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Trunk Based Development (TBD) vs Gitflow
La principale différence entre Gitflow et le TBD est que les premières branches ont une durée de vie plus longue et des commits plus importants.
Julien
16/11/2023

Introduction

Aujourd'hui, comment parler de développement logiciel sans parler de Git ? Un bon système de gestion des versions est essentiel pour assurer un flux de travail efficace. Git est l'outil de gestion de versions par excellence et est le plus populaire. Néanmoins, avec Git, il s'est développé différentes stratégies pour structurer et gérer le flux de modifications de la codebase. Parmi toutes ces stratégies, aujourd'hui, deux vont nous intéresser : le Trunk-Based Development (TBD) et Git Flow.

D'un côté on a le TBD, une approche minimaliste qui préconise de travailler directement sur un tronc commun, autrement dit la branche principale. Tandis que Git Flow, lui, propose une structure plus complexe, avec des branches dédiées à des fonctionnalités, des corrections, des versions, etc.

Les deux approches ont des avantages et des inconvénients, leurs propres complexités et simplicités et c'est ce que nous allons voir maintenant.

L'objectif de cet article n'est pas simplement de fournir une explication de ces deux stratégies de gestion des versions, mais plutôt de démontrer pourquoi, dans de nombreux contextes, le TBD peut s'avérer une approche plus optimale que Git Flow.


Git Flow vs Trunk-Based Development

La stratégie Git Flow

Git Flow est une stratégie de gestion de versions populaire qui a été conçue pour aider les équipes à gérer les développements complexes, en tirant parti de la puissance et de la flexibilité des branches Git. Elle propose une structure organisée qui facilite le développement parallèle de différentes fonctionnalités et la gestion des versions.

Organisation

Avec Git Flow on organise nos branches de la manière suivante :

  • main, la branche principale qui représente l'état actuel de la production
  • develop, la branche où se trouve toutes les fonctionnalités, corrections et autres de la prochaine version prévue
  • feature/xxx, les branches créées à partir de develop où se trouve le code d'une fonctionnalité qui sera fusionné avec develop une fois le développement terminé
  • release/xxx, les branches créées à partir de develop où se trouve le code d'une nouvelle version du logiciel, potentiellement affiné avant le déploiement
  • hotfix/xxx, les branches créées à partir de main pour des corrections critiques découvertes en production. Ces branches sont fusionnées dans main dès que le correctif est prêt et sont également fusionnées avec develop pour s'assurer que la correction perdurera dans la codebase

Les problèmes de Git Flow

La force de Git Flow réside dans sa structure qui permet de gérer facilement des tâches parallèles et suivre d'évolution du code à travers le temps.

Cette stratégie entraîne néanmoins un lot d'inconvénients :

  • Complexité - Cette stratégie nécessite beaucoup de manipulation manuelle des branches qui demande une maîtrise totale de Git et de ce processus
  • Intégration continue compliquée - L'intégration continue est plus complexe à mettre en place en raison du développement parallèle sur plusieurs branches
  • Déploiement fréquent coûteux - Le déploiement continus/fréquents n'est pas impossible mais demande beaucoup plus de temps et d'énergie
  • Problèmes de fusion - Le nombre parallèle de branches important entraîne de nombreux problèmes potentiels de merge
  • Revues de code difficiles - La taille des pull requests a tendance à être plus importante avec Git Flow parce qu'elles contiennent des fonctionnalités complètes. La branche de feature a tendance à vivre trop longtemps, nécessitant des fusions fréquentes avec develop ce qui entraîne des retards dans le processus de livraison

La stratégie Trunk-Based Development

La stratégie Trunk-Based Development est une approche bien plus minimaliste dont le but est de simplifier le flux de travail en minimisant la fragmentation du code et en facilitant l'intégration continue. Pour cela on ne va travailler que sur une seule branche principale (main ou trunk) autrement appelé : le tronc commun.

Une seule source de vérité

Avec le TBD, cela signifie donc que toutes les modifications du code sont introduites et fusionnées directement dans la branche principale. Chaque développeur doit donc fusionner régulièrement ses modifications, plusieurs fois par jour. En conséquence, les versions sont gérées directement à partir de la branche principale, chaque développeur est constamment à jour et les problèmes de fusions sont considérablement réduits. Le cycle de développement est plus rapide et alimente l'intégration et le déploiements continus.

Quid des branches ?

Travailler avec l'approche TBD ne signifie pas qu'on a plus du tout de branche en plus de la branche principale. En effet, les branches peuvent encore être utilisées mais elles se doivent d'être de très courte durée et fusionnées dès que le travail est terminé.

Quid des revues de code ?

Quel que soit la stratégie adoptée, le processus de revue de code persiste et demeure une composante essentielle pour assurer la qualité du code qui est fusionné dans le tronc commun. La subtilité entre les deux stratégie est que avec le TBD, les modifications étant fréquemment fusionnées, elles sont généralement plus petites. Et si les modifications s'avèrent importante alors le TBD souhaite mettre en avant la collaboration et demanderait de faire ces modifications en pair ou en mob programming. Enfin, les revues de code se doivent d'être traitées rapidement (dans la demi-journée) et doivent durer que quelques minutes (15 maximum à peu près).

Quid des modifications importantes ?

Le TBD n'empêche pas le développement de fonctionnalités importantes qui demandent donc de lourdes modifications du code. En revanche, cette stratégie va favoriser la collaboration via du pair ou du mob programming mais ce n'est pas la seule solution. Il existe également les Feature Flags.

Un Feature Flag est une technique de développement logiciel permettant de masquer, activer ou désactiver une fonctionnalité dans un environnement de production sans avoir à redéployer le code. Cette technique offre un contrôle en temps réel des fonctionnalités, représente une sécurité contre les problèmes potentiels de nouvelles fonctionnalités et, surtout, permet de travailler sur de nouvelles fonctionnalités directement dans la branche principale sans interrompre le fonctionnement normal de l'application.

Dans le cadre de l'approche TBD, où toutes les modifications sont effectuées directement sur la branche principale, l'utilisation de Feature Flags de fusionner le code pour de nouvelles fonctionnalités qui ne sont pas encore terminées ou testées. La fonctionnalité peut être développée et fusionnée dans le tronc sans être exposée aux utilisateurs jusqu'à ce qu'elle soit prête, où le Feature Flag à ce moment-là, peut être activé.

Le recours à des Feature Flags apporte une flexibilité considérable au processus de développement et constitue une composante essentielle pour atteindre un déploiement continu et un flux de travail efficace dans le TBD.

Mais à quoi ça ressemble concrètement ?

Ce sont ni-plus ni-moins des booléens :

Et à l'usage, par exemple pour du React mais le principe est le même pour n'importe quel environnement :

Il est tout à fait possible de mettre en place un système de Feature Flags contrôlable à distance via un backoffice ou des outils tout prêt à l'usage qui existe sur le marché comme Firebase Remote Config, PostHog ou Harness par exemple.

Pré-requis

Pour une implémentation efficace du TBD, plusieurs éléments sont généralement requis :

  • Intégration Continue (CI) : c'est une stratégie qui bénéficie grandement de l'utilisation de la CI étant donné quelle est souvent sollicité pour de petites modifications. La CI permet d'assurer que le tronc commun est toujours en état de fonctionner correctement et qu'elle continue à être deployable à tout moment.
  • Tests automatisés : les tests automatisés vont de pair avec la CI, ils assurent, si ils sont correctement mis en place, de la qualité du code.
  • Revues de code : comme mentionné précédemment, les revues de code sont une composante essentielle pour maintenir la qualité et le partage de connaissance.
  • Feature flag : comme expliqué précédemment, il est important de savoir mettre en place les features flag parce qu'ils sont souvent utilisés.
  • Culture de la collaboration : enfin, l'environnement de travail est très important, toute l'équipe doit être impliqué, connaître et appliquer ce processus. L'équipe doit également se responsabiliser et doit être prête à collaborer étroitement et à partager ses connaissances.

Résumons les bénéfices

Maintenant que nous avons expliqué le TBD comment il fonctionne et dans quel contexte, nous pouvons en ressortir les bénéfices suivants :

  • Intégration continue (CI) : grâce à l'intégration fréquente de petits changements, les problèmes sont détectés et résolus plus rapidement. De plus, cela limite les éventuels conflits de fusion.
  • Déploiements plus rapides : avec une seule branche principale toujours prête à être déployée, le TBD peut faciliter des déploiements plus rapides et plus réguliers.
  • Simplification du processus : la stratégie TBD supprime la nécessité de gérer de nombreuses branches à long terme, simplifiant le flux de travail de l'équipe.
  • Qualité du code : les revues de code régulières contribuent à maintenir la qualité du code et à anticiper les problèmes.
  • Flexibilité grâce aux Feature Flags : l'utilisation de Feature Flags permet de tester de nouvelles fonctionnalités en production sans les exposer aux utilisateurs finaux, contribuant à un lancement plus sûr et contrôlé des nouveautés.

Un dernier bénéfice que nous allons voir en détail dans le dernier point de cet article, c'est la facilité avec laquelle le TBD favorise l'atteinte de performances élevées selon les métriques DORA, un ensemble de mesures reconnues pour évaluer l'efficacité des équipes.

Et les inconvénients dans tout ça ?

La mise en œuvre de la stratégie TBD présente également certains défis ou inconvénients :

  • Gestion rigoureuses des fusions : les modifications doivent être fusionnées en continu dans le tronc commun, ce qui nécessite que les développeurs synchronisent fréquemment leur travail avec la branche principale pour éviter les conflits de fusion.
  • Culture : pour certaines équipes, l'adoption de cette stratégie peut nécessiter un changement significatif dans leurs pratiques de travail, notamment l'intégration continue et les revues de code constantes.
  • Déploiements risqués sans tests adéquats : sans une couverture de test adéquate, le risque d'introduction de bugs en production peut être plus élevé, car tout le code est fusionné directement dans la branche principale qui est déployée.
  • Complexité des Feature Flags : bien que les Feature Flags offrent plus de flexibilité, leur gestion peut ajouter une certaine complexité. Une mauvaise utilisation des feature flags peut entraîner de la dette technique.

En dépit de ces défis/inconvénients, il est globalement reconnu que les avantages valent les efforts nécessaires pour mettre en œuvre le TBD. Comme pour beaucoup de choses de la vie, il est important de déterminer si cette stratégie est adaptée au contexte spécifique de votre équipe et de votre projet.

DORA Metrics et Trunk-Based Development

Les DORA Metrics (ou DevOps Research and Assessment metrics), sont une série de mesures de performance pour les équipes de développement logiciel.

Ces mesures incluent :

  • Le temps de cycle de déploiement (Mean Lead Time for Changes - MLTC) : Le temps moyen nécessaire pour qu'un commit passe à la production.
  • La fréquence de déploiement (Deployment Frequency - DF) : À quelle fréquence une organisation déploie du code en production.
  • Le temps de rétablissement (Mean Time to Restore - MTTR) : Le temps nécessaire pour récupérer d'une panne ou d'un incident de production.
  • Le taux d'échec des modifications (Change Failure Rate - CFR) : La proportion de déploiements causant un incident de production ou un échec de service.

Le TBD est lié aux DORA Metrics car c'est une méthode de développement qui peut potentiellement améliorer ces mesures. Il encourage des cycles d'intégration et de déploiement plus courts, ce qui peut accélérer le délai de déploiement et augmenter la fréquence de déploiement.

  • MLTC et DF : La fusion fréquente de petites modifications permet de réduire le temps de cycle de déploiement et d'augmenter la fréquence de déploiement, car la branche principale est toujours dans un état deployable.
  • CFR : Avec des revues de code régulières et des tests automatisés, on peut s'attendre à ce que le pourcentage de modifications ratées diminue, car les problèmes sont souvent découverts et corrigés avant le déploiement.
  • MTTR : Comme les problèmes sont généralement plus petits et plus localisés avec cette approche, il est généralement possible de corriger et de restaurer le service plus rapidement.

En résumé, l’approche Trunk-Based Development est bien alignée avec l’amélioration des métriques DORA, ce qui en fait une stratégie de choix pour les équipes axées sur le DevOps.

Ainsi, le développement basé sur la stratégie TBD peut contribuer à l'amélioration des DORA metrics.

Le mot de la fin

Cet article a examiné en profondeur la stratégie de Trunk-Based Development (TBD) en la comparant à Git Flow et en mettant en avant ses nombreux avantages. Nous avons analysé comment le TBD favorise des cycles de développement plus rapides, une meilleure qualité de code grâce aux revues de code constantes, et une plus grande flexibilité par l'utilisation de feature flags. Nous avons également expliqué comment le TBD facilite l'atteinte de performances élevées selon les DORA Metrics.

Cependant, nous avons également souligné que le TBD n'est pas sans défis. Il nécessite une gestion rigoureuse des fusions, un changement culturel significatif dans certaines équipes, une bonne couverture de tests pour minimiser les risques associés au déploiement constant.

Pour conclure, le TBD est un modèle puissant qui peut accélérer la livraison de valeur, améliorer la qualité du code et favoriser l'optimisation continue des performances de l'équipe. Cependant, comme pour toute stratégie, son adoption doit être précédée d’une évaluation approfondie des besoins, contextes et capacités spécifiques de l’équipe.

Les dédicaces

Développement d’une application Android avec React Native
Découvrez le guide ultime du développement d’application mobile Android avec React Native. Transformez votre idée en réalité.
James
3/11/2023

Il y a quelques années maintenant, le développement d'applications mobiles a connu une révolution. Chez Yield Studio, nous l'avons adoptée avec passion. Vous avez forcément déjà entendu parler des systèmes d’exploitation mobile Android et d'iOS ? Pour nous, concevoir une application pour l'un ou l'autre, revient à la même charge de travail.

En effet, grâce à la technologie React Native, nous sommes capables de développer simultanément pour ces deux géants du mobile. Plongez dans notre guide ultime du développement d’application Android.

Que vous soyez novice ou expert, découvrez comment transformer une simple idée en une application concrète. C'est parti !

📗 Comprendre les bases du développement Android

Android, ce n'est pas seulement un petit robot vert que vous voyez sur votre smartphone. En réalité, il s’agit d’un puissant système d'exploitation, utilisé par des milliards d’appareils mobiles à travers le monde. Avant de plonger dans la création d'une application, quelques notions clés s'imposent.

Premièrement, parlons "langage". Pour développer sur Android, on utilise principalement Kotlin, bien que d'autres langages de programmation comme le Java puissent également être adoptés. Kotlin est donc la pierre angulaire de bon nombre d'applications que vous utilisez quotidiennement si vous disposez d’un smartphone ou d’une tablette fonctionnant sous Android.

Voyons un exemple de code source Kotlin des plus basiques :

Dans cet exemple de code source Kotlin, nous utilisons un élément TextView pour afficher le texte « Bienvenue sur notre application Android ! ».

Ensuite, il y a l’environnement de développement, Android Studio. C'est le logiciel officiel, mis à disposition par Google, pour concevoir des applications mobiles Android. Doté d'une panoplie d'outils, il facilite la vie des développeurs, des plus novices aux plus chevronnés.

Voici une capture d’écran de l’environnement de développement Android Studio avec du code source Kotlin rédigé sur la droite de l’écran :

Mais chez Yield Studio, nous avons une large préférence pour React Native. Open source et ultra performant, il nous permet de concevoir des applications à la fois pour Android et iOS avec une seule et même base de code source JavaScript. Une véritable révolution qui simplifie le processus tout en garantissant une expérience utilisateur optimale.

Grossièrement, ce code source React Native emploie un composant Text au sein d'un élément View, avec un style appliqué pour le positionnement et la mise en forme du texte.

En résumé, le développement Android, c'est un mélange entre un langage de programmation, des outils adaptés et, dans notre cas, une touche de magie avec React Native.

Curieux d'en savoir plus ? Alors, continuons l'aventure ensemble !

👨‍💻 La technologie multiplateforme React Native

Lorsque l’on parle de développement d'applications mobiles, une question majeure revient souvent :

« Comment concevoir pour Android et iOS sans doubler le travail ? ».

Notre réponse : React Native !

Conçue par Méta (anciennement Facebook), React Native est une technologie open source qui a révolutionné la façon dont les développeurs conçoivent des applications mobiles. Avec ce Framework, nous n’avons plus besoin de créer deux applications distinctes pour les appareils fonctionnant sous Android et ceux utilisant iOS. Il suffit d’écrire un même code source JavaScript pour que React Native se charge de le transposer simultanément pour les deux systèmes d'exploitation.

Magique, n'est-ce pas ?

Chez Yield Studio, nous avons adopté cette technologie pour une raison simple : elle optimise notre efficacité ! Grâce à React Native, développer une application Android ou iOS représente exactement la même charge de travail pour nous. Quelques différences demeurent, bien sûr, mais elles sont mineures comparées à l'avantage principal : un gain de temps considérable.

Mais ce n'est pas tout ! React Native offre également des interfaces utilisateur fluides, adaptées à chaque plateforme. Les utilisateurs bénéficient ainsi d'une expérience homogène, que ce soit sur Android ou sur iOS.

En choisissant React Native, on fait le choix d'un développement plus rapide, plus cohérent et tout aussi performant. Chez Yield Studio, c'est cette technologie innovante qui nous guide au quotidien, nous permettant de délivrer des applications de haute qualité sur tous les fronts.

💡 Les étapes clés pour créer une application Android

Dès l'instant où l'on décide de se lancer dans le développement d'une application Android, un parcours structuré s'impose. Voici un guide étape par étape pour naviguer dans ce processus avec confiance :

  1. Définir le concept : Avant toute chose, clarifiez votre idée. Quelle est la valeur ajoutée de votre application ? À quel besoin répond-elle ?

  1. Conception de l'interface utilisateur : Une application réussie est intuitive. Travaillez sur un design ergonomique, adapté aux spécificités des appareils Android.

  1. Choisir le bon langage de programmation : Si nous privilégions React Native et donc JavaScript, chez Yield Studio, d'autres options existent. Kotlin et Java sont les langages utilisés pour développer de manière native sous Android.

  1. Utiliser Android Studio : Cet outil de développement, mis à jour régulièrement, est essentiel. Il intègre le SDK (pour Software Development Kit) Android offrant ainsi tout ce dont un développeur Android a besoin.

  1. Tests et améliorations : Une fois votre application développée, la phase de test est cruciale. Elle vous permet de détecter d'éventuels bugs et d'optimiser l'expérience utilisateur.

  1. Mise à jour constante : Le monde des applications évolue vite. Assurez-vous de mettre régulièrement à jour votre application pour répondre aux besoins changeants des utilisateurs et aux mises à jour du système d'exploitation.

  1. Lancement et promotion : Une fois que tout est en place, lancez votre application sur le Google Play Store. Ne négligez pas sa promotion pour garantir sa visibilité et son succès.

Créer une application Android est un voyage passionnant, parsemé de défis. Mais avec une méthodologie claire et les bons outils, comme ceux que nous utilisons chez Yield Studio, votre idée peut rapidement devenir une réalité prisée par des milliers d'utilisateurs.

📝 Publication et mise à jour

Entrer dans le monde des applications Android ne se termine pas simplement avec le développement de votre application. Deux étapes cruciales restent à franchir pour assurer sa pérennité : la publication et les mises à jour. Voici un aperçu de ce que cela implique :

  1. Avant de soumettre votre application Android sur le Google Play Store, vérifiez sa conformité aux directives de la plateforme. Veillez à préparer tous les éléments visuels et descriptifs nécessaires pour présenter votre application sous son meilleur jour.

  1. Une fois prête, soumettez l’application sur le store pour revue. Après validation, elle sera accessible à des millions d'utilisateurs. C'est le moment clé pour voir votre travail récompensé.

  1. Les avis des utilisateurs sont essentiels. Ils vous fourniront des informations précieuses pour améliorer votre application au fur et à mesure de son existence.

  1. En fonction des retours et avis des utilisateurs et des évolutions technologiques futures, planifiez des mises à jour régulières. Cela garantira la satisfaction des utilisateurs et la compatibilité avec les dernières versions d'Android.

  1. Le monde d'Android évolue sans cesse. Intégrez de nouvelles fonctionnalités et tendances pour que votre application reste au goût du jour.

  1. Comme tout produit, une application nécessite des réajustements. Analysez régulièrement les performances de votre application et effectuez les modifications qui s’imposent.

Chez Yield Studio, nous sommes conscients de l'importance de chaque étape. C'est pourquoi nous accompagnons nos clients bien au-delà du simple développement. La publication et la mise à jour sont des phases essentielles pour que votre application Android reste pertinente et appréciée de sa communauté.

Le développement d'applications Android a grandement évolué ces dernières années, poussé par des innovations et des technologies comme React Native ou Flutter. Si vous envisagez de développer une application Android, il est essentiel de comprendre les bases, mais aussi d'embrasser les nouvelles tendances qui façonnent l'avenir de la conception d’applications mobiles.

Chez Yield Studio, grâce à notre expertise en React Native, nous sommes prêts à transformer votre idée en une application fluide, performante et adaptée à la fois pour Android et iOS. En se tournant vers le futur tout en maîtrisant les fondamentaux du développement Android, nous vous assurons une présence mobile solide et durable. 

🚀 Alors, prêt à créer la prochaine application révolutionnaire ? Nous sommes là pour vous accompagner.

Comment trouver son MVP ?
Découvrez comment trouver votre MVP avec un outil No Code ou avec l'aide d'une agence de développement. En quête du produit minimum viable idéal.
Anaïs
3/11/2023

Vous lancez un outil numérique innovant en startup ? Pour maximiser vos chances de réussite, une étape clé consiste à trouver son MVP ! Plus concrètement, MVP signifie "Minimum Viable Product". En d'autres termes, il s'agit de la version la plus simplifiée de votre produit, destinée à être testée sur le marché.

Vous envisagez de faire appel à une agence pour le concevoir ? Attendez un instant ! Saviez-vous que vous pourriez réaliser votre MVP sans dépenser une fortune ? Grâce à des outils No Code, vous pouvez créer votre propre prototype. Cette approche offre non seulement des économies, mais aussi une immersion dans la conception d'applications. Pour les amateurs de code, il y a des options. Et pour ceux qui veulent externaliser, il est également possible de choisir une agence de confiance pour un résultat de qualité.

Plongeons dans le monde du MVP et explorons les meilleures méthodes pour le concevoir de la manière qui correspond à vos besoins !

🔎 Comprendre l'importance du MVP

Chaque start-up rêve de succès. Mais avant de toucher les étoiles, il est essentiel de commencer par des bases solides. C'est là qu'intervient le MVP.

Alors, pourquoi tant d'agitation autour de ces trois lettres ? Le MVP, ou "Minimum Viable Product", est plus qu'une simple version allégée de votre produit. C'est un outil stratégique. Il permet de mettre sur le marché une version fonctionnelle de votre idée sans y injecter toutes vos ressources.

Pourquoi est-ce si crucial pour une start-up ? D'abord, cela permet d'identifier le public cible du produit. Savoir qui ils sont et ce qu’ils veulent. En somme, le MVP vous donne un aperçu précieux de votre idée sur le marché. Ensuite, il joue un rôle dans la phase de test. En effet, en lançant un MVP, vous pouvez recevoir des retours, éventuellement ajuster et faire évoluer. Il offre ainsi une flexibilité absolue.

Par ailleurs, les réseaux sociaux, constituent le terrain de jeu parfait pour promouvoir votre MVP, engager votre audience et affiner votre produit. En bref, le MVP n'est pas seulement un pas vers la mise sur le marché. C'est un tremplin vers le succès de votre start-up !

💎 Nos conseils pour réaliser un MVP sans se ruiner

Lancer un projet demande un investissement conséquent. Heureusement, réaliser un MVP ne signifie pas forcément vider ses poches. Alors, comment économiser sans compromettre la qualité ? Voici quelques astuces que nous avons regroupées :

  • Des outils, dit « No Code », comme Bubble ou Adalo permettent de créer des applications sans avoir à écrire une seule ligne de code ! C'est une aubaine pour celles et ceux qui souhaitent tester une idée rapidement. De plus, ces outils offrent une opportunité pour apprendre les bases du design et de la conception web et/ou mobile.

  • Avant de plonger dans le développement, pourquoi ne pas d’abord concevoir un prototype ? Figma est un outil parfait pour cela. Il donne vie à votre idée, facilite les retours et ajustements, sans le coût d'un développement complet.

  • Si le besoin de faire appel à une agence se fait sentir, choisissez judicieusement. Une relation à long terme basée sur la confiance est essentielle. Cela garantit une meilleure compréhension de votre vision, mais aussi une réalisation de qualité.

  • Plutôt que de dépenser en études coûteuses, utilisez les réseaux sociaux. Posez des questions et créez des sondages. Ils sont une mine d'or d'informations pour un coût minime.

  • Une page d'accueil bien conçue peut faire des merveilles ! Elle peut permettre de recueillir des retours, attirer les utilisateurs potentiels et valider votre concept. Évidemment, elle peut être mise en place avec un budget limité.

En somme, l'objectif n'est pas de dépenser le moins possible, mais bien de dépenser judicieusement. Un MVP bien pensé et économique est souvent le premier pas vers un produit réussi.

🏠 Externaliser la création du MVP

Externaliser peut sembler coûteux au premier abord. Cela peut, parfois, être le choix le plus judicieux. Pour quelle raison ? Et comment le faire correctement ? Découvrons cela ensemble !

Concevoir un MVP exige des compétences en design, en développement et parfois même en marketing. Vous n’avez pas ces compétences en interne ? Pas de problème, une agence spécialisée peut combler ce manque.

Confier la réalisation de votre MVP à des experts vous permet alors de gagner du temps. Vous pouvez ainsi vous concentrer sur d'autres aspects cruciaux de votre start-up. Par ailleurs, une agence a l'expérience nécessaire pour éviter les pièges courants. Elle saura vous guider vers une solution adaptée à votre public.

En réalité, pour une collaboration durable, la clé, c’est la confiance. Une fois la collaboration correctement établie sur le long terme, l’agence pourra vous garantir une meilleure compréhension de vos besoins. Prenez alors le temps de discuter, de partager votre vision et d'établir des liens solides. Évidemment, externaliser a un coût qu’il faut voir un investissement puisqu’un MVP bien conçu vous aidera à tester votre idée sur le marché et à attirer de nouveaux investisseurs.

En définitif, la décision d'externaliser dépend surtout de votre situation. Évaluez vos besoins, vos ressources et la valeur ajoutée qu'une agence peut vous apporter. Si vous choisissez cette voie, faites-le avec discernement et confiance.

⚡️ Quelques astuces pour dépenser le moins d'argent possible

Lancer une start-up est toujours un projet très excitant mais le budget peut devenir rapidement une préoccupation et un frein. Il faut perpétuellement se demander comment minimiser les coûts tout en maximisant l'efficacité de votre MVP. Voici quelques astuces :

  • Bubble, Adalo, entre autres outils No Code, permettent de créer des applications sans avoir à être expert en développement web et mobile. Ils sont souvent plus abordables et faciles à prendre en main. De plus, ils vous donneront, peut-être, une appétence pour la conception d'applications.

  • Avant de plonger dans le développement, utilisez des outils de conception comme Figma pour créer des prototypes et des maquettes. Cela vous aide à visualiser de manière plus concrète votre idée, à obtenir des retours en présentant vos travaux et à réajuster le design sans avoir à dépenser.

  • Avant de dépenser de l'argent, assurez-vous d’abord qu'il y a une demande. Utilisez les réseaux sociaux, les enquêtes ou les groupes de discussion pour comprendre et connaître votre public cible et sa densité.

  • Avant même que votre MVP soit prêt, créez une landing page (ou page de lancement, en français) pour recueillir des courriels d'intéressés. Cela valide l'intérêt tout en vous offrant un canal de communication pour les phases de test.

  • Plutôt que de dépenser beaucoup dans la publicité, misez sur les réseaux sociaux. Ils peuvent aider à créer une communauté gravitant autour de votre produit.

  • Une fois votre MVP prêt, testez-le avec un petit groupe. Cela coûte moins cher que de lancer à grande échelle, et les retours sont précieux pour les ajustements.

  • Plutôt que de viser la perfection dès le départ, concentrez-vous sur les fonctionnalités essentielles. Faites évoluer votre MVP en fonction des retours et des besoins.

L'essentiel est de rester agile, d'écouter votre marché et d'ajuster en conséquence. En suivant ces astuces, vous pourrez lancer un MVP efficace sans avoir à dépenser l’intégralité votre trésorerie.

Le chemin vers le MVP idéal est parsemé de décisions stratégiques. Que vous optiez pour une solution No Code, un prototype détaillé ou une collaboration avec une agence spécialisée de confiance, l'essentiel est de rester concentré sur votre public cible et de valider votre idée avant de vous lancer à grande échelle.

La start-up moderne a à sa disposition une multitude d'outils et de ressources pour minimiser les coûts. Gardez à l’esprit que le MVP n’est qu’une première étape, pas la destination finale. Il vous sert, avant tout, à apprendre, à ajuster et à évoluer.

En suivant les conseils et astuces partagés, vous serez, non seulement, en mesure de trouver votre MVP idéal mais aussi de le lancer avec succès et efficacité, tout en maîtrisant votre budget.

Comment développer une application iOS pour iPhone ?
Découvrez comment développer une application iOS, de la création à la mise en ligne sur l'App Store. Nos conseils pour créer votre application iPhone.
Cyrille
25/9/2023

Vous envisagez de plonger dans le monde fascinant du développement d'applications mobiles ? Le système d'exploitation iOS d'Apple est un excellent point de départ ! Conçu pour les appareils de la marque à la pomme, ce système d’exploitation (ou OS pour Operating System) offre une expérience utilisateur à la fois fluide et sécurisée.

Que vous cherchiez à concevoir une application pour iPhone ou à développer conjointement pour les OS iOS et Android, chaque étape de développement compte.

Dans cet article, nous vous guidons à travers le processus de création d'une application iOS, depuis la conception des maquettes graphiques jusqu'à sa mise en ligne sur l'App Store. Même si vous êtes novice dans le domaine, ne vous inquiétez pas ! Nous vous accompagnons étape par étape. Prêt ? Alors, allons-y !

Comprendre les fondamentaux de la plateforme iOS

Avant de démarrer le développement d’une application mobile pour iPhone, il est essentiel de maîtriser les bases de son OS : iOS. En réalité, iOS est le système d'exploitation utilisé par absolument tous les iPhones. Il propulse également d'autres appareils Apple comme l'iPad et est mis à jour très régulièrement pour proposer de nouvelles fonctionnalités et corriger des problèmes. Contrairement aux applications web, qui sont consultables depuis un navigateur web, les applications natives iOS sont spécifiquement conçues pour cet OS.

Sur iOS, l'accent est mis sur la simplicité, l'intuitivité et l’ergonomie. Une conception cohérente et pertinente des interfaces graphiques est alors cruciale pour positionner notre application comme un produit digne de la marque à la pomme. Pour coller à l’image renvoyée par les solutions Apple, des designs épurés et des interactions fluides sont primordiaux.

Si vous avez déjà utilisé un iPhone, vous savez à quel point l'expérience utilisateur peut s’avérer agréable. Le langage de programmation principalement utilisé pour développer sur cet OS est Swift. Conçu par Apple, Swift est à la fois puissant, moderne et pensé pour produire des solutions performantes.

Pour vous donner une idée de sa syntaxe, voici un bout de code écrit en Swift :

Une image contenant texte, capture d’écran, affichage, logicielDescription générée automatiquement

Ce code se charge de créer une vue simple avec Swift. Il affiche :

  • Un texte de bienvenue en grand et en bleu,
  • Le logo d'Apple en rouge en dessous du texte,
  • Un bouton vert avec le texte "Cliquez ici". Lorsque ce bouton est cliqué, un message est affiché dans la console,

Avec Swift, la création d'interfaces utilisateur est intuitive et déclarative, permettant aux développeurs de voir immédiatement à quoi ressemble l'interface utilisateur grâce au système de prévisualisation intégré. Bien sûr, le langage de programmation Objective-C permet aussi de créer des interfaces pour système Appel, mais Swift est devenu le choix privilégié de nombreux développeurs.

Découvrons néanmoins un exemple de code source Objective-C chargé de réaliser le même traitement que celui écrit en Swift :

Une image contenant texte, capture d’écran, logiciel, ordinateurDescription générée automatiquement

Remarquez que la syntaxe est bien plus verbeuse et moins simple à lire qu’avec Swift.

Comme la sécurité dans nos solutions numérique est aujourd’hui une priorité absolue, Apple maintient des normes de sécurité très strictes. Cela signifie aussi qu’en tant que développeur, vous devez être vigilant et suivre les meilleures pratiques pour garantir la sécurité de votre application.

En résumé, iOS est une plateforme solide, centrée autour des besoins de l'utilisateur. Pour développer une application iOS réussie, il faut penser design, performance et sécurité.

Les étapes clés pour créer une application pour iPhone

Créer une application iOS, c'est un peu comme construire une maison. Il faut un plan, des outils et beaucoup de patience et de motivation.

Voici les étapes essentielles :

  1. L’idéation et la planification : Avant tout, clarifiez vos idées. Quelle est la fonction principale de votre application ? Comment se démarque-t-elle des autres ? C’est aussi le moment pour se demander combien va coûter l’application mobile.

  1. La conception de l’interface graphique : L'apparence compte beaucoup. Concevez ou faites concevoir des maquettes et pensez à la navigation. Comment les utilisateurs interagiront-ils avec votre application ?

  1. Le choix de la technologie : Comme mentionné plus haut, Swift est le langage de programmation phare. Mais selon le projet, Objective-C peut aussi être une solution pertinente.

  1. Le développement : C'est le cœur du projet. Codez les fonctionnalités, intégrez les interfaces graphiques précédemment conçues, testez chaque élément.

  1. La phase de test : Avant le grand saut, testez votre application. Cherchez les bogues et corrigez-les. Assurez-vous que tout fonctionne comme attendu. Le Test Driven Development (ou TDD) peut être une excellente approche !

  1. La soumission de l’application à l'App Store : Préparez-vous pour la validation d'Apple. Rassemblez tous les éléments nécessaires : des captures d'écran illustratives, une description, une icône d’application, etc.

  1. L’attente de validation : Apple examine chacune des applications publiées sur son magasin en ligne. Ils s'assurent ainsi qu'elles respectent ses directives. Patience est le maître-mot ici.

  1. Le lancement et la promotion : Une fois l’application validée par Apple, c'est le moment de faire briller votre application ! Partagez-la, encouragez les téléchargements et recueillez des avis auprès de ses utilisateurs.

  1. Les mises à jour : Une application se doit d’évoluer. Écoutez les retours et améliorez-la en la mettant à jour régulièrement.

En somme, développer pour iPhone est un voyage passionnant mais néanmoins chronophage.

Chaque étape compte et mène à la satisfaction ultime de voir votre application vivre, évoluer et être utilisée par des milliers de personnes à travers le monde.

Comment publier votre application sur l'App Store d'Apple ?

Publier sur l'App Store, c'est le Graal pour tout développeur iOS. Mais le chemin est parsemé d'étapes.

Voici comment s'y prendre :

  1. Créez un compte développeur Apple : C'est la première étape. Elle est payante (99$ par an), mais indispensable. Rendez-vous sur le site officiel d'Apple pour les développeurs et suivez les instructions.

  1. Préparez tous les éléments : Avant de soumettre, préparez tous les éléments nécessaires à portée de main. Des captures d'écran de l’application, une icône ainsi qu’une description attrayante sont à prévoir.

  1. La configuration du projet : Dans le logiciel Apple Xcode, obligatoire pour mettre en ligne sur l’App Store, configurez votre application pour la publication. Assurez-vous que tout est en ordre, notamment au niveau des identifiants et des certificats.

  1. La soumission : Toujours avec Xcode, soumettez votre application pour une revue des experts Apple. C'est le moment de vérité !

  1. Patienter pendant la revue : Apple est minutieux. Ses employés vérifient chaque détail. Cette étape peut prendre du temps.

  1. La réponse d'Apple : Deux issues possibles, ici : la validation ou le rejet de l’application. Si l’application est rejetée, pas de panique ! Apple partager toutes les raisons. Corrigez les problèmes pointés et soumettez de nouveau.

  1. La publication : Une fois validée, l’application est rendue disponible et prête à être téléchargée par le monde entier. Félicitations !

  1. Gardez un œil sur les retours : Les avis des utilisateurs sont précieux. Ils vous aident à améliorer et à adapter votre application à leurs besoins présents ou futurs.

La publication sur l'App Store est une aventure plus ou moins simple en fonction du contexte.

Elle demeure néanmoins très gratifiante quand on découvre que le fruit de son travail est reconnu ! 

Alternatives et compléments : le développement d’applications Android et iOS

Bien sûr, cet article porte sur les applications iOS mais pourquoi se limiter à un seul OS ?

L'univers de l’application mobile est vaste et il peut être pertinent de se demander quels systèmes d’exploitation il existe pour les smartphones.

Voici quelques points à considérer si vous songez à élargir vos horizons :

  • La double présence : Avoir une application à la fois présente sur iOS et Android, c'est aussi toucher l’intégralité du marché mobile. Ne passez pas à côté de cette opportunité.

  • Les outils multiplateformes : Des solutions existent pour développer simultanément pour les appareils iOS et Android. React Native, Flutter ou Xamarin, par exemple.

  • Un design adaptatif : Chaque système a ses propres spécificités. Respectez les guidelines d'Apple et de Google pour proposer la meilleure expérience utilisateur (ou UX). Attention à bien différencier UX et UI design !

  • Les tests croisés : Tester sur les deux plateformes est crucial. Il est important de garder à l’esprit que les bogues rencontrés sur l’application Android ne seront pas forcément les mêmes que sur iOS.

  • La publication : L'App Store et le Google Play Store ont leurs propres règles. Informez-vous et adaptez-vous en conséquence.

  • Les mises à jour : Tenir à jour une application sur deux plateformes en simultané demande davantage de travail. Mais les retours positifs en valent la chandelle.

  • Le coût : Développer pour les deux plateformes peut être plus coûteux. Mais pensez au retour sur investissement sur le long terme. Il s’agit d’un investissement pour l’avenir. Pour vous faire une idée plus concrète du coût d’une application mobile, n’hésitez pas à consulter notre article sur le sujet: https://www.yieldstudio.fr/blog/combien-coute-une-application-mobile !

Android ou iOS ? Pourquoi choisir ? Avec une stratégie bien pensée, offrez à votre application une visibilité maximale. Après tout, le monde mobile n'attend que vous !

De la compréhension des bases à la publication sur l'App Store, chaque étape de la conception d’une application iOS compte. Si vous visez plus large, envisagez également l’OS concurrent : Android.

Les opportunités sont immenses dans l'univers mobile. Si vous êtes prêt à faire le grand, gardez à l’esprit qu’une bonne application commence par une idée solide. Alors, affinez votre concept, travaillez dur, et faites briller votre application en suivant les étapes de cet article. Bon développement !

Combien coûte une application mobile ?
Découvrez combien coûte une application mobile. De la phase MVP à la mise en production, décrypter les facteurs influençant le prix.
Cyrille
25/9/2023

À l'ère du numérique, l’utilisation massive d'applications mobiles a transformé notre façon d'interagir, de consommer et de produire. Elles permettent de commander à manger, de surveiller nos dépenses ou encore de communiquer avec nos proches. Les applications pour smartphones ont investi presque tous les aspects de notre quotidien.

Face à cette omniprésence du smartphone dans les foyers et chez les particuliers, de nombreuses organisations cherchent à développer leur propre application. Néanmoins, une question demeure prédominante : combien coûte réellement la création d’une application mobile ?

En réalité, la réponse à cette question n'est pas aussi simple qu'il y paraît ! Le coût de création d’une application mobile dépend de nombreux facteurs comme les fonctionnalités ou la phase de conception attendues. Entre le développement d’un MVP (Minimum Viable Product) et d’une version plus avancée, les écarts de coût et de temps diffèrent grandement.

Il est primordial de ne jamais négliger la qualité même si cela implique de se concentrer uniquement sur la fonctionnalité phare de la solution mobile.

Dans cet article, nous nous intéresserons aux différents éléments qui influencent le prix d'une application pour smartphone. Nous partagerons des recommandations pour optimiser votre budget tout en garantissant un produit de qualité supérieure. Préparez-vous un café bien chaud et plongeons ensemble dans le vaste monde du coût de développement d'une application mobile !

Les facteurs déterminants du coût d’une application mobile

Lorsque l'on s'interroge sur « combien coûte une application mobile », il est essentiel de comprendre que différents éléments influencent le prix.

La création d'une application n'est pas un processus monolithique. Elle se compose de plusieurs étapes et composants qui ont chacun leur propre temps et coût associés.

🧐 La phase de l’application : MVP ou avancée

La première distinction majeure à faire se situe entre une application en phase MVP et une autre plus avancée.

Le MVP est une version simplifiée de votre idée d'application, se concentrant sur une seule et unique fonctionnalité phare. Elle sert à tester l'adéquation entre le produit et le marché. Naturellement, développer un MVP coûte moins cher que de mettre en œuvre une application complète comportant de nombreuses fonctionnalités avancées. Pour vous donner une idée plus concrète, gardez à l’esprit que la majorité des projets MVP se situent entre 60 000 € et 120 000 €.  D’autres éléments influent de manière plus ou moins importante sur le prix final de création d’une application mobile.

🔦 L'échelle de l’application

L'échelle de l’application à concevoir est un autre facteur déterminant. En toute logique, une application conçue pour un petit groupe d'utilisateurs locaux n'a pas le même coût qu'une solution visant une large audience. En résumé, plus l'application mobile est complexe et destinée à une large audience, plus son coût augmente. Pour une application à grande échelle, comptez généralement aux alentours de 180 000 €.

Ces valeurs peuvent, bien évidemment fluctuer en fonction des spécificités propres au projet. Pour optimiser le coût final de l’application, il est essentiel de préciser au maximum son besoin et le comportement attendu pour la solution mobile.

🙋 Le cahier des charges

En ce sens, le cahier des charges est le plan d'action idéal. Bien évidemment, plus il est complexe, plus le coût de développement sera élevé.

Plusieurs éléments rédigés dans le cahier des charges peuvent alourdir le coût de production comme :

  • Des fonctionnalités multiples,
  • La conception d’une application fonctionnante à la fois sous les systèmes d'exploitation Apple et Android,
  • Des mises à jour régulières.

🚀 La qualité avant tout

Comme nous l’évoquions plus, il est crucial de ne pas sacrifier la qualité pour économiser sur les coûts ! En effet, environ 75% des refontes de projets d’application mobile sont dues à une conception initiale médiocre. Ce manque de finesse oblige bien souvent les studios de développement à reprendre tout le développement à zéro.

Il est essentiel de voir le coût d’une application comme un investissement plutôt que comme une dépense. Cela vous aidera à prioriser la qualité dès le début. Miser sur la qualité et avoir une vision claire de l’objectif premier de l’application sont essentiels pour maîtriser les coûts tout en garantissant le succès de la solution sur le marché.

La stratégie de développement : une approche centrée sur une fonctionnalité phare

Lorsqu’on évoque le développement d'applications mobiles, une tendance forte se dessine : la concentration sur une unique fonctionnalité phare pour la première version.

Mais pourquoi cette approche est-elle tant plébiscitée, et comment influence-t-elle le coût de création d'une application ?

✅ La simplification du processus de développement

En se concentrant sur une unique fonctionnalité phare pour lancer une application mobile, on réduit significativement la complexité du développement. Cette stratégie permet d'aller à l'essentiel, de tester l’idée principale auprès du public sans se disperser. Non seulement cela se traduit souvent par des coûts de développement initial moindres mais cela permet également de mettre en place le produit sur le marché plus rapidement.

✅ La réception et les ajustements du marché

Avoir une seule fonctionnalité dominante offre une meilleure clarté lors de la collecte de retours utilisateurs. On peut alors, plus simplement, évaluer la pertinence de cette fonctionnalité et déterminer si elle répond aux besoins des utilisateurs de l’application. Cela facilite grandement les ajustements, les mises à jour et l'ajout éventuel de fonctionnalités supplémentaires par la suite.

✅ La maîtrise des coûts et l’optimisation du budget

En règle générale, le coût de développement d'une application avec une seule fonctionnalité phare est plus prévisible. En effet, se concentrer sur l'essentiel permet d’éviter les coûts supplémentaires liés à des fonctionnalités superflues ou qui pourraient être mal reçues par les utilisateurs. Cette stratégie offre également la flexibilité d'allouer une part du budget à d'autres aspects essentiels comme le marketing, la promotion ou les futures mises à jour.

✅ La priorisation de la qualité sur la quantité

Chez Yield Studio, nous soutenons fermement l’idée qu'il vaut mieux avoir une seule fonctionnalité phare parfaitement exécutée que de multiples fonctionnalités médiocres. Cette approche garantit une première impression très positive à vos utilisateurs.

Comme évoqué précédemment, une application de qualité réduit les chances de refontes coûteuses et permet de bâtir une base solide pour le futur de l’application. Dans un secteur aussi compétitif que celui des applications mobiles, il est essentiel de se démarquer dès le début, et cette approche offre tous les outils pour y parvenir.

Les pièges à éviter lors de la conception d'une application mobile

Développer une application mobile est une aventure passionnante mais elle peut aussi être truffée d’obstacles et de pièges potentiels. Un projet mal conçu à la base peut rapidement devenir coûteux autant en temps qu’en ressources.

Pour vous aider à naviguer sereinement dans l'univers du développement mobile, voici quelques erreurs courantes à éviter.

❌ Sous-estimer l'importance du design

Une application doit être intuitive, ergonomique et agréable à utiliser.

Une conception graphique mal pensée peut repousser les utilisateurs et nuire à la réputation d’une application.

Investir dans une bonne conception graphique UI/UX (User Interface / User Experience) est primordial pour garantir la satisfaction des utilisateurs de l’application.

❌ Ignorer les retours des utilisateurs

Une fois l’application sur le marché, les retours des utilisateurs représentent une véritable mine d'or. Ignorer ces retours, qu'ils soient positifs ou négatifs, est une grave erreur. Ils permettent d'ajuster et d'améliorer continuellement le produit et sa qualité.

❌ Ne pas prévoir de budget pour les mises à jour

Le monde des applications mobiles est en constante évolution. Les systèmes d'exploitation sont régulièrement mis à jour, et toutes les applications mobiles utilisées doivent suivre la tendance. Ainsi, n’allouer aucun budget pour de futures mises à jour peut rendre une application obsolète en un rien de temps.

❌ Choisir la mauvaise plateforme

Il est également crucial de bien définir le public ciblé par l’application et de choisir la plateforme adéquate, que ce soit iOS, Android ou les deux. En effet, développer une application native pour une plateforme qui n'attire pas le public cible est une perte de temps et d'argent considérable.

❌ Négliger le marketing

Même la meilleure des applications mobiles ne sera pas un succès si personne ne la connaît ! Il devient alors essentiel d’investir du temps et de l’argent dans le marketing et la promotion. Prévoyez une stratégie de lancement efficace pour vous démarquer sur les magasins en ligne comme l’App Store d’Apple, le Google Play Store ou encore sur les réseaux sociaux.

❌ Manquer de clarté dans le cahier des charges

Un cahier des charges flou ou incomplet peut entraîner des malentendus avec le studio de développement, augmentant ainsi les coûts et les délais. Il est essentiel de définir de manière très claire et précise les attentes et besoins auxquels doit répondre la future application mobile dès le départ.

En évitant ces pièges courants, vous augmentez vos chances de succès et assurez la longévité de vos applications sur ce marché hautement concurrentiel.

Comprendre le coût d'une application mobile est essentiel pour tout entrepreneur ou entreprise cherchant à s'immiscer dans le monde numérique. Les chiffres peuvent varier, mais ce qu'il faut retenir, c'est que chaque projet est unique, avec ses propres besoins et objectifs.

Chez Yield Studio, nous privilégions toujours la qualité à la quantité, en nous concentrant sur des fonctionnalités phares tout en évitant les pièges courants du développement.

S'engager dans la création d'une application est un investissement, non seulement financier, mais aussi en temps et en énergie. Il est donc crucial de s'entourer de partenaires experts qui vous guideront tout au long de cette aventure.

Enfin, rappelons-le : la clé du succès réside souvent dans la simplicité. Une application bien conçue, centrée sur l'utilisateur et répondant à un besoin précis, a toutes les chances de briller.

Si vous vous demandez combien coûte votre future application mobile, n'hésitez pas à nous contacter.

Chez Yield Studio, nous sommes toujours prêts à vous aider à transformer votre vision en une réalité digitale !

Test Driven Development (TDD) : Guide pour un Développement Efficace
Découvrez le Test Driven Development : avantages, meilleures pratiques et impact sur la qualité du code. Maîtrisez l'art du TDD aujourd'hui !
Julien
21/9/2023

L'origine

Le Test-Driven Development plus communément appelé TDD n'a pas été inventé par une seule personne mais par plusieurs développeurs. Kent Beck est souvent la personne la plus affiliée au TDD parce qu'il est celui qui l'a popularisé lors de ses travaux sur la méthodologie Extreme Programming à la fin des années 90. Néanmoins il est important de rappeler qu'il n'est pas le créateur de l'outil qu'est le TDD, il a été mis en place pour tout un tas de personne, dont notamment Martin Fowler (co-auteur du Manifeste Agile) ou encore Ward Cunningham et Ron Jeffries qui ont fondé l'Extreme Programming avec Kent Beck.

Un outil de travail

L'outil

Le TDD est un outil de travail qui permet au développeur de coder en étant guidé par les tests. Il permet d'avancer étape par étape, petit pas par petit pas, pour avancer vers une solution toujours plus fiable.

Cette solution plus fiable est notamment due à sa forte proximité avec les principes SOLID. En effet, le TDD facilite la mise en place des principes SOLID. En écrivant d'abord des tests, il est plus naturel de concevoir un code simple et cohérent qui respecte les principes tels que l'encapsulation, le découplage, la gestion des dépendances et la séparation des responsabilités. On se retrouve plus naturellement avec des modules indépendants et l'injection de dépendances, ce qui conduit à du code plus propre.

Le TDD et les principes SOLID vont donc de pair pour une conception logicielle de qualité.

  1. Nous avons une première phase (rouge sur le schéma) où nous devons écrire un test qui échoue, basé sur une spécification. NB : on n'écrit pas de code de production (code final) tant que le test n'est pas en échec.
  2. La deuxième phase (verte sur le schéma) consiste à faire passer le test en succès en écrivant du code de production et tout en restant le plus simple possible. NB : on écrit uniquement le code nécessaire pour faire passer le test et sans retourner dans le code du test.
  3. La dernière phase (bleue sur le schéma) concerne le refactoring. On met à jour le code en appliquant les bonnes pratiques, le clean code, etc. Une fois que le refactoring est fait, si les tests passent toujours, on conserve le refactor et on passe aux prochaines spécifications, sinon, on annule le refactor et on essaye autre chose. NB : ne doit jamais effectuer de refactoring dans les autres phases, seulement ici.

L'approche TDD est un développement itératif et incremental qui met l'accent sur la qualité du code.

Le manifeste

Le TDD respecte certains principes qui sont :

  • Baby steps instead of large-scale changes
    On avance petit pas par petit pas pour avoir une boucle de feedback rapide et régulière.
  • Continuous refactoring instead of late quality improvements
    On améliore le code en continue, on s'en occupe tout de suite parce qu'un refactor annoncé pour plus tard n'arrive finalement en général jamais.
  • Evolutionary design instead of big design up front
    On développe ce qui est nécessaire et suffisant et on évolue progressivement.
  • Executable documentation instead of static documents
    Les tests mis en place pendant le TDD sont en réalité une documentation executable. L'idée est de lier la documentation avec le code pour s'assurer qu'elle est bien à jour et maintenue.
  • Minimalist code instead of gold-plated solution
    Un code simple et qui fonctionne plutôt qu'une solution surdimensionnées avec un niveau de complexité bien trop élevé et pas nécessaire.

Le test propre

Given When Then

L'approche Given When Then est basée sur une convention développée dans le cadre du Behaviour-Driven Development autrement appelé BDD. Il s'agit d'une approche de développement axée sur la collaboration et la spécification du comportement à travers ds scénarios clairs et compréhensibles.

En utilisant cette convention on divise le test en trois parties :

  1. Given, la condition préalable au test
  2. When, l'exécution du système testé
  3. Then, le comportement attendu
Exemple : Given user is not logged in When user logs in Then user is logged in successfully

Should When

L'approche Should When est une convention de nommage facile à lire et plus largement utilisée.

En utilisant cette convention on divise le test en deux parties :

  1. When, la condition préalable au test
  2. Should, le comportement attendu
Exemple : Should have user logged in When user logs in

Arrange Act Assert

Le modèle Arrange Act Assert autrement appelé AAA est un pattern descriptif et révélateur des intentions pour structurer le test.

Le test est alors organisé de la manière suivante :

  1. La partie Arrange contient la logique de configuration du test. C'est ici qu'on initialise le test.
  2. La partie Act execute le système que l'on souhaite tester. C'est ici qu'on fait l'appel d'une fonction, d'un composant, d'un call API, etc.
  3. La partie Assert, vérifie que le système testé se comporte comme prévu. C'est ici qu'on vérifie que le résultat obtenu correspond au résultat attendu.

Exemple :

F.I.R.S.T.

Le principe F.I.R.S.T. est un ensemble de principes qui définissent les caractéristiques d'un test propre et de qualité.

Ces caractéristiques sont les suivantes :

  • Fast, un test doit être rapide et efficace de manière à pouvoir être exécuté fréquemment pour avoir un feedback régulier
  • Independent, les tests doivent être indépendants les uns des autres afin d'être exécutable individuellement et efficacement
  • Repeatable, un test doit être répétable dans n'importe quel environnement et à tout moment
  • Self-Validating, les tests doivent retourner un succès ou un échec afin de vérifier lui même si l'exécution du test a réussi ou échoué sans évaluation manuelle
  • Timely, les tests doivent être écrit avant ou en même temps que le code de production. ils doivent être maintenus et exécutés régulièrement

Quand l'utiliser ?

Quand ne pas l'utiliser plutôt !

Il n'est pas nécessaire et pas utile de faire du TDD quand on a pas de spécifications, quand les tests n'apportent rien, quand les tests sont trop lents, quand il n'y a pas de logique.

La démo

L'incontournable Fizz Buzz

Le Fizz Buzz est un exercice populaire qui permet d'appréhender la méthode TDD. Ce n'est qu'un échantillon et qu'un début de la méthode, mais ça reste intéressant.

Les spécifications sont les suivantes :

  • On commence à compter à partir de 1 jusqu'à 100
  • Lorsqu'on rencontre un nombre divisible par 3, on retourne "Fizz"
  • Lorsqu'on rencontre un nombre divisible par 5, on retourne "Buzz"
  • Lorsqu'on rencontre un nombre divisible par 3 et par 5, on retourne "Fizz-Buzz"

Nous allons utiliser le TypeScript pour mettre en place cet algorithme et le tester.

Première spécification

On créé un fichier test fizz-buzz.test.ts et on créé notre premier test qui va gérer la spécification où on teste le nombre 1.


Ici, le test ne passe pas parce qu'on a pas encore créé la fonction fizzBuzz() et encore moins l'algorithme associé. Nous sommes donc à la première phase du TDD, la phase rouge, celle où on écrit un test qui échoue.

On va maintenant passer à la deuxième phase du TDD, celle où on va faire passer le test au vert. Pour cela, on va créer le fichier fizz-buzz.ts et écrire le code permettant de gérer notre cas de spécification.

Ici, on pourrait avoir tendance à faire un return String(n) directement, mais TDD nous dit de commence par écrire le code le plus simple possible pour faire passer le test au vert, et en réalité le plus simple et rapide et de tout simplement retourner 1 directement. On va passer au prochain test qui est de tester l'input 2.

Le test échoue parce qu'on a pas encore géré ce cas dans notre fonction. On retourne donc dans notre fonction et on essaye de résoudre ce cas de la manière la plus simple et rapide.


Ici, encore une fois, le plus rapide est de retourner 2 si on a 2 en input.

Maintenant on arrive à la troisième et dernière phase du TDD, celle du refactor. En effet, actuellement nos tests passent avec succès, le code est simple, mais il pourrait l'être encore plus en appliquant de bonnes pratiques.

On va donc revenir sur notre fonction fizzBuzz() sans modifier les tests.


Notre fonction est maintenant simple, propre et concise et les tests sont toujours verts. Notre refactor est donc réussit, on peut passer à la prochaine spécification.

Deuxième spécification

Nous devons maintenant faire en sorte de retourner Fizz si l'input est divisible par 3.


Le test échoue, on va maintenant gérer le cas du Fizz dans la fonction.

Le code le plus simple pour retourner  Fizz quand on a 3 et de tester si n === 3.

On va maintenant gérer un deuxième cas où on a un nombre divisible par 3.

Le test échoue, on met à jour le code.


Le code le plus simple pour retourner Fizzquand on a 3 ou 6 et de faire un ||, mais on se rend bien compte qu'on peut améliorer le code en utilisant le modulo de 3. Les tests sont tous verts, donc on peut se permettre de passer à la phase de refactor en modifiant uniquement le code de la production.

Refactor terminé, tous les tests sont verts, on peut passer à la prochaine spécification.

Troisième spécification

Nous devons maintenant faire en sorte de retourner Buzz si l'input est divisible par 5.

On va aller un peu plus vite, mais le procédé est le même, on va d'abord faire un test avec un input 5 puis 10, puis refactor.


Dernière spécification

Nous devons maintenant faire en sorte de retourner Fizz-Buzz si l'input est divisible par 3 et par 5.

Comme pour les spécifications précédentes, on va faire un test avec un input 15 puis 30 et enfin refactor.


Et voilà !

Le mot de la fin

Stop aux amalgames ! Le TDD n'est pas un outil pour avoir une bonne couverture de code avec les tests, ce n'est pas simplement "faire des tests". Le TDD est un outil dont le but est de guider le développeur vers un objectif. Il permet de donner un feedback régulier afin de s'assurer qu'on est toujours sur la bonne voie. Il faut le voir comme un GPS, qui nous donne des directions à suivre (tourner à droite, aller tout droit pendant 2km, etc.) jusqu'à atteindre un objectif.

Les dédicaces

Systèmes d'exploitation pour smartphone iOS et Android
Découvrez les spécificités des systèmes d'exploitation pour smartphones iOS et Android et le développement cross-platform avec React Native.
James
14/9/2023

À l’heure du tout numérique et de l’utilisation massive des smartphones, on compte pas moins de 485 000 nouveaux téléchargements d’applications mobile par minute. Le développement de ces applications représente ainsi un excellent moyen pour les entreprises pour promouvoir leurs produits ou proposer des fonctionnalités innovantes. 

Dans ce domaine hautement concurrentiel, deux acteurs majeurs ont su tirer leur épingle du jeu entre le milieu des années 2000 et aujourd’hui. Ils dominent désormais le marché mondial du smartphone.

Ces deux géants très populaires font partie des GAFAM. En effet, il s’agit de la société Apple et son système d’exploitation (ou OS pour Operating System) pour smartphone « iOS » et Google avec son OS mobile Android.

Avec des utilisateurs divisés entre ces deux systèmes d’exploitation, il est crucial, pour les développeurs, de déterminer sous quel OS faire tourner leur future solution mobile.

Dans cet article, nous explorerons les langages natifs permettant de développer une application dédiée au système d’exploitation smartphone de son choix. Ensuite, nous nous concentrerons sur le développement multi-plateforme (ou cross-platform), avec l’utilisation de frameworks comme React Native.

iOS et Android : les titans du système d'exploitation smartphone

En 2007, Apple et son système d'exploitation pour iPhone (ou iOS) redéfinissent le monde des smartphones.

Conçu exclusivement pour les mobiles de la marque à la pomme, cet OS est optimisé pour offrir une expérience utilisateur fluide et graphiquement homogène.

Par ailleurs, l'App Store, qui héberge les applications pour iOS, est un environnement strictement contrôlé, garantissant aux utilisateurs une certaine sécurité et qualité.

Notez que la publication d’applications iOS sur ce magasin en ligne nécessite un compte « Apple Developer » à $99 par an. L’environnement de développement (ou IDE) Xcode, logiciel exclusif aux ordinateurs portables et fixes de Apple est également un prérequis à la publication d’application iOS.

De son côté, le système d'exploitation Android, développé par Google, est aujourd’hui le cœur de nombreux smartphones et tablettes.

En étant open source et basé sur le noyau Linux, Android offre une grande flexibilité aux fabricants et aux développeurs.

En outre, le Google Play Store, magasin phare de l’OS, abrite une myriade d'applications mobiles, des plus utiles aux plus innovantes. 

Pour être reconnu par Google en qualité de développeur Android à vie, il suffit de payer $25 et ainsi pouvoir publier des jeux et applications depuis la Google Play Console.

Les langages de natifs iOS et Android

Vous l’aurez compris, pour toucher un maximum d’utilisateurs, les développeurs doivent créer des applications mobiles fonctionnant à la fois sur iOS et Android.

Pour autant, chaque système d’exploitation requiert l’utilisation du langage de programmation natif associé. Chaque langage demandant une expertise et un temps de développement dédié, les coûts et les ressources sont bien souvent doublés.

Côté iOS, c’est Swift le langage natif officiel développé en 2014 par Apple pour la création d’applications mobiles. Il est puissant, intuitif et conçu pour être efficace tout en étant facile à lire et à écrire. Swift s’inspire d’ailleurs beaucoup du langage Objective C, créé en 1980, qui était auparavant utilisé par les développeurs iOS.

Swift demande néanmoins aux développeurs d’applications iOS d’utiliser l’environnement de développement Xcode, exclusif aux ordinateurs fixes et portables commercialisés par la marque à la pomme. Même si l’installation de machines virtuelle Mac OS est envisageable sous Windows ou Linux, cette seule contrainte a déjà refroidie de nombreuses entreprises et développeurs. Pour créer une application iOS, c’est vers des agences de développement spécialisées dans cette technologie que beaucoup se tournent.

Pour Android, c’est le langage Kotlin qui a rapidement gagné en popularité comme la solution de prédilection pour le développement d’application Android. Kotlin est développé et maintenu par Google depuis 2011. Anciennement, c’était le langage Java, créé en 1995, qui était utilisé par les développeurs Android.

Enfin, c’est l’environnement de développement Android Studio qui est majoritairement utilisé par les développeurs Android pour compiler leurs applications mobiles.

L'avènement du développement cross-platform

Les langages natifs nécessitent alors une de doubles expertises pour les développeurs. Il est également souhaitable d’éviter d’avoir à écrire du code source deux fois afin de réduire les coûts et temps de développement. C’est dans ce contexte complexe que des solutions cross-platform ont commencé à émerger dès la fin des années 2000.

En effet, le framework JavaScript React Native, développé par Meta (anciennement Facebook) en 2015, permet de construire une application fonctionnant sur iOS et Android.

C'est une aubaine pour les développeurs puisque React Native et les solutions similaires induisent ainsi plusieurs avantages notables :

  • Des temps de développement réduit,
  • Des ressources nécessaires moindres,
  • Une mise à jour synchronisée pour les deux systèmes d’exploitation.

React Native fait aujourd’hui partie des technologies cross-platform les plus populaires au monde mais il en existe d’autres tout aussi pertinentes. Il faudra surtout connaître ses besoins et ses prérequis techniques avant de faire un choix. En voici une sélection :

  • Apache Cordova développé en 2011 et écrit en JavaScript,
  • Xamarin développé en 2013 et écrit en C#,
  • Ionic développé en 2013 et écrit en JavaScript 
  • Flutter développé en 2017 et écrit en Dart.

Pour vous démontrer l’intérêt majeur d’une telle technologie, découvrons ensemble quelques exemples basiques de code source.

Le langage Swift pour iOS

Dans cet exemple de code Swift, nous créons une simple interface utilisateur avec un message de bienvenue.

Néanmoins, si nous souhaitons que notre application mobile, aussi basique soit-elle, puisse tourner également sur un téléphone Android, il nous faut développer la même chose à l’aide du langage natif Kotlin.

Le langage Kotlin pour Android 

Dans cet exemple de code Kotlin, nous affichons encore un message de bienvenue. Autrement dit, nous réalisons un traitement purement similaire à celui développé plus haut. 

Heureusement pour nous, une solution cross-platform, comme React Native, demande un code source unique, pour obtenir un rendu similaire sur les deux systèmes OS.

Remarque : Notez que, comme son nom l’indique, React Native est un framework dérivé de la librairie web frontend React. Ces deux technologies utilisent l’extension syntaxique au langage JavaScript « JSX », également développée par Meta.

Le framework React Native pour le développement cross-platform

Dans cet exemple de code React Native, nous utilisons des composants de base pour créer une interface qui fonctionne à la fois sur les systèmes iOS et Android. C'est la magie du cross-platform : un seul code qui existe, s'adapte et évolue sur plusieurs systèmes d'exploitation simultanément !

Ces exemples de code démontrent la différence entre le développement natif et le développement cross-platform.

Les codes natifs Swift et Kotlin nécessitent une connaissance spécifique de chaque plateforme. De son côté, React Native, grâce à sa nature cross-platform, simplifie le processus. Les développeurs peuvent alors utiliser une base de code pour les deux plateformes sans être expert avec d’autres langages que le JavaScript utilisé par React Native.

Avantages et limites du cross-platform

Malgré une promesse alléchante qui semble rendre obsolète les langages natifs, les solutions cross-platform présentent quelques inconvénients non négligeables.

  • Des performances moindres : Les applications natives ont généralement de meilleures performances car elles sont spécifiquement optimisées pour leur OS respectif.
  • Des fonctionnalités spécifiques non disponibles : Certaines fonctionnalités natives peuvent parfois ne pas être facilement accessibles. Elles peuvent même nécessiter des solutions de contournement lorsque l’on développe à l’aide d’une solution cross-platform comme React Native.

Pour illustrer ce dernier aspect, découvrons une implémentation basique consistant à donner à l’application mobile l’accès à une fonctionnalité matérielle spécifique. En l’occurrence, nous avons choisi de nous concentrer sur le moteur de vibration du smartphone. 

Le code source Swift

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Cet exemple de code permet de faire vibrer un iPhone grâce à l'API native d'iOS qui permet d’accéder facilement et avec précision au moteur de vibration. 

Le code source Kotlin

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Là encore, avec l'API native d'Android, on utilise le service de vibration avec des motifs de vibration plus ou moins complexes.

Le code source React Native

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Comme vous pouvez le constater, avec React Native, le moteur de vibration reste accessible pour les deux systèmes d’exploitation mais il est moins flexible en termes de fonctionnalités avancées, comme la définition de motifs complexes.

Bien que React Native offre la possibilité d’accéder aux fonctionnalités matérielles du smartphone comme pour le faire vibrer, ces exemples de code démontrent que les options et la précision sont plus limitées en comparaison avec les APIs natives de Swift et Kotlin.

Dans le cadre de cas concrets spécifiques plus avancés, l’interaction avec des fonctionnalités matérielles plus évoluées pourrait nécessiter un développement natif.

C'est pour ces problématiques spécifiques ou avancées que le développement natif offre davantage de flexibilité et de performance. Notez néanmoins que pour la majorité des besoins courants des applications, React Native offre un réel équilibre entre portabilité, temps de développement et performance.

Pour conclure, les systèmes d’exploitation pour smartphone jouent un rôle crucial dans l’ère numérique actuelle. Dans les faits, le choix entre le développement natif et cross-platform doit surtout dépendre du projet à mener et des objectifs qui lui sont associés.

Pour autant, gardez à l’esprit qu’avec des technologies comme React Native, les frontières entre iOS et Android s'amenuisent. Ces puissantes solutions offrent aux développeurs et aux utilisateurs une expérience plus simple et accessible. Par ailleurs, les prérequis techniques et fonctionnels étant également amoindris, une plus vaste communauté peut s’adonner à la création d’application mobile.

Enfin, si cet article vous a motivé à construire votre propre solution pour smartphone iOS et Android, découvrez aussi nos conseils pour créer une application de A à Z ainsi que nos 10 astuces pour créer la meilleure application mobile !

Construire un story mapping en 4 étapes clés
Connaissez-vous le story mapping pour garantir le succès de votre projet digital ? Il se construit en 4 étapes clés que nous vous partageons.
Anaïs
30/8/2023

Lors d’un précédent article, nous vous parlions des différences entre UX et UI design ainsi que de leur complémentarité pour garantir le succès du développement d’un projet digital. Ces deux concepts n’ont désormais plus de secrets pour vous.

Le Product Designer - aussi à l’aise sur l’UX qu’avec l’UI design - a donc de nombreuses responsabilités. Parmi elles, nous pouvons citer le story mapping ou l’user story mapping. Il s’agit ni plus ni moins de poser à plat l’intégralité des fonctionnalités de la future application qui vont répondre aux besoins identifiés des utilisateurs. Ce process se fait en plusieurs étapes bien structurées.

Dans ce nouvel article, nous vous proposons de découvrir ce process en 4 étapes distinctes et dans quelle mesure il peut impacter favorablement votre projet de création d’application web.

Pensez à mettre Yield Studio en favori dans le cadre de votre projet de développement de produit digital !

❓ Comment et quand se déroule un story mapping ?

Nous conseillons généralement de réaliser le story mapping au cours d’ateliers de brainstorming. Concrètement, les parties prenantes suivantes peuvent se retrouver autour de la table :

  • l’équipe produit tout d’abord dont le Product Owner
  • les développeurs qui vont être sollicités dans le cadre du développement du projet
  • le client
  • et parfois mêmes les utilisateurs types du produit

Chez Yield Studio, notre accompagnement par notre studio UX / UI design comprend 2 jours d’ateliers dans nos bureaux. C’est à ce moment-là que nous réalisons entre autres le story mapping.

Voici selon nous les étapes clés pour construire un story mapping efficace.

👋 EXEMPLE A SUIVRE AU FIL DE L'ARTICLE
Afin que vous puissiez visualiser toutes les étapes, prenons l’exemple d’une entreprise française qui souhaite créer une application mobile disponible sur iOS et Android pour gérer ses finances simplement. L’application sera dotée d’un agrégateur de comptes bancaires.

Définition de l’objectif

Avant même d’entrer dans le vif du sujet et même si cela peut paraître évident, parlons de la définition de l’objectif. Pour pouvoir embarquer toutes les parties prenantes dans le projet, l’objectif principal du développement de l’application doit être partagé à tout le monde et doit surtout être bien compris.

C’est selon nous la base pour garantir le succès du projet. Pour notre exemple d’application bancaire, l’objectif principal pourra être le suivant : « Les utilisateurs doivent pouvoir gérer simplement leurs finances depuis une seule et même application mobile ».

🔎 Étape 1 : identifier ses utilisateurs ainsi que leurs besoins et leurs attentes

L’identification des utilisateurs et de leurs besoins est primordiale. C’est pour répondre à leurs besoins que vous allez développer votre projet digital. Il est donc capital que vous arriviez à vous mettre le plus possible à la place de vos utilisateurs pour comprendre leur cheminement de pensée. C’est grâce à ce premier travail que vous serez en capacité de proposer le meilleur produit.

L’élaboration des personae est un excellent moyen pour comprendre la philosophie de vos utilisateurs, leurs comportements et leurs attentes. Les personae sont créés à partir de données réelles collectées auprès des utilisateurs ou basées sur des recherches et des analyses.

Attention : selon la complexité du projet, il se peut que vous deviez définir plusieurs personae qui auront des attentes et des besoins différents.

Dans notre exemple et après avoir réalisé des tests utilisateurs, ces derniers nous ont partagé leur souhait : 
- regrouper plusieurs comptes bancaires de banques différentes sur une seule et même application
- réaliser des virements facilement entre ces banques
- gérer son budget intelligemment grâce à un outil dédié

✍️ Étape 2 : créer des user stories efficaces

Les besoins de vos utilisateurs sont identifiés et vous avez construit vos personae au plus proche du terrain ? C’est le moment de créer des scénarios utilisateurs et d’y intégrer leurs besoins.

L’user story - ou récit utilisateur - est la traduction littéraire d’une fonctionnalité logicielle qui va répondre au besoin spécifique d’un utilisateur. 

Dans notre exemple, l’user story pourrait être la suivante : « Chaque semaine, je consulte les soldes de mes comptes bancaires pour m’assurer que je ne suis pas à découvert ». 
- Dès l’ouverture de l’application, je visualise le solde de mon compte bancaire principal (banque A)
- Je peux consulter facilement les soldes de mes autres comptes bancaires (banques B et C par exemple)
- Je paramètre une notification d’alerte quotidienne lorsque le solde d’un de mes comptes est bas 

L’user story doit donc couvrir l’ensemble des besoins de l’utilisateur du début de son utilisation de l’application mobile jusqu’à la fin de son utilisation.

🔼 Étape 3 : prioriser les tâches en fonction de leur urgence et de leur complexité

Lors de cette troisième étape, notre travail consistera à transformer les besoins en tâches actionnables qui seront ensuite développées par l’équipe de développement web.

La priorisation des tâches se fait grâce à l’user story map avec :

  • sur l’axe horizontal : les étapes du parcours de l’utilisateur. C’est ce qu’on appelle le flot de narration.
  • sur l’axe vertical : le niveau de temporalité / priorité. En effet certaines fonctionnalités seront indispensables à l’usage du produit par rapport à d’autres qui seront moins prioritaires.
Dans notre exemple précédent, la fonctionnalité indispensable sera celle de pouvoir consulter en temps réel le solde de l’ensemble des comptes bancaires de l’utilisateur. Au contraire, la fonctionnalité de pouvoir paramétrer des alertes push sera moins urgente.

Cette étape pouvant être délicate, notre équipe est là pour vous accompagner.


🧐 Étape 4 : analyser puis itérer

Ça y est, le projet est enfin lancé, toutes nos félicitations ! Vous pensez que le travail est terminé ? Et non ! L’étape d’analyse et d’itération est capitale puisqu’il vous faudra analyser les retours des utilisateurs et mettre des actions en place en conséquence.

En effet selon leurs retours, des modifications plus ou moins importantes pourront être apportées sur le projet. Dans notre exemple, il sera opportun de placer au sein de l’application des boites de dialogue ou de contact afin que les utilisateurs puissent facilement faire leurs remarques et suggestions. 

Voici les 4 étapes clés pour construire un story mapping dans le cadre du développement d’un projet digital (application web par exemple). Ce travail est nécessaire afin de s’assurer que votre application réponde favorablement aux besoins de vos utilisateurs.

Au cours de ces étapes, mieux vaut être accompagné(e) par des professionnels. En choisissant Yield Studio, vous confiez votre projet à des professionnels du Product Design qui maîtrisent le story mapping ainsi que les méthodes agile et méthodes Scrum.

Contactez notre équipe dès aujourd’hui !

Méthode Scrum et méthodes agiles : le combo efficace pour garantir le succès de votre projet

Chez Yield Studio, nous attachons une grande importance au travail bien fait. Pour ce faire, nous avons adopté très tôt la méthode Scrum et la méthode agile pour la réalisation des projets digitaux de nos clients.

Avec la méthode Agile, nos équipes travaillent de manière transverse et adoptent un cadre de travail souple, efficace et en amélioration permanente. D’ailleurs, les équipes produit des plus grandes entreprises françaises adoptent cette philosophie au quotidien : Wedoogift, ManoMano, Deezer, etc.

Avec la méthode Scrum, nous mettons l’accent sur la flexibilité, la collaboration et la livraison régulière de fonctionnalités de grande valeur. Scrum est conçu pour permettre aux équipes de développement de s'adapter rapidement aux changements et de fournir des résultats concrets de manière itérative.

La méthode Scrum incite à la transparence, à l'adaptation et à la collaboration des équipes tout au long du projet. Cette méthodologie de travail permet de répondre aux changements rapides des exigences du client et de garantir que le produit final soit aligné sur les besoins réels des utilisateurs.

UX et UI design : connaissez-vous les différences entre ces deux concepts ?
Connaissez-vous les différences entre les concepts d’UX design et d’UI design ? Découvrez notre article pour être incollable sur le sujet.
Anaïs
23/8/2023

Est-ce qu’il vous est déjà arrivé(e) de parcourir une application web et de vous faire une des remarques suivantes : « Le site est très agréable, c’est fluide ! », « Quel enfer pour trouver l’information qu’on cherche ! » ?

Si oui, alors vous avez touché du doigt l’UX design et l’UI design sans même le savoir ! Ces deux concepts sont très importants lorsqu’on souhaite développer une application web. On parle d’Expérience Utilisateur pour l’UX design et d’Interface Utilisateur pour l’UI design.

Si ces mots vous semblent un peu barbares pour l’instant, pas de panique. Vous y verrez plus clair à l’aide de notre article complet sur les différences entre l’UX ET L’UI design.


L’UX et l’UI design au cœur de la conception de votre projet digital

Lorsqu’on crée une application web, on souhaite que tout le monde puisse l’utiliser facilement. L’adoption massive d’une application est comme une sorte d’accomplissement. Vous avez travaillé dur pour développer ce projet et son utilisation est signe de reconnaissance.

Pour que cette adoption soit la plus massive possible, vous devez garder en tête que votre application doit être agréable à parcourir visuellement d’abord, qu’elle soit ergonomique dans un second temps afin que l’internaute puisse trouver rapidement l’information qu’il recherche.

Ce sont les concepts d’UX design et UI design et il est important de ne pas les confondre. Ces deux aspects techniques sont complémentaires, voire indissociables. Chacun de ces concepts a des différences par rapport à l’autre.

Airbnb, Uber, Tripadvisor, City mapper : pourquoi ces applications sont-elles utilisées par des millions de personnes ? Une partie de la réponse est sans nul doute grâce à des interfaces utilisateurs et des expériences utilisateurs très soignées.


L’UX design ou l’expérience utilisateur

Le principe même de l'UX design va être de répondre précisément aux besoins des utilisateurs lors de l’utilisation d’une application web. Pour mener à bien cette mission, il faut donc bien comprendre à qui l’on s’adresse (qui sont vos utilisateurs), qu’est-ce qu’ils souhaitent faire et comment ils souhaitent le faire.

L'UX designer va donc analyser le comportement des utilisateurs, identifier les points de friction et ainsi concevoir des solutions pour les résoudre.

Par exemple lorsque vous ouvrez votre application préférée pour commander un VTC, l’UX designer a fait le choix de vous proposer en priorité un plan géographique avec l’ensemble des véhicules se trouvant à proximité de vous. Tous les éléments de l’application sont organisés de manière à ce que vous trouviez rapidement ce que vous cherchez.

Une panoplie d’outils pour l’UX designer

Pour comprendre les comportements des utilisateurs, l’UX designer aura notamment recours à des tests utilisateurs. Ce sont des scénarios types d’une utilisation de l’application comme :

« Recherche un billet d’avion sur l’application puis télécharge ton billet sur ton téléphone »

L’objectif est de comprendre le cheminement de l’utilisateur pour aller du point A au point B et réaliser la tâche demandée.

L’UX design nécessite des compétences techniques avec la maîtrise de logiciels de prototypage comme Figma, Adobe XD, Sketch ou encore Invision mais également d’autres compétences comme l’écoute et l’empathie afin de pouvoir se mettre à la place de l’utilisateur, l’esprit critique pour être force de proposition afin d’améliorer les choses et également la créativité.

Savoir travailler en équipe est essentiel pour faire ce métier. En effet, l’UX designer est amené à travailler en étroite collaboration avec d’autres corps de métiers comme le design graphique ou encore le développement logiciel et la recherche utilisateur

L'UX design s'applique à une variété de domaines, y compris les applications mobiles, les sites web, les logiciels, les appareils électroniques et plus encore.


L’UI design ou l’interface utilisateur

Si l’UX design se concentre sur le comportement de l’utilisateur, l’UI design va davantage s’attarder sur l’environnement visuel de l’application. En effet pour qu’un utilisateur reste sur l’application et l’utilise le plus souvent possible (on parle alors de rétention), les éléments visuels jouent un rôle très important.

Pour mener à bien sa mission, l’UI designer dispose d’une palette d’outils assez importante. Le professionnel peut ainsi jouer avec la typographie de l’application, avec les couleurs des menus, avec les icônes et plus globalement avec tous les éléments visuels avec lesquels les utilisateurs interagissent. L’expérience visuelle doit être esthétiquement agréable et inciter l’utilisateur à poursuivre sa navigation.

Le métier d’UI designer fera appel à des qualités et à une sensibilité artistique, à de l’imagination et bien sûr à de la créativité. On demande également à ces professionnels de maîtriser les outils de création graphique tels que la suite Adobe (Photoshop et Illustrator notamment). Comme l’UX designer, l’UI designer doit savoir travailler en équipe et être à l’écoute des feedbacks internes afin d’améliorer régulièrement l’identité visuelle de l’application ou du site web.


Entourez-vous de vrais professionnels

Vous l’aurez compris, malgré leurs différences, l’UX et l’UI design sont très complémentaires voire indissociables dans le cadre de votre projet d’application web. Pour ne pas manquer ces étapes et voir votre application désertée par les utilisateurs, n’hésitez pas à vous entourer de vrais professionnels qui maîtrisent ces concepts.

Au sein de notre studio UX / UI design, notre équipe travaille en complémentarité sur ces sujets afin de garantir la meilleure expérience sur votre application web. Nous avons fait le choix d’internaliser des Product designer autant à l’aise sur l’UX design que sur l’UI design afin de proposer une expérience optimale et vous accompagner vers la réussite de votre projet.

Définition de la vision produit, étude de marché, synthèse des tests utilisateur, ateliers UX dans nos locaux : bénéficiez de l’expertise de notre studio et confiez-nous dès aujourd’hui la création de votre projet d’application !

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