace est minimaliste et met l’accent sur la hiérarchie de l’information.

Wireframes mid-fidelity : affiner les parcours et les interactions

Une fois la structure validée, on entre dans le détail : on affine les interactions, on teste les enchaînements d’actions et on s’assure que l’interface accélère le travail au lieu de le ralentir.

À ce stade, trois optimisations sont essentielles :

  1. Tester les actions fréquentes
    Si un gestionnaire RH valide 50 demandes de congés par jour, le bouton de validation doit être accessible sans scroll, au bon endroit et avec une action rapide.
  1. Éviter la surcharge cognitive
    Un tableau avec 15 colonnes ouvertes par défaut ? Mauvaise idée. Un bon wireframe hiérarchise l’information : affichage progressif, tris dynamiques, options secondaires accessibles sans encombrer l’écran.
  1. Intégrer les automatismes et raccourcis clés
    Les utilisateurs métiers veulent de l’efficacité. Si une action est répétée 100 fois par jour, il faut l’accélérer : autocomplétion, actions groupées, raccourcis clavier intégrés dès la conception.

Mieux vaut corriger un problème à ce stade que de devoir repenser une UI complète en phase de développement.

👉 Par exemple, dans une interface de gestion RH : afficher les demandes urgentes en premier avec un code couleur, et proposer une validation en un clic. L’utilisateur identifie les priorités immédiatement et traite les demandes sans friction.

Un wireframe n’a de valeur que s’il est actionnable

Un wireframe qui dort dans un fichier Figma ne sert à rien. Il doit être exploitable immédiatement par les équipes design et tech.

Pour qu’il ait une vraie valeur :

  • Testez-le avec des utilisateurs métier avant même de passer à l’UI.
  • Annotez-le clairement : un développeur ne doit pas deviner comment un champ ou un bouton doit réagir.
  • Challengez-le en interne : chaque écran simplifie-t-il réellement le travail de l’utilisateur final ?

Passer aux maquettes UI : donner vie aux interfaces

Une fois les wireframes validés, place à la conception UI. L’objectif n’est pas (que) de faire joli, mais d’optimiser chaque interaction. Un logiciel métier doit permettre une prise d’information rapide, une navigation sans friction et une exécution efficace des tâches critiques.

Trop souvent, les maquettes UI sont conçues comme une simple "mise en forme". Mauvaise approche. Un bon design métier facilite l’exécution et réduit les erreurs.

Construire une interface qui accélère le travail

Une UI bien pensée, c’est une interface qui ne force pas l’utilisateur à réfléchir à chaque action. Si une fonction est utilisée 50 fois par jour, elle doit être accessible immédiatement. Si une tâche nécessite de naviguer entre plusieurs écrans, chaque étape doit être optimisée pour limiter le nombre de clics.

👉 Un exemple concret ? Une refonte UI sur un logiciel de suivi des interventions techniques a réduit le temps de saisie des comptes-rendus de 40 %, simplement en optimisant l’affichage des champs et en permettant une validation rapide sans navigation superflue.

Plutôt que d’empiler des règles générales, voici comment garantir une UI réellement efficace :

  1. Accélérez les actions fréquentes
    Dans un logiciel de gestion RH, la validation des demandes de congé doit être en un clic, avec un accès direct dès l’écran d’accueil.
  1. Hiérarchisez l’information
    Un tableau mal structuré noie l’utilisateur sous les données. Une bonne UI priorise les informations essentielles et propose des filtres dynamiques.
  1. Uniformisez les interactions critiques
    Validation d’un bon de commande, signature électronique, modification d’un dossier : chaque action clé doit suivre une même logique UX pour éviter les pertes de repère.

Construire avec le design system, pas contre lui

Comme on l’a vu dans notre article sur le design system en logiciel métier, un design system bien pensé ne fige pas l’UI, il l’accélère. Son rôle : garantir une cohérence sans rigidité et éviter que chaque équipe recrée des composants en silo.

Comment en tirer le meilleur parti ?

  • Intégrez les composants existants sans les modifier inutilement : un bouton validé et testé n’a pas besoin d’être redessiné. Chaque écart introduit une friction et ralentit l’adoption.
  • Standardisez les interactions clés : un même comportement pour la validation, les filtres, les actions critiques. Si un utilisateur doit réapprendre à chaque écran, c’est perdu d’avance.
  • Pensez aux usages réels dès la conception : un tableau qui gère des milliers de lignes ? Une modale qui doit afficher des contenus longs ? Anticiper ces cas évite les hacks et les patchs en urgence.

Un design system efficace n’impose pas des contraintes inutiles, il fluidifie la production et garantit une expérience sans friction. À condition de l’utiliser comme un levier, pas comme un carcan.

Optimiser la transition entre UX, UI et Dev : méthodologie et outils

Un wireframe mal exploité, c’est une maquette qu’il faut redessiner. Une maquette mal documentée, c’est du temps perdu en développement. Chaque friction dans cette transition ralentit la mise en production, génère des incohérences UX et complique l’adoption utilisateur.

L’objectif ? Fluidifier le passage des wireframes aux maquettes UI, puis à l’implémentation, pour accélérer la production, éviter les allers-retours inutiles et garantir une interface exploitable dès la première version.

Éviter les frictions entre UX, UI et Dev

Les écarts entre ce qui est conçu et ce qui est développé viennent souvent des mêmes problèmes : spécifications incomplètes, documentation floue et absence de validation terrain.

Un designer pense l’interface comme un concept visuel, un développeur la voit comme une série d’interactions à coder. Si le passage entre les deux est mal cadré, tout devient interprétation.

Comment éviter ça ?

  • Travaillez en itérations courtes : faites valider les wireframes et maquettes progressivement par les équipes métier et devs.
  • Annotez les parcours critiques : navigation, validation, états d’erreur… Rien ne doit être laissé au hasard.
  • Testez avant de figer : un prototype validé en conditions réelles réduit les imprévus en phase d’implémentation.

Des maquettes exploitables dès la première livraison

Une maquette UI ne doit pas être une image figée envoyée en PDF. Elle doit être interactive, détaillée et immédiatement exploitable par les équipes tech.

  • Annotations précises sur les marges, typographies, couleurs et comportements interactifs.
  • Gestion des états : normal, survol, actif, désactivé, erreur… Un dev ne doit pas deviner ce qui se passe dans chaque situation.
  • Alignement avec le design system : si un composant standard existe, il doit être utilisé tel quel pour éviter les incohérences.

👉 Une équipe produit a dû refaire entièrement un module de reporting après développement car les états d’erreur et les logiques d’affichage dynamique n’avaient pas été définis en amont. Une simple validation sur prototype aurait évité 3 semaines de retouches.

Les outils ne suffisent pas, ils doivent être intégrés au bon workflow

Figma, Sketch, Adobe XD… Peu importe l’outil, ce qui compte, c’est comment il est utilisé. Un bon outil mal exploité crée autant de problèmes qu’il en résout.

  • Un design system bien intégré : si les designers créent des composants dans Figma mais que les devs ne les retrouvent pas dans leur environnement de travail, le système est cassé.
  • Un workflow collaboratif clair : qui valide les maquettes ? À quel moment un composant est-il figé ? Combien d’itérations sont prévues avant développement ?
  • Une documentation accessible : un Figma structuré avec des annotations et des prototypes interactifs permet d'éviter les malentendus.

Figma bien exploité = une source unique de vérité, des composants normalisés et un suivi de version clair.

Figma mal exploité = 10 versions différentes du même écran, des annotations éparpillées, des devs qui recréent les composants en dur.

Un bon process UX-UI-Dev ne repose pas que sur les outils : c’est avant tout une méthodo qui garantit une exécution fluide et sans friction.

Passer du concept à un logiciel exploitable

Un wireframe bâclé, c’est une UI à repenser. Une maquette incomplète, c’est du flou côté développement. Mal gérée, cette transition alourdit le projet, multiplie les corrections et freine l’adoption.

Dans un logiciel métier, chaque itération compte. Pour éviter les dérives et garantir une interface prête à l’emploi dès le départ :

  • Un wireframe efficace accélère la conception : il pose les bases fonctionnelles avant d’entrer dans le détail graphique.
  • L’UI doit être pensée pour le métier : lisibilité, actions fréquentes, interactions adaptées aux workflows réels.
  • Un design system bien intégré évite les incohérences : réutiliser les bons composants garantit cohérence et rapidité d’exécution.
  • Une bonne transition réduit la friction côté développement : une maquette bien documentée, c’est un produit livré plus vite, avec moins de corrections.

Besoin d’un cadre solide pour concevoir des interfaces métiers performantes ? Structuration UX, UI optimisée, design system intégré : mettons en place une approche qui accélère le passage du concept au produit. Parlons-en.

FAQ

La réponse à vos questions

Pourquoi est-il crucial de collaborer avec une agence UX/UI ?
Notre expertise en UX/UI est cruciale pour transformer les besoins de vos utilisateurs en applications performantes. Nous débutons par une analyse stratégique approfondie, scrupuleusement alignée avec vos objectifs business, pour assurer des produits qui dépassent les attentes en termes de facilité d'usage et d'engagement utilisateur.
Quelle est la valeur ajoutée d'une stratégie UX/UI pour mon entreprise ?
Une stratégie UX/UI bien définie transcende la simple interface, elle est une pierre angulaire de votre présence digitale. Elle renforce l'engagement client, optimise la satisfaction utilisateur et dévoile des opportunités de marché, impulsant ainsi la croissance de votre entreprise.
Comment l'élaboration des wireframes par votre agence UX/UI affine-t-elle mon produit ?
Nos wireframes sont conçus pour réfléchir minutieusement à l'architecture de l'information et à la hiérarchie visuelle, éléments clés d'une expérience utilisateur réussie. Ils servent de fondation à une navigation fluide et sans faille, assurant que chaque interaction soit intuitive et conforme aux attentes de vos utilisateurs.
Quelle est l'importance d'un Design System dans votre processus de conception UX/UI ?
La construction d'un Design System va au-delà de la cohérence esthétique. Il s'agit d'un écosystème de composants modulaires, conçu pour évoluer avec votre marque et faciliter le développement cross-plateforme. Ce système respecte les principes d'atomic design, garantissant une expérience utilisateur cohérente et durable.
En quoi consiste la réalisation des maquettes dans votre agence UX/UI ?
La réalisation des maquettes est une étape critique où nos conceptions prennent vie. Elles incarnent les solutions visuelles et interactives de la vision du produit, servant de véhicules pour la validation des hypothèses UX. Cela offre un aperçu tangible de l'expérience utilisateur pour des tests poussés et une itération précise. Cela nécessite de trouver une orientation visuelle pertinente en amont !
Comment votre agence UX/UI gère-t-elle les tests et itérations ?
Notre agence mène des tests rigoureux et itérations basés sur des données réelles pour collecter des insights actionnables. Nous utilisons des méthodes comme les tests A/B et les heuristiques d'évaluation pour raffiner chaque interaction. Cela nous permet d'atteindre une excellence opérationnelle en UX/UI, peaufinant chaque détail jusqu'à la perfection. Les tests sont effectués en présentiel ou en distanciel selon le contexte. En fonction nous pouvons aussi nous charger de trouver les utilisateurs qui seront mobilisés pour la phase de test.
Quel est le coût et le délai pour faire les maquettes de mon application ?
Concevoir une application complète nécessite un processus qui commence par la récupération des besoins jusqu'aux tests et itérations. Selon la complexité du projet, cela peut varier de quelques semaines à plusieurs mois, notre agence s'adapte à vos besoins pour optimiser chaque étape. Nous poussons toujours pour une démarche itérative, focus Lean ! Le coût d’un tel projet peut aller de 10k€ à 40k€ en fonction de la complexité de l’itération.
Pourquoi choisir une agence d'UX Design vs Freelance ?
Le choix entre une agence UX design et un freelance peut avoir un impact significatif sur votre projet. Une agence comme Yield Studio offre plusieurs avantages clés :
- Équipe pluridisciplinaire : Des ingénieurs cogniticiens aux informaticiens, en passant par les ergonomes, designers et chefs de produits, cette diversité permet d'aborder chaque projet sous différents angles.
- Approche holistique : La confrontation des différentes expertises favorise l'émergence d'idées innovantes et garantit une vision complète de l'expérience utilisateur.
- Identification optimale des frictions : En combinant leurs points de vue, les spécialistes peuvent plus facilement repérer les points problématiques et concevoir des solutions efficaces pour fluidifier les parcours.
- Ressources et stabilité : Une agence dispose de plus de ressources et offre une meilleure garantie de continuité dans le suivi de votre projet comparé à un freelance seul.
Cette approche collaborative et multidisciplinaire permet de créer des expériences utilisateur plus riches et mieux pensées, tout en minimisant les risques liés à la dépendance à une seule personne.
Quel est le coût et le délai pour faire les maquettes de mon application ?
Concevoir une application complète nécessite un processus qui commence par la récupération des besoins jusqu'aux tests et itérations. Selon la complexité du projet, cela peut varier de quelques semaines à plusieurs mois, notre agence s'adapte à vos besoins pour optimiser chaque étape. Nous poussons toujours pour une démarche itérative, focus Lean ! Le coût d’un tel projet peut aller de 10k€ à 40k€ en fonction de la complexité de l’itération.
Pourquoi choisir une agence spécialisée plutôt que 360 ?
Une agence spécialisée en UX/UI design comme Yield Studio présente plusieurs avantages distinctifs par rapport à une agence 360 :
- Focus sur l'expérience utilisateur : Concentration totale des ressources sur l'UX/UI
- Pas de dispersion sur d'autres domaines marketing
- Création d'expériences mémorables centrées utilisateur
- Expertise approfondie : Développement de compétences pointues
- Veille continue sur les tendances UX/UI - Équipes hautement spécialisées
- Maîtrise des bonnes pratiques actuelles
- Maîtrise complète du design d'expérience : Analyse des usages et besoins
- Architecture d'information
- Prototypage et wireframing
- Design d'interfaces
- Rédaction de contenus adaptés (UX writing)
Cette spécialisation permet une approche plus poussée et cohérente de l'UX/UI, avec une expertise particulière dans les méthodologies essentielles (personas, parcours utilisateurs, tests) pour des résultats optimaux.
En quoi notre expertise UX/UI fait la différence ?
Notre spécialisation en UX/UI nous permet d'appliquer des méthodologies avancées (personas, parcours utilisateurs, tests) qui garantissent des interfaces performantes et centrées utilisateur.
Comment structurons-nous nos projets UX design ?
Notre processus suit 5 phases clés :
1. Recherche et analyse des besoins utilisateurs
2. Définition de la stratégie UX
3. Création d'un design system robuste
4. Réalisation des maquettes sur Figma
5. Mesure et optimisation continue
Quelle importance accordons-nous à la recherche utilisateur ?
La recherche utilisateur est le pilier de notre approche. Elle nous permet d'identifier précisément les besoins, motivations et points de friction de vos utilisateurs pour concevoir des solutions véritablement adaptées.
Comment conjuguons-nous UX et objectifs business ?
Chaque décision de design s'appuie sur une double analyse : satisfaction utilisateur et impact business. Cette approche équilibrée maximise le ROI de vos interfaces tout en garantissant une expérience utilisateur optimale.
Que vous apporte notre design system ?
Notre design system établit un cadre visuel et interactif cohérent, facilitant les développements futurs tout en maintenant une qualité constante. Il accélère la production tout en réduisant les coûts.  Il vous fait gagner environ 20% de temps sur votre projet.
Comment évaluons-nous nos réalisations ?
Nous mesurons le succès via des indicateurs précis :
- Taux de conversion
- Temps de réalisation des tâches
- Satisfaction utilisateur (NPS, ...)
- Engagement
Ces métriques guident l'amélioration continue de vos interfaces et l'amélioration de nos méthodologies.

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